Réfléchir sur (3xRien), demeurer dans le léger pour ne pas s'abîmer dans le grave.

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Mais qui sont les andouilles…

qui imposent cette écriture laxiste à la France entière ?

Bien évidemment je ne désigne pas là les professeurs des écoles, mes collègues, qui font ce qu’on leur dit de faire mais bien précisément les décisionnaires situés en amont! Mes collègues sont obligés d’obéir, comme je le fus moi-même quand j’enseignais!!!


Au lieu de pousser les tout petits, en ancrant les bons gestes dans leur esprit, à bien former les lettres selon le modèle qui était établi depuis plus d’un siècle, l’école primaire actuelle entretient les confusions en enseignant ces o/a ou ces « s insectes », dont j’ai parlé précédemment dans mon article « c’est le bozor », dès l’apprentissage de la lecture ! Je viens de constater encore, ce matin, dans mon hypermarché préféré que les livres pour enfants du commerce se sont adaptés à cette écriture illogique !
Et le plus fort, c’est que je vais devoir appliquer cette réforme de l’écriture, qui me révolte totalement, quand je ferai lire et écrire ma petite-fille afin d’éviter qu’elle soit perdue en classe et ne détienne pas « le nouveau code »!
Regardez ce titre du « Martine » que je viens d’acheter… « martine » est écrit sans majuscule en première lettre comme pour un nom commun!!! C’est « un martine » ( alors qu’on s’adresse aux enfants qui devront mémoriser autrement que les noms propres commencent par une majuscule !Martine !) :
« Princesses et chevaliers », le second titre ne présente aucune majuscule au début ( comme doivent être écrits les titres) et les quatre « s » appartiennent à cette race d’insectes inconnue de tous mes souvenirs d’école, dans un geste cursif mal limité! Et le « r » relève aussi de l’écriture cursive alors que les autres lettres sont « d’imprimerie », comme le texte que je tape en ce moment!
DU GRAND N’IMPORTE QUOI !

Je croyais que « Sami » faisait mieux… Mais sur la quatrième de couverture… Les revoilou !

La « vue » a des airs de « rue » car le « v » a le « bras mou » et comme les o/a sont légion…

On admire la « taur » Eiffel dont les « f » sont des 8!

pour nous qui savons lire et écrire, l’identification ne pose aucun problème, évidemment, mais il y a un an et demi j’étais encore en poste en collège et j’affirme que beaucoup qui lisaient mal… écrivaient mal ainsi tandis que les meilleurs m’offraient des copies largement calligraphiées de façon traditionnelle.

Espérons que Mininous… s’en sorte malgré « taut » 🙃🙃🙃

Quand je me répète sur ce point, qui m’exaspère tellement, il y a toujours quelqu’un pour me rappeler que les médecins sont réputés pour leur mauvaise écriture, ce à quoi je réplique que, bien que le temps ait effectivement pourri leur écriture, ils sont très nombreux parmi les auteurs de bouquins et ils n’ont pas leur pareil pour synthétiser un texte ou une explication. Ils ont bien appris puis ils ont choisi d’oublier… Mais qui a appris de travers, n’aura pas de choix.


MISAENG : une « vie incomplète »

Tel est ce que ressentent les employés de bureau de l’entreprise d’Import-export One International et particulièrement les quatre stagiaires : Jang GeuRae (qui n’a réussi à être embauché que pour un CDD de deux ans), mademoiselle An YeongYi, la plus compétente qui soit, Jang BaekGi et Han SeokYul, les trois qui ont obtenu une embauche en CDI à l’issue du stage de trois mois qu’ils avaient tous fait avec une dizaine d’autres postulants non embauchés.

Pour avoir passé plus de 16 heures (au moins) en leur compagnie, en découvrant les épisodes de MISAENG, j’ai réfléchi à la « culture d’entreprise » et plus précisément à celle de cette entreprise fictive coréenne d’Import-Export en voyant les employés vivre à l’étage où se situe le service du meilleur chef qui soit : Oh SangSik (tout à fait dans le genre du chef Park DongHun de My Mister dont j’ai déjà loué les qualités) et de ses deux subordonnés sympathiques dont Kim Dong Sik, une « bonne pâte » d’homme.

Quelques éléments pour ceux qui n’apprécient pas les dramas et tous ceux qui n’en regardent pas :

L’intrigue : Tout repose sur le fait que le héros,Jang GeuRae, n’a guère de chance d’être embauché définitivement bien qu’il ait réussi le stage d’embauche, parce qu’il n’a pas de diplôme (il a le niveau BAC mais n’a pas passé l’examen) s’étant entièrement consacré jusque là (il a 26 ans) à la pratique du Go, le jeu de stratégie dont il n’a pas réussi à devenir joueur professionnel. Le spectateur s’inquiète donc de l’avenir de ce garçon qui, totalement déboussolé dans le monde du travail, applique les techniques, les stratégies, du jeu de Go et de son entraînement intensif (de 12 à 25 ans) à son apprentissage progressif des lois du commerce! Il se heurte à l’animosité de ceux qui lui reprochent d’avoir été pistonné pour être admis sans diplôme et surtout pâtit de son manque de culture (il ne parle pas anglais, il ignore les termes commerciaux…etc). Mais il est tombé sur un chef de service intègre qui détecte son potentiel et se bat pour le faire embaucher définitivement. Il noue une amitié profonde avec ces 3 co-stagiaires, (YeongYi, SeokYul et BaekGi) puis avec son chef M. Oh et son collègue au caractère si agréable, DongSik.

Les thèmes abordés :

a) la difficulté de trouver un emploi et surtout un CDI, à notre époque, même quand on est une personne qui a le sens du devoir.

b) L’amitié et la famille. Comme d’habitude dans tous les dramas, l’une est garante d’une existence moins pénible et l’autre au contraire crée souvent des obstacles ou des traumatismes pour son accomplissement personnel.

c) la hiérarchie: elle rend hostiles aux nouveaux tous les supérieurs en place. Elle génère une lutte pour gravir les échelons (cette entreprise est un panier de crabes et tous sont pincés peu ou prou, d‘où leur sentiment d’une vie incomplète).

d) la concussion qui crée de nombreux laissés pour compte et des « victimes collatérales »(les employés-fusibles sont accusés à la place des véritables malhonnêtes et l’une d’entre eux s’est suicidée).

e) le bon management et le respect qu’inspirent les honnêtes gens : on distingue fort bien les chefs compétents qui animent leur service d’un même esprit honnête et les autres qui marchent sur leurs subordonnés pour se placer ou cèdent aux sirènes de la malhonnêteté.

f) la misogynie du monde du travail, en Corée (exactement comme en France dans certains métiers) car les femmes sont traitées comme des sous-fifres ou poussées à démissionner pour soutenir leur époux. Elles sont encore plus détestées quand elles se révèlent plus compétentes que certains machos.

g) les difficultés de communication entre les bureaucrates et les employés du secteur industriel, ceux-là méprisant ceux-ci au nom de leurs nature de cols blancs et ces derniers demeurant persuadés qu’on les exploite sans ménagement. SeokYul est le gars qui démontre que les deux parties de la société active sont dépendantes l’une de l’autre et que les employés ont une vision incomplète de la vie s’ils se croient capables d’exister sans travailler en bonne entente avec l’autre département de la société One International.

Mes meilleurs souvenirs de cette série et les raisons de la considérer comme très réussie :

** Les héros sont de vrais gens honnêtes qui se donnent à fond pour leur métier. Il faut rappeler qu’en Corée la valeur du travail est extrême et les heures de présence au bureau ne se comptent guère! Les travailleurs peuvent dormir au bureau et y retourner à n’importe quelle heure, ce qui est inimaginable dans ce que je sais de la société française ! Ce mode de vie dévoué au travail contribue à forger des liens étroits entre les plus jeunes collègues qui s’apprécient… mais ce n’est évidemment positif que pour les célibataires car les gens qui ont une famille la délaissent forcément de ce fait et se créent des soucis relationnels dans leur foyer. Ce qui était un atout devient un problème et j’ai admiré le sens du devoir et les valeurs de mes personnages préférés.

Pendant ma vie active, j’étais au plus tard rentrée chez moi à 19h30 (du fait des difficultés de circulation sur les routes) en dehors de la dizaine de jours de réunionnite aigüe par année scolaire,[ les jours de conseils (de classe ou d’administration) ou de réunions parents-professeurs et ces soirs-là étaient vécus comme d’affreuses contraintes réductrices de notre liberté (surtout quand je me faisais disputer par quelque individu mal intentionné)… de véritables obstacles et soucis, quand nos enfants tout petits nous attendaient à la maison ]! L’établissement scolaire était donc fermé au public dès 17 heures la majeure partie du temps! Aucun élève ne peut y retourner avant le lendemain à 8h30 sauf les quelques malheureux élus par leurs pairs convoqués à ces réunions et ceux que les parents emmènent aux réunions avec les professeurs. Alors il est inimaginable que des gamins entrent au CDI oui dans les bâtiments après 17h… or dans les dramas on les voit se rendre en étude à point d’heure !

** Je n’oublierai plus la tête de M. Oh à chaque proposition inattendue de GeuRae qui se révèle, trois fois sur quatre, très judicieuse, à chaque réussite de cet homme en devenir. Le regard que pose l’aîné sur ce jeune, qui se débat et avance avec obstination pour se faire une toute petite place dans la société, évolue de l’indifférence outrée, quand il croit ce stagiaire simplement incompétent et pistonné, vers un véritable respect pour son subordonné volontaire et une affection vraie les lient définitivement.

Les téléfilms coréens sont les meilleurs pour montrer cette construction progressive d’une relation profondément respectueuse d’autrui et cet échange d’humanité qui rend heureux. On doit lire sur les visages et imaginer ces pensées par le jeu de l’acteur. Les Coréens sont très intériorisés pour tous les sentiments relationnels… alors qu’ils peuvent, paradoxalement, pleurer dans la rue ! Quel peuple étonnant!

** La structure narrative est rigoureuse et le premier épisode nous épate totalement car c’est une formidable course-poursuite dans les rues d’une ville d’Afrique du Nord (j’ai oublié son nom car on nous promène sur plusieurs sites… la Tunisie ou le Maroc) et Geu Rae saute d’un toit-terrasse à un autre avec une vélocité extrême, seul Asiatique qui en poursuit un autre en haut puis en bas des immeubles comme à travers la foule locale ou les appartements dans lesquels il entre par la fenêtre ou parfois… par le mur! Evidemment il interpelle le voleur recherché au bord d’un toit, en lui sauvant la vie car le poursuivi manque de s’écraser… (caméra plongeante puis vues en contrechamp se relaient pour rendre le tout haletant)…et paf! On le retrouve entrant comme stagiaire à Séoul dans l’immeuble de la société One International pour son stage de trois mois, habillé du costume de son père décédé. De même plus d’une fois les scénaristes font des scènes en miroir inversé de scènes précédentes pour compléter les indices fournis… ou humilier les méchants qui dominaient jusqu’alors. La fin reprend le narration au début puis « éclaire » notre compréhension avec une conversation qui réutilise exactement les mêmes mots qu’entendus au deuxième feuilleton mais destinés à celui qui les avait prononcés! C’est très fort.

*** Quelle inoubliable collection de personnages les plus attachants qui soient, même lorsqu’ils présentent un défaut gênant comme le chef de BaekGi, si froid en apparence mais qui sait pousser son stagiaire à exprimer son potentiel en choisissant enfin de s’impliquer! Voici un atout majeur de cette série. On constate que les générations d’employés ont eu le même cursus et sont reliées par les mêmes liens créés au boulot.Comme me le serinait ma mère : « la roue tourne »!

** Et puis je me souviendrai aussi des décors de cette histoire :

1. ces deux toits où les employés vont prendre leur pose en admirant Séoul. Ils échangent là leurs meilleurs moments de connivence et de réflexion sur la conduite à tenir… Il s’agit aussi d’un ressort narratif car ceux d’en haut peuvent intercepter des secrets ou la véritable pensée de ceux qui parlent en bas! … J’aurais bien aimé travailler avec M. Oh, moi, et me retrouver là avec eux !

2. le meilleur souvenir reste encore cette chambre d’hôtel où dorment les 4 jeunes gens après avoir travaillé tout un week-end pour réaliser, sous la houlette de M. Oh, le projet de la seule femme directrice de bureau parce qu’elle a des ennuis de santé (un burn out qui aurait pu la faire démissionner) … Tous les 4 endormis les uns sur les autres, à bout de forces, et pris en photo par leur chef attendri… quel moment gratifiant pour le spectateur attendri!

Bref, regardez cette série, elle vaut la peine. Aucune histoire d’amour romantique, juste des bons sentiments et… des dossiers, des dossiers, des dossiers !

Ce que j’ai détesté… ben le soju, tiens ! Il coule à flot dans leurs veines, les pauvres. Oui je sais, Domdom, que le vin tient une très grande place dans la tradition française et que les individus qui boivent régulièrement ou simplement qui estiment important d’avoir « une cave bien remplie » en France, sont nombreux. Quand j’étais dans la vie active, mes collègues parlaient souvent de « boire un verre »… mais moi, je ne bois pas autre chose que de l’eau et je « carbure » au chocolat et aux sucreries (je sais: c’est aussi mauvais pour mon corps) ! Je n’ai jamais eu besoin d’alcool pour dire des bêtises et faire le spectacle en société. Je n’aurais pas été bien vue si j’avais travaillé en Corée, au cours de ces réunions « de travail » imposées par les supérieurs, refusant de m’imposer ces petits verres qui rendent saouls.


20 février : la saint Aimée

Aujourd’hui est la date symbolique que je choisis pour supprimer les liens qui vont de mon blog de travail lespolygrapheurs vers mon blog autobiographique. La raison est que j’ai, hier, vécu deux faits qui me démontrent que je n’ai plus du tout la vocation d’enseigner.

J’illustre mes propos avec cette photo de mon dernier cours de langue pour symboliser l’idée que ces deux faits désolants sont du passé et que je vais supprimer, tout à l’heure, tous les liens de mon site de travail vers mon site personnel. Mon métier devient peu à peu pour moi du passé. Mon présent est désormais ailleurs. Je conserverai les liens dans l’autre sens pour mémoire. (La mention « scène I1 » a été écrite au cours suivant et n’a rien à voir avec le cours de langue que je n’avais pas encore effacé).

😦 Le premier fait est que dans ma classe de 3ème j’avais distribué 12 livres de la pièce de théâtre que j’étudie avec eux (La guerre de Troie n’aura pas lieu de Giraudoux) et que j’en ai récupéré, à la fin de l’heure, seulement onze… j’ai réclamé pendant les heures de cours suivantes que « celui ou celle qui avait enfermé par mégarde le livre dans son cartable le rende, s’il vous plaît »… et bien qu’ils sachent que je ne punis pratiquement jamais (et finalement je suis débile d’agir ainsi) le bouquin n’est pas revenu… donc l’enfant se l’est vraiment approprié! J’ai eu beau expliquer que ce livre est utile pour les années scolaires futures, bla bla bla… rien n’y a fait. L’an passé déjà pareille mésaventure m’était arrivée… Signe que les temps changent.

😦 Le second fait est qu’encore une fois un parent, agissant stupidement car nous ne sommes pas dans le Privé et parce qu’une seule note n’a pas tant d’importance que cela (il suffit de demander à l’enfant de tenir compte des remarques pour s’améliorer), a écrit à notre Principal pour se plaindre de la façon dont j’ai corrigé la copie de son enfant (on se croirait dans un pays totalitaire car ce parent n’est pas professeur de lettres! ) … Bien évidemment il s’est plaint parce que son enfant a eu une mauvaise note!!! Jamais aucun parent de bon élève ne se plaint de mes commentaires… trop nombreux, c’est vrai. Et là aussi je suis débile de me donner autant de travail bien que je ne le regrette pas une seconde pour mes étoiles, mes bons élèves adorables dont j’ai chaque année de nombreuses et plaisantes « théories ». Et j’emploie ce mot à dessein puisque les ados ont une grande faculté à se déplacer en troupes et à réagir en fonction de leur esprit familial en donnant à leurs études un sens festif, voire solennel, comme un groupe antique de célébrants l’auraient fait dans l’Antiquité lors d’une fête quelconque. Cette plainte n’a absolument aucune incidence sur mon travail ou ma carrière (qui se termine tranquillement) puisque mon Principal m’a demandé de ne rien changer à mes habitudes de correction et de ne tenir aucun compte de ce fait dont il m’a parlé incidemment comme d’un fait désolant (certes pour m’indiquer qu’il est bienveillant à mon égard… mais je ne vois pas ce que ce comportement aurait de mal, puisqu’il est positif. Il sait comment j’enseigne en général: j’ai eu le bonheur par le passé de compter son fils parmi mes élèves et cet enfant-là fut un bonheur pour moi: un élève doué, particulièrement poli et très attachant par ses nombreuses qualités, un gamin génial. Je le dis très tranquillement parce que mon Chef ne lit jamais mon blog.)

Les parents d’élèves que le Ministère fait de plus en plus entrer au collège sont trop souvent un frein à la sérénité des études parce que ce sont les plus incultes dans une matière qui se manifestent et font des scènes aux enseignants de cette matière… Heureusement j’en connais et j’en ai connus de normaux et d’autres particulièrement rassurants et même des particulièrement cultivés et respectables… Pourquoi faut-il que les pénibles soient plus usants que les autres ne nous réconfortent??? Pourquoi sommes-nous plus entamés par une seule remarque négative que par tous les très, très nombreux encouragements reçus?

Pourquoi une seule goutte de sang fait-elle plus mal que tous les délices ressentis?

Concluons: Je choisis cette date symbolique pour couper les liens entre TRAVAIL et VIE personnelle. Je veux m’aimer et me protéger.

A la saint Aimée… il faut s’aimer soi-même.


Et depuis le départ de Néo…?

Eh bien la vie continue. Mais nous pensons encore souvent aux bons moments du Passé. Aujourd’hui 04 janvier, c’est la reprise de l’école malgré les conditions sanitaires peu encourageantes. Je me prépare à retourner au collège… en continuant mes activités de prof.

Pendant les vacances scolaires j’ai consacré des journées entières à ma famille bien sûr. Nous avons dit à Mininous que Néo est parti en vacances pour très longtemps. A 3 ans et trois mois, elle le reconnaît sur les photos. J’ai aussi consacré des journées entières à réaliser un journal de lecture de niveau 5ème et un autre de niveau 3ème en faisant ce que j’aime le plus faire, en tenue d’intérieur : lire, écrire, dessiner, peindre!

On aperçoit mes crayons aquarellables. Avec un peu d’eau et des feutres pour réaliser mes images issues de mon imaginaire à partir des photos vues ça et là, je suis au paradis avec Néo. Pour l’intégralité du travail en question, allez voir sur mon autre blog: lespolygrapheurs (lien dans la page de déclaration de webmestre, « l’à propos » de ce blog.).


Comment se transformer en Yokaï!

———- Notre formateur en mangas nous a poussés à composer un STRIP de BD dans lequel il fallait montrer une transformation. J’ai aussitôt pensé à ce que les gamins font de moi quand ils parlent tous sans demander la parole.

———- Le bavardage est l’un des soucis majeurs de mon métier à l’heure actuelle : ils n’écoutent plus, même lorsqu’on vient d’expliquer un sujet, ils lèvent le doigt pour dire qu’ils n’ont « rien compris ». C’est un réflexe chez eux et je ne le supporte plus du tout, puisque je ne cesse de tout réexpliquer sans relâche. J’en deviens… un YokaÏ… aïe! (Yokaï… cf la définition dans mon autre blog, mon blog de travail : lespolygrapheurs!  Même adresse que celui-ci en remplaçant le nom du blog).