Régénérescence


Pour avoir plusieurs fois lu et entendu, (comme par exemple en septembre dernier dans Ouest-France ici, ou en novembre dernier dans Marie-Claire ici, des articles faisant allusions aux publications scientifiques, celle du magazine Nutritional Neuroscience accessible ici ou dans cet article-ci du MDPI journal suisse, dont l’acronyme signifie: Molecular Diversity Preservation International)
que des chercheurs en neuro-sciences (dont Sandrine Thuret cf sa conférence en bas de l’article)
auraient démontré qu’il fallait manger des myrtilles pour aider le cerveau à régénérer ses cellules, j’en ai acheté, lors de nos dernières courses en magasin.
L’étiquette m’a évidemment arrêtée : elles viennent du Chili ! J’ai bien senti que je n’aidais pas la planète et notre futur, là… Mais bon, si c’est un médicament, j’ai fait l’achat quand même.
Bien sûr, j’ai tenté (restons modeste) de réfléchir par moi-même :
-A quelle fréquence faudrait-il en consommer pour qu’un seul neurone vienne renaître dans mon cerveau bien diminué ?
-Les chercheurs ont-ils des actions dans ce commerce (y a pas plus près que le Chili?)?
-Est-ce que l’intelligence se mesure en fonction du nombre de neurones ou de leur qualité (puisque la consommation de myrtille n’aurait pas d’efficacité dans le cas d’une dégénérescence avérée, commencée?)
-Est-ce pareil de consommer des myrtilles fraîches (à cause des traitements que leur ont fait subir les agriculteurs… parce que je n’ai pas trouvé de myrtilles du Maine!) que de la confiture de myrtilles?
Et la grande question: Qu’est-ce que l’intelligence humaine? avec ses corollaires : Comment meurt-elle? Survit-elle à la mort sous une forme ou une autre? Quelle est l’intelligence animale? des insectes?
Ouille!
Je sombre dans le brouillard de mes pensées nébuleuses! Chez Neithn j’ai découvert:
Terminons en plaisantant :
« -Allez mangeons nos myrtilles, pour devenir plus intelligents!
-Fais-toi plaisir, Chéri ( e), je te laisse ma part ! »
C’est de l’humour en sabots, ça, de celui qui écrase les pieds ! Après dégustation, on en fera peut-être en chaussons !
Observation obstinée


Comme au cours d’un repas en famille je fus moquée pour avoir énoncé l’idée que j’avais vu un satellite passer… Je m’obstine et je viens de photographier, vers 18 heures, un point lumineux fixe pendant de longues minutes dans mon ciel provençal.. alors qu’il n’y avait pas d’étoile !

Et comme j’ai convoqué la famille, voici la vue depuis la banlieue de Paris au Sud.

Souviens-toi de Damoclès !

Vous le voyez? Quoi? Mais cet objet volant, là, qui passe chaque matin vers 8 heures dans mon ciel provençal! Je me repère aux avions de ligne réguliers et aux arbres en-dessous.
D’accord… j’étais encore , le 13 octobre, en train de chercher Superman… ou plutôt ce fameux S que je vois souvent là-haut… et puis je l’ai vu progresser, ce satellite ou peut-être plus, et pourquoi pas… Non, pas lui.
Grossissez la photo, vous verrez des pales à l’arrière et sur le côté gauche, sans compter les révolutions de vapeur d’eau que doivent produire ses panneaux solaires ou ses radiateurs, que sais-je, moi! N’empêche, je l’ai bien vu passer là-haut 3 jours de suite, quel qu’il soit, satellite d’ici ou d’ailleurs… Et n’imaginez pas une seconde que j’aurais pu trafiquer la photo prise avec mon portable car il n’en est pas question du tout! Le portable a mis des filtres colorés, forcément mais je ne sais pas photographier en mode expert. C’est bien ce que nous avons capté, mon portable et moi, tel quel !

Du coup j’ai surveillé les jours suivants… Le lendemain, les nuages remplissaient la voûte céleste et brouillaient la scène, mais je me suis obstinée et je l’ai aperçu. Le surlendemain, ce matin, j’étais encore à mon poste d’observation et je n’ai d’abord vu que des ombres… Cependant dans ces échos dont les rotondités sont évocatrices par leur mouvement et l’illumination du soleil levant, je le devine encore… et sa recherche m’a tenue scotchée longtemps… Affaire à suivre !
Je sais, Norbert va encore me dire qu’il ne voit rien ! Faut zoomer, zoomer pour que se dessinent des amas géométriques, des points lumineux, des … peut-être objets dérivants dans l’atmosphère comme en parle cet article de mai 2021 sur TV5.
Il y aurait 1 million d’objets dans l’espace… beaucoup de pollution dans la stratosphère… et le risque est qu’il en tombe de temps en temps sur nos têtes, à nous, pauvres Damoclès…
Tenez, voici de belles images de mon morceau de ciel peut-être traversé par des objets, bien identifiables mais pas très visibles avec mon portable ou mon APN ! Et toujours le même S ! Attention sur les deux photos les plus zébrées… je n’ai rien vu de particulier ! Il faut bien laisser la place à la beauté, quand même!








Mes bosons ont besoin de farter leurs skis !

Scientifiques, passez votre chemin ! Il n’y a rien ici que vous ne sachiez déjà… à moins que vous ne souhaitiez rire de ma pensée limitée… Je vous y invite, bien sûr !
La Candide que je suis est une littéraire; quand elle monte sur sa balance… elle pèse sa masse et pour elle : masse = poids ! Je suis l’orange ! Eh bien, en tentant de comprendre l’intérêt du prix Nobel de physique, je viens d’en apprendre de belles ! Je pourrais être aussi une plume! J’ai passé toute une matinée à me familiariser avec la physique quantique…
- En écoutant les 4 minutes d’explications données par Etienne Klein sur France Culture le 5 octobre dernier (lien sous la photo et recliquez sur le bouton « écouter » une fois arrivés sur le podcast)… j’ai cru entendre que « la seule masse de mes constituants élémentaires pèse beaucoup moins que la masse de la somme des particules élémentaires qui me composent » (citation) car elle peut être égale à zéro… Et j’ai bien cru comprendre que lorsqu’une particule a une masse non nulle c’est… parce qu’elle se déplace avec des skis mal fartés sur le champ de Higgs qui les enveloppe toutes !
Moi, aussitôt, je ne fais qu’un pas et je me mets à croire que je ne pèserais rien, si mes particules élémentaires étaient rigoureusement statiques ! J’aurais donc bien raison de rester dans mon fauteuil ! Et si mes quartz ne pouvaient s’empêcher de s’agiter… s’ils fartaient mieux leurs skis en se déplaçant sur le champ de Higgs, leur masse totale aurait pu être presque nulle… Mais où trouver ce fartage magique ?
Hein ? Comment ça « la masse et le poids, ce n’est pas pareil en physique ! » ? Ah bon ? ça, j’ai toujours eu du mal à le comprendre… c’est pour ça que je suis passée autrefois de seconde C avec des notes médiocres en sciences à la 1ère A1 avec de bien meilleurs résultats, même avec deux langues vivantes, deux langues mortes et une option Maths!
2. Me voici partie à la recherche d’un exposé clair sur YT car je voulais mieux concevoir ce que sont ces bébêtes qui me composent, les quarks et les photons… j’avais besoin de rencontrer mes bosons, même qu’en imagination !
C’est avec l’exposé de Mme Sandrine Laplace , qui fait partie de toute cette communauté scientifique ayant contribué à la découverte de ce BOSON de HIGGS, en 2012, vidéo du 15 juillet 2015 que j’ai mieux compris l’affaire… Les 20 premières minutes m’ont passionnée, puis j’ai un peu dériv… Je me suis ressaisie pour enfin constater que les questions qui lui furent posées (20 minutes plus tard) étaient justement celles auxquelles l’article de M. Klein répond, 7 ans plus tard, même si Jean … (je n’ai pas su retrouver son nom de famille, sans doute le supérieur de madame Laplace, à l’époque) m’a sacrément embrouillée avec sa « colle », l’énergie de liaison et ses phénomènes de transition de phases (était-ce là la mention du fameux fartage???)… Fallait pas trop m’en demander quand même! Les diagrammes de Sandrine Laplace sont vraiment clairs… Le plan de la conférence est fourni dans la fiche explicative de la vidéo.
3… Mais finalement… avec la physique quantique, Il existe encore une possibilité pour que je ne pèse que le poids de la plume… ailleurs dans une autre dimension où je suis dédoublée !!! C’est ce qu’évoque Laurie Henry, dans TRUSTmyScience, article du 8 octobre :
L’Univers n’est pas localement réel : une découverte récompensée par le prix Nobel de Physique 2022
Bref… Orange ou plume… la masse de mon ignorance m’écrase tout de même alors que je ne suis peut-être même pas réelle… où suis-je ? Où cours-je ? Dans quel état j’erre ?
Ce qui est sûr c’est que je ne me tournerai jamais vers la médecine quantique que, dans le journal LE MONDE, Léa Sanchez et William Audureau dénonçaient le 10 octobre:
Les maths mâtinées de plaisir avec M. Launay
Pourquoi « mâtinées » ? Parce que les maths, c’est du sérieux d’abord! Mais avec ce professeur de mathématiques (lien du journal Sud-Ouest sous son nom et lien de sa chaîne Youtube « Micmaths » sous l’image ci-contre)
les mathématiques deviennent vraiment agréables et même esthétiques, comme on le constate dans cette vidéo concernant les tables de multiplication !
Bon d’accord, dans cette vidéo qui date de juin 2015 le prof dit « une pétale » au lieu de « un pétale »… Voilà, c’est corrigé et ça n’enlève rien à sa science , (ceci étant dit pour tous ceux qu’une faute dérange, ce qui n’est pas mon cas).
Je ne vais peut-être pas télécharger son logiciel (il faut quand même beaucoup aimer les maths !) mais je vais regarder autant de vidéos que je saurai les comprendre chez lui!
Il a écrit un Dictionnaire amoureux des mathématiques, pour lequel il va être distingué par l’Académie de Saintonge… Reste à savoir qui est amoureux ! Me voici charmée, en tout cas!
Courir sur la lune…
imaginaire ou réalité? Eh bien c’est possible :

Les scientifiques étudient tous les mouvements des sportifs pour mieux comprendre le vivant et on peut effectivement faire du vélo comme sur la lune. On peut le lire dans (cliquez sur le titre)
dans la neuvième diapo de l’article (cliquez sur le titre)
Sport : la recherche sur tous les terrains
du 22.09.2021, par Joséphine Lavirotte et Cyril Frésillon
Personnellement, je continue mes séances de vélo elliptique quotidiennes… et je suis toujours autant dans la lune.
Je sais : il n’y a pas de quoi en faire la Une d’un journal !
Juste un lien vers un site où se cultiver.