Réfléchir sur (3xRien), demeurer dans le léger pour ne pas s'abîmer dans le grave.

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De la suite dans mes idées… (MAJ in fine)

C’est au CES 2024 de Las Vegas ( Consumer Electronics Show ) que se trouve le progrès auquel j’aspirais en écrivant mon article « Trop de ton, c’est pas bon« !
Grâce à la télé ( j’ai bien fait de l’allumer et d’écouter les infos today, histoire d’en savoir vraiment plus sur le monde dans lequel je vis et me débats) j’ai eu connaissance de cet outil qui me rendrait bien service.
SKYTED, le masque qui absorbe le son de la voix quand on parle ! L’anti-MamyVéro, quoi !
Les seuls problèmes sont qu’il est bien cher ( environ 250 Euro), distribué je ne sais où ( sur Internet sûrement alors que je déteste acheter sur Internet et ne le fais que très très rarement) mais surtout qu’il est bien encombrant et sans doute pénible à porter puisque déjà le port d’un simple masque chirurgical me fatigue!

J’attendrai donc qu’ils le perfectionnent et le souhaiterais… Plus discret, léger… de Science Fiction, en fait!
Quand on écoute la suite de la vidéo ci-dessous, on se demande si ce sont vraiment des innovations indispensables.
Pour BeamO, je comprends que certains aient besoin d’être surveillés à ce point… Mais entrer toute ma santé sur mon portable ne me presse pas. A la moindre alerte, je téléphonerais à toute ma famille pour dire Adieu après un affolement sûrement réellement responsable du problème !
Et puis surveiller ainsi « mes signes vitaux essentiels » me ferait croire que je suis une astronaute… J’aurais les chevilles qui enflent pour une autre raison que ma mauvaise circulation sanguine!
Quant à Bmind… (J’en ris encore ! Le monsieur qui se retrouve avec une étiquette sur la braguette sur la vidéo m’amuse beaucoup ! )
Blague à part, n’est-ce pas flippant que d’apprendre par son miroir qu’on se brosse mal les dents ?
En ce qui concerne l’état de ma peau… Ce pourrait être intéressant de remplacer le rendez-vous si difficile à obtenir chez un dermato… Mais le miroir n’aura aucune expérience comparable ni ne pratiquera de prélèvement à faire analyser…
Quant à ma santé mentale 🤣🤣🤣🤣🤣: « -MIROIR, mon beau miroir, dis-moi qui est la personne la moins perturbée, ici? -C’est pas toi, ma pauvre Véro, car il faut te faire soigner illico presto! »

Attendons donc de plus amples compte-rendus de cette convention qui se tiendra jusqu’au 12 janvier… Parce que je suis pourtant très attentive aux nouveautés pouvant nous assurer confort et santé. Le premier portable pesait son poids et jamais nous n’aurions imaginé son évolution.

Mise A Jour. : Voici un article intéressant sur les précédentes années de ce salon. Cet article contient un tableau qu’on peut télécharger pour se rappeler de l’emballement des progrès techniques au cours des dernières années. C’est époustouflant !


Melancholia : de l’abîme à la cime par les mathématiques

    Encore des scientifiques dans cette histoire qui se déroule entre deux mathématiciens, une prof aux méthodes novatrices et son génial élève, le surdoué remarqué à dix ans par le MIT, si proche d’elle du fait de leur passion commune pour les nombres, les problèmes, les démonstrations écrites au tableau noir, les formules qui expliquent tout, des structures de la Nature aux panoramas complexes ! Quelles sont satisfaisantes, ces mises en 3D des alentours parsemées d’équations et opérations comme on l’avait déjà vu en 2005 dans la série américaine Numb3rs.

    Encore une série coréennes remplies de scènes à la bibliothèque et dans les expositions, avec des livres et des tableaux…😍🖼️🤩📖😻

  Le spectateur est bombardé de chiffres dans des démonstrations auxquelles il ne comprend pas grand chose🙃 et de problèmes tirés de la vie quotidienne à résoudre en se référant à des peintures célèbres 🥴 mais comprend bien comment deux êtres s’enfoncent dans la dépression ( décidément c’est le mal du siècle, 😨 celui auquel je déteste être confrontée) puis s’en sauvent réciproquement !
    Dans l’école privée où ils se retrouvent, après s’être croisés sur internet et dans le train sans se connaître, ces matheux sont en état de séduction réciproque et se heurtent forcément à la barrière des convenances ( il a 18 ans et elle une vingtaine d’années mais à un an près leur statut élève-prof les parquent et elle ne s’avoue pas son attirance et n’est donc coupable de rien alors que tout le monde perçoit la réalité de leur relation platonique et donc la transgression des statuts ). Ils sont confrontés surtout aux obstacles que les jaloux leur opposent pour provoquer leur séparation et leur défaite. Ce sont : la directrice de l’école, (une enfant illégitime, qui veut damer le pion à sa soeur cadette, sa concurrente dirigeant une autre école, en trustant les distinctions au prix de corruptions et mensonges) ou encore les parents des élèves (obnubilés par les succès scolaires de leur progéniture) ou le fiancé de la prof, qui assiste impuissant à l’attraction réciproque des héros, ou leurs rivaux, sentimentaux ou dans la course aux honneurs scolaires, parmi les élèves.

    La mélancolie les enfonce dans le trou noir de l’autodestruction : lui sue et entre en crise en songeant à son passé responsable des huit années pendant lesquelles il a végété par la perte de ses capacités…
    Elle a un père qui fut lui aussi un génie des maths mais qui est tombé dans la maladie mentale à la suite d’un échec retentissant. Il a perdu tous ses moyens et vit en maison de repos.
    Et puis elle aussi s’enfonce dans la mélancolie quand elle doit fuir pour ne pas être emprisonnée, couper tous les ponts avec le héros. Trois ans de séparation de fait seront nécessaires pour permettre au héros de devenir adulte, de gagner des prix convoités afin de revenir vers elle en position de force. Et j’ignore encore comment la fin heureuse que j’espère va se construire car je n’en suis qu’au septième épisode (sur 16)!
    La structure narrative est travaillée car le premier épisode nous place au moment où l’enquête de la police menace la prof et où ils sont séparés…
    Puis les épisodes 2 à 6 relatent leur rencontre et les actions engagées contre eux avant l’ellipse narrative des trois années qui ont suffit au jeune pour devenir un prétendant valable et revenir se faire engager comme prof dans l’école du début.
    Je commence à bien connaître les schémas suivis par les scénaristes coréens et je sais que toutes les scènes du début vont recevoir une antithèse permettant d’établir une revanche sur le passé et je sens que le héros devient une sorte d’avatar de la prof, vivant selon ses règles les mêmes situations. Yin et Yang du destin.
    Les matheux comprendront dans doute les équations étudiées ou apprécieront plus que moi la mise en perspective numérale et numérique des images !
    Encore une fois LEE DO-HYUN est… parfait! Son visage a des yeux tellement en biais qu’il inspire un malaise évident quand il est fermé aux autres mais l’illumination du bonheur l’irradie quand il devient extraverti ! Cet acteur est un artiste épatant et il me rend encore une fois admirative de son interprétation.
    Im Soo-Jeong a la quarantaine mais ressemble tellement a une ado ( elle a dû avaler une potion de jeunesse éternelle !) qu’elle correspond parfaitement à son personnage.

    Je rassure ceux qui pourraient s’inquiéter pour moi : je n’ai pas du tout été atteinte par cette mélancolie, cette dépression, au contraire de la série Daily Dose of Sunshine, qui m’avait souvent attristée, m’ôtant l’envie de la chroniquer. Là, c’est… Mathématiquement exclu puisqu’on est sur la résolution de l’équation et donc vers la solution du problème !

    Pardon Anatole mais j’écrirai toujours avec force signes diacritiques, de ponctuation et de mise en forme graphique pour traduire mes émois et exaltations. Jamais je ne pourrais écrire un prénom sans lettre majuscule car c’est un point d’orthographe incontournable non négociable. 


Expérimentation HV de poids⚖️

Depuis notre « entrée en retraite », PapyH et moi n’avons eu de cesse de poursuivre nos « études de retraités » : sudoku et mots fléchés de force 5 ou 6 pour lui, visionnages thématiques sur Youtube pour moi et une foultitude (attention Justin, c’est un néologisme bien connu !) de documentaires variés sur tous les thèmes possibles et imaginables pour tous les deux ! ⚗️🧫🧪🔬📡🧰
Dans le cadre de nos nouvelles expériences scientifiques, un sujet d’étude s’est imposé à mon esprit enfiévré.
Ayant pris en main un demi-paquet de pâtes, j’ai tenté d’en évaluer le poids au jugé… Bon ce n’était pas hors de ma portée puisque le paquet faisait 500 gr à l’origine et qu’il en restait environ une moitié! Une division est encore dans mes cordes… mais j’ai vérifié mon résultat avec une balance : 299 grammes. Une grosse moitié, donc!!!
« Tiens il en reste plus qu’apparemment » me dis-je en soupesant et resoupesant!

Pour vérifier ma balance ⚖️(ben oui… la pile est parfois K.O.!)… J’ai sorti une boîte de conserve de 200gr, comme il était inscrit sur la boîte : « poids net total »… Et elle m’a paru bien plus lourde dès sa tenue en main!

Quoi quoi quoi?❓ comme aurait dit Yul Brynner , dans la série télévisée de 1972 Anna et le roi (ou plutôt Le roi et moi) , ( Que la paix soit avec l’âme de ce très, très grand acteur francophone et polyglotte, enterré en Touraine! On ne l’oublie pas.)


Je la pèse : 230 grammes ! Déjà là… j’aurais dû me méfier de mon cerveau (ou des commerçants de petits-pois!)

Ayant alors pris les pâtes et les petits pois à deux mains, je persistai à estimer la conserve plus lourde que les pâtes pourtant pesées 60 grammes de plus!

Bon je sais bien qu’un kilogramme de plomb pèse le même poids qu’un kilogramme de plumes… mais là, je ressentais vraiment la lourdeur de la boite de conserve alors qu’elle devait être plus légère dans ma main! J’ai changé de main, aussitôt… et IDEM!!!


Qu’à cela ne tienne : PapyH, appelé à la rescousse, m’indiqua les bonnes conditions d’expérience :
– yeux fermés
– produits posés sur les mains bien à plat, dans deux contenants de même poids pour la stabilité (deux barquettes de 28 grammes chacune)
– bouchons d’oreille
– chantonnement pour éviter d’entendre le bruissement du paquet de pâtes au cas où j’aurais cette fois-ci l’ouïe plus fine que d’ordinaire ( L.O.L.)
Eh bien… C’étaient bien les pâtes les plus lourdes! On a recommencé plusieurs fois avec échange des charges d’une main à l’autre! Et c’était toujours la bonne réponse la véritable ressentie.

Conclusion: mon cerveau me dit n’importe quoi et il faut vérifier ce qu’il dit!

Alors, je le réaffirme : Non, le kilo de plumes ne pèse pas moins que le kilo de plomb!

Signé : Mamy Véro la scien – ti – fi – que!


Régénérescence

Pour avoir plusieurs fois lu et entendu, (comme par exemple en septembre dernier dans Ouest-France ici, ou en novembre dernier dans Marie-Claire ici, des articles faisant allusions aux publications scientifiques, celle du magazine Nutritional Neuroscience accessible ici ou dans cet article-ci du MDPI journal suisse, dont l’acronyme signifie: Molecular Diversity Preservation International)

que des chercheurs en neuro-sciences (dont Sandrine Thuret cf sa conférence en bas de l’article)

auraient démontré qu’il fallait manger des myrtilles pour aider le cerveau à régénérer ses cellules, j’en ai acheté, lors de nos dernières courses en magasin.
L’étiquette m’a évidemment arrêtée : elles viennent du Chili ! J’ai bien senti que je n’aidais pas la planète et notre futur, là… Mais bon, si c’est un médicament, j’ai fait l’achat quand même.


Bien sûr, j’ai tenté (restons modeste) de réfléchir par moi-même :

-A quelle fréquence faudrait-il en consommer pour qu’un seul neurone vienne renaître dans mon cerveau bien diminué ?

-Les chercheurs ont-ils des actions dans ce commerce (y a pas plus près que le Chili?)?

-Est-ce que l’intelligence se mesure en fonction du nombre de neurones ou de leur qualité (puisque la consommation de myrtille n’aurait pas d’efficacité dans le cas d’une dégénérescence avérée, commencée?)

-Est-ce pareil de consommer des myrtilles fraîches (à cause des traitements que leur ont fait subir les agriculteurs… parce que je n’ai pas trouvé de myrtilles du Maine!) que de la confiture de myrtilles?

Et la grande question: Qu’est-ce que l’intelligence humaine? avec ses corollaires : Comment meurt-elle? Survit-elle à la mort sous une forme ou une autre? Quelle est l’intelligence animale? des insectes?

Ouille!

Je sombre dans le brouillard de mes pensées nébuleuses! Chez Neithn j’ai découvert:

Terminons en plaisantant :

« -Allez mangeons nos myrtilles, pour devenir plus intelligents!
-Fais-toi plaisir, Chéri ( e), je te laisse ma part ! »
C’est de l’humour en sabots, ça, de celui qui écrase les pieds ! Après dégustation, on en fera peut-être en chaussons !


Observation obstinée

Comme au cours d’un repas en famille je fus moquée pour avoir énoncé l’idée que j’avais vu un satellite passer… Je m’obstine et je viens de photographier, vers 18 heures,  un point lumineux fixe pendant de longues minutes dans mon ciel provençal.. alors qu’il n’y avait pas d’étoile ! 

Et comme j’ai convoqué la famille, voici la vue depuis la banlieue de Paris au Sud.


Souviens-toi de Damoclès !

Vous le voyez? Quoi? Mais cet objet volant, là, qui passe chaque matin vers 8 heures dans mon ciel provençal! Je me repère aux avions de ligne réguliers et aux arbres en-dessous.

D’accord… j’étais encore , le 13 octobre, en train de chercher Superman… ou plutôt ce fameux S que je vois souvent là-haut… et puis je l’ai vu progresser, ce satellite ou peut-être plus, et pourquoi pas… Non, pas lui.

Grossissez la photo, vous verrez des pales à l’arrière et sur le côté gauche, sans compter les révolutions de vapeur d’eau que doivent produire ses panneaux solaires ou ses radiateurs, que sais-je, moi! N’empêche, je l’ai bien vu passer là-haut 3 jours de suite, quel qu’il soit, satellite d’ici ou d’ailleurs… Et n’imaginez pas une seconde que j’aurais pu trafiquer la photo prise avec mon portable car il n’en est pas question du tout! Le portable a mis des filtres colorés, forcément mais je ne sais pas photographier en mode expert. C’est bien ce que nous avons capté, mon portable et moi, tel quel !

Ciel vu plein Est, depuis l’ouest, le 13 octobre 2022 vers 8 heures en Provence. Le soleil se lève juste à droite de ce panorama, caché par un gros chêne.

Du coup j’ai surveillé les jours suivants… Le lendemain, les nuages remplissaient la voûte céleste et brouillaient la scène, mais je me suis obstinée et je l’ai aperçu. Le surlendemain, ce matin, j’étais encore à mon poste d’observation et je n’ai d’abord vu que des ombres… Cependant dans ces échos dont les rotondités sont évocatrices par leur mouvement et l’illumination du soleil levant, je le devine encore… et sa recherche m’a tenue scotchée longtemps… Affaire à suivre !

Je sais, Norbert va encore me dire qu’il ne voit rien ! Faut zoomer, zoomer pour que se dessinent des amas géométriques, des points lumineux, des … peut-être objets dérivants dans l’atmosphère comme en parle cet article de mai 2021 sur TV5.

Il y aurait 1 million d’objets dans l’espace… beaucoup de pollution dans la stratosphère… et le risque est qu’il en tombe de temps en temps sur nos têtes, à nous, pauvres Damoclès…

Tenez, voici de belles images de mon morceau de ciel peut-être traversé par des objets, bien identifiables mais pas très visibles avec mon portable ou mon APN ! Et toujours le même S ! Attention sur les deux photos les plus zébrées… je n’ai rien vu de particulier ! Il faut bien laisser la place à la beauté, quand même!


Mes bosons ont besoin de farter leurs skis !

Scientifiques, passez votre chemin ! Il n’y a rien ici que vous ne sachiez déjà… à moins que vous ne souhaitiez rire de ma pensée limitée… Je vous y invite, bien sûr !

La Candide que je suis est une littéraire; quand elle monte sur sa balance… elle pèse sa masse et pour elle : masse = poids ! Je suis l’orange ! Eh bien, en tentant de comprendre l’intérêt du prix Nobel de physique, je viens d’en apprendre de belles ! Je pourrais être aussi une plume! J’ai passé toute une matinée à me familiariser avec la physique quantique…

  1. En écoutant les 4 minutes d’explications données par Etienne Klein sur France Culture le 5 octobre dernier (lien sous la photo et recliquez sur le bouton « écouter » une fois arrivés sur le podcast)… j’ai cru entendre que « la seule masse de mes constituants élémentaires pèse beaucoup moins que la masse de la somme des particules élémentaires qui me composent » (citation) car elle peut être égale à zéro… Et j’ai bien cru comprendre que lorsqu’une particule a une masse non nulle c’est… parce qu’elle se déplace avec des skis mal fartés sur le champ de Higgs qui les enveloppe toutes !

Moi, aussitôt, je ne fais qu’un pas et je me mets à croire que je ne pèserais rien, si mes particules élémentaires étaient rigoureusement statiques ! J’aurais donc bien raison de rester dans mon fauteuil ! Et si mes quartz ne pouvaient s’empêcher de s’agiter… s’ils fartaient mieux leurs skis en se déplaçant sur le champ de Higgs, leur masse totale aurait pu être presque nulle… Mais où trouver ce fartage magique ?

Hein ? Comment ça « la masse et le poids, ce n’est pas pareil en physique ! » ? Ah bon ? ça, j’ai toujours eu du mal à le comprendre… c’est pour ça que je suis passée autrefois de seconde C avec des notes médiocres en sciences à la 1ère A1 avec de bien meilleurs résultats, même avec deux langues vivantes, deux langues mortes et une option Maths!

2. Me voici partie à la recherche d’un exposé clair sur YT car je voulais mieux concevoir ce que sont ces bébêtes qui me composent, les quarks et les photons… j’avais besoin de rencontrer mes bosons, même qu’en imagination !

C’est avec l’exposé de Mme Sandrine Laplace , qui fait partie de toute cette communauté scientifique ayant contribué à la découverte de ce BOSON de HIGGS, en 2012, vidéo du 15 juillet 2015 que j’ai mieux compris l’affaire… Les 20 premières minutes m’ont passionnée, puis j’ai un peu dériv… Je me suis ressaisie pour enfin constater que les questions qui lui furent posées (20 minutes plus tard) étaient justement celles auxquelles l’article de M. Klein répond, 7 ans plus tard, même si Jean … (je n’ai pas su retrouver son nom de famille, sans doute le supérieur de madame Laplace, à l’époque) m’a sacrément embrouillée avec sa « colle », l’énergie de liaison et ses phénomènes de transition de phases (était-ce là la mention du fameux fartage???)… Fallait pas trop m’en demander quand même! Les diagrammes de Sandrine Laplace sont vraiment clairs… Le plan de la conférence est fourni dans la fiche explicative de la vidéo.

3… Mais finalement… avec la physique quantique, Il existe encore une possibilité pour que je ne pèse que le poids de la plume… ailleurs dans une autre dimension où je suis dédoublée !!! C’est ce qu’évoque Laurie Henry, dans TRUSTmyScience, article du 8 octobre :

L’Univers n’est pas localement réel : une découverte récompensée par le prix Nobel de Physique 2022

Bref… Orange ou plume… la masse de mon ignorance m’écrase tout de même alors que je ne suis peut-être même pas réelle… où suis-je ? Où cours-je ? Dans quel état j’erre ?

Ce qui est sûr c’est que je ne me tournerai jamais vers la médecine quantique que, dans le journal LE MONDE, Léa Sanchez et William Audureau dénonçaient le 10 octobre:

La « médecine quantique », de fausses thérapies qui surfent sur les révolutions de la physique quantique .


Les maths mâtinées de plaisir avec M. Launay

Pourquoi « mâtinées » ? Parce que les maths, c’est du sérieux d’abord! Mais avec ce professeur de mathématiques (lien du journal Sud-Ouest sous son nom et lien de sa chaîne Youtube « Micmaths » sous l’image ci-contre)

MICKAëL LAUNAY

les mathématiques deviennent vraiment agréables et même esthétiques, comme on le constate dans cette vidéo concernant les tables de multiplication !

Bon d’accord, dans cette vidéo qui date de juin 2015 le prof dit « une pétale » au lieu de « un pétale »… Voilà, c’est corrigé et ça n’enlève rien à sa science , (ceci étant dit pour tous ceux qu’une faute dérange, ce qui n’est pas mon cas).

Je ne vais peut-être pas télécharger son logiciel (il faut quand même beaucoup aimer les maths !) mais je vais regarder autant de vidéos que je saurai les comprendre chez lui!

Il a écrit un Dictionnaire amoureux des mathématiques, pour lequel il va être distingué par l’Académie de Saintonge… Reste à savoir qui est amoureux ! Me voici charmée, en tout cas!


Courir sur la lune…

imaginaire ou réalité? Eh bien c’est possible :

Les scientifiques étudient tous les mouvements des sportifs pour mieux comprendre le vivant et on peut effectivement faire du vélo comme sur la lune. On peut le lire dans (cliquez sur le titre)

Le JOURNAL du CNRS

dans la neuvième diapo de l’article (cliquez sur le titre)

Sport : la recherche sur tous les terrains

du 22.09.2021, par Joséphine Lavirotte et Cyril Frésillon

Personnellement, je continue mes séances de vélo elliptique quotidiennes… et je suis toujours autant dans la lune.

Je sais : il n’y a pas de quoi en faire la Une d’un journal !

Juste un lien vers un site où se cultiver.