Réfléchir sur trois fois rien, demeurer dans le léger pour ne pas s'abîmer dans le grave.

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Jérémie Villet photographe animalier

Que de patience, que de passion! Quel beau métier !

Sur la 2 Jérémie nous raconte sa vocation. C’est beau! 

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Hein?

Isis
Reine de Saba

Les arbres ont-ils des sentiments?

Les arbres ont-ils des compagnons, des copains… s’unissent-ils? Je n’ignore pas que parfois certaines espèces vont par deux et se marient, l’un fertilisant l’autre… mais ont-ils des sentiments? des amis?

Je me suis fait cette réflexion en regardant le panorama vers lequel j’avais été attirée par les détonations des chasseurs de septembre… Soudain j’ai vu trois couples d’arbres : cèdres, cyprès et peupliers… J’en ai remarqué d’autres mais ces trois-là ont impulsé ma réflexion… Un émondeur est passé dernièrement demander s’il fallait rabattre nos pins… puis ce métier, émondeur, est apparu plusieurs fois cette semaine dans nos lectures et nos propos à la maison… Couper un arbre, ça me gêne vraiment.

Le grand pin parasol de nos voisins a alors capté mon regard… désormais solitaire, il a perdu son compagnon depuis trois ou quatre ans déjà… Le voici célibataire, du fait des tronçonneuses humaines… Ne s’était-il pas lié pour des années? Sa propre existence a-t-elle une durée déjà programmée ?

Les hommes découpent les arbres et ce n’est pas toujours pour se chauffer…

Les deux colombes endormies de chaque côté de ses branches basses ont soudain bougé, révélant leur présence discrète… dans le soleil levant… sous l’écho des tirs humains… Tristesse… Puis les appels répétitifs séniles d’une voisine, amie d’autrefois, ont retenti dans le silence retrouvé de ce matin ensoleillé… Tristesse… Enfin la dorure omniprésente du soleil sur le bleu céruléen m’est redevenue évidente comme la pensée des miens… Chaleur, Espoir, Vie.


Mammatus habité ☁️

A l’aube, j’ai observé, comme de nombreux Provençaux debout à cette heure-là, ce phénomène atmosphérique dont j’ai appris le nom dans la matinée : un mammatus! Dire que j’ai vécu 64 ans sans connaître le nom d’un tel événement déjà observé une ou deux fois !

Je blague… Tant d’ignorance me caractérise que je ne suis plus à un apprentissage près…. Non, ce que je retiendrai, c’est que sous cette masse imposante de poches rondes… Des petits nuages de style stratus ont, encore une fois, évoqué dans mon esprit fertile, un triangle ( le retour ?) , puis un personnage en aube… Normal à cette heure-là ! En néphophile passionnée ( = amatrice de ☁️ ) je ne pouvais pas oublier de fixer ici ce bel instant vécu à ma fenêtre face à l’immensité panoramique de ces sillons célestes ornés d’un pendentif en leur sinus central ( il faut zoomer pour le voir… Mais pourquoi donc les objectifs ne rendent-ils pas ce que l’oeil, même un seul et le bon – coucou Norbert – voit si bien?) !


Brèves de Nature

La voyez-vous?


gnome (réécriture d’un article de 2013) :

Petite feuille…
le gnome vu dans le cerisier

Dans The Queen of Air and Darkness, dont je ne vous recommande pas la lecture, Poul Anderson imaginait dans les années 70 (et il avait obtenu le Prix Hugo en 71), une divinité qui dupait les gens pour les repousser. Bien sûr je n’avais pas apprécié cette nouvelle, qui, en 2013 m’avait hantée un bon bout de temps d’autant plus que j’ai lu ensuite Morwenna de Jo Walton, qui m’avait rassérénée car l’héroïne voit des fées qui lui parlent dans les buissons… J’avais regardé la Nature, dans mon jardin, avec attention et y avais vu un gnome. Ce personnage parlait le langage très commun, restitué avec Photoshop… celui du corps. (J’entends par là que nos gestes sont un langage tacite qui nous paraît très clair… un langage primitif, presque universel… mais certains gestes, certaines réactions physiques, paraissent blessants en dehors du lieu ou du pays où ils sont faits, alors même qu’ils ont été faits sans malice… Et finalemant nombre de gestes peuvent être interprétés différemment selon les contextes.)

Je me rends donc compte que de vert, ce gnome pourrait devenir rouge et faire allusion au feu qui guette toujours en cette période de chaleur et de vent. Ce fléau, le feu, est généré par la présence d’humains inconscients, provoquant des malheurs difficilement combattus par des pompiers au courage remarquable, indispensable, admirable.


Saba et Isis🐈🐱

Voici les deux petites dernières de la famille, adoptées par ma belle-fille et mon fils! Des robes noires, des yeux vifs, des gestes supersoniques… à deux mois pile, elles sont enfin nôtres! Big câlins en perspective !

(Ce ne sont pas leurs vrais noms mais des pseudonymes pour deux petites reines de Saba. Leurs vrais noms appartiennent à leurs compagnons humains!).


Tête à queue 🕸️🕷️

« J’ai tout bu » dit Arachné…

Tapie pour mieux nous leurrer…

« De mon vis fondamental

Je lorgne votre frontal…

Aucun clin ne me plissera l’oeil !

Mes rondes billes guettent l’écueil

De quelque proie fuyant au-delà

De mon faux regard… À l’opposé…

Sans se méfier des noirs éclats

De ma tête qui happe… Jet posé ! »

Et tout droit dans ses bras écartés !

L’accident n’est pas filmé… La macro de mon portable a des limites ! C’est un drama provençal que je réalise là, intitulé… Du fond d’un coeur de tournesol 🌻 ( je crois… Identification de plante sujette à caution!)

Donc la technique de cette arachnide vient de son oeil sur son arrière train ! ( Je décrypte le sujet au cas où mes élucubrations seraient trop absconses !) Bonne semaine à tous !


Passages éclair…🌹💐🌸🥀

            de ces fleurs dont je souhaite garder une trace tant leur éclat m’impressionne…

Shy… Tel est le nom qui me vient à l’esprit en plongeant dans cet incarnat. Photo non modifiée!

Ces belles d’un jour ou deux repeuplent notre petit espace chaque année dans la symphonie des bourdonnants amateurs de pollen… Voici les roses, le chèvrefeuille, les fleurs de grenadier qui ne donneront pas de grenades… et surtout, depuis deux ans… les géraniums qui produisent une illusion de balcon alsacien en accord avec notre patronyme.

            On croirait certaines montées en crème chantilly… D’autres se dressent comme des oratrices et font leur show à leur tribune. La senteur de leurs effluves embaume l’air provençal… la douceur de leurs pétales nous est offerte… perceptible par l’oeil…point n’est besoin de les toucher… On dirait la peau de ma fille, ma reine qui a hérité des gènes des bords du Rhin… Sur un fond de ciel bleu comme la couleur de ses yeux…

Et sous les pins, la fleur de grenade, ce fruit que mon fils et moi aimons partager…

Près de la balançoire de ma petite-fille… C’est mon Eden.


Eclairages et réminiscences…📸🔦💡

            Comme Mininous a repris le chemin de sa maternelle parisienne… la maisonnée est bien silencieuse. Le soleil☀️, néanmoins, continue de briller sur le cerisier du jardin 🍒qui approche certainement du demi-siècle d’existence… Il paraît qu’un tel arbre🌳 peut vivre jusqu’à 100 ans… Le nôtre a déjà bien vieilli et ses « cicatrices » sont visibles ainsi que les coupes subies… pour le maintenir en vie!

            Le cadrage photographique 📸change le regard porté sur le tronc éclairé par le soleil du matin… à gauche les fruits sont nombreux et la star, sur laquelle le projecteur solaire est sensible, brille de mille feux, s’imposant à tous par son éclat comme la première de toutes…. à droite, l’entaille du bois amène le regard sur la deuxième cerise mise en lumière et les autres qui attendent d’être remarquées à leur tour comme à l’arrivée d’un gala💐… Ce sont les métaphores de la gloire dans notre société!

            Nous avions l’impression que les fruits étaient bien petits cette année et guère dignes d’être appelés des burlats… mais ils grossissent et les oiseaux ne les ont pas tous mangés… Nous ne traitons pas l’arbre (et nous avons certainement tort) mais nous ne mangeons pas non plus ses fruits car ils arrivent à mâturité avec… fourrage de vers assuré! Ce sont les oiseaux qui en profitent, surtout les mésanges que nous voyons avec plaisir du fait qu’elles sont des dévoreuses de chenilles processionnaires…

            A l’école, hier, Mininous a appris à dessiner… un serpent! 🐍Sans doute pour peupler un Eden imaginaire… et s’assurer l’accès aux connaissances!

            Je ne peux pas m’empêcher d’être attristée parce que les piverts ont délaissé le coin… sont-ils morts ? (Ils nous réveillaient vers 6 heures par leurs « rires » fracassants et je crains que quelqu’un les ait tués… Par ici les gens sont bien jaloux de leur « tranquillité » et ils ont déjà par le passé tiré sur les pies ou les geais pour les faire taire! ) J’espère qu’ils ont juste changé de lieu de prédilection.

            Le passage de Mininous laisse des souvenirs vivaces… Je l’entends encore chanter « Stone le monde est stone » parce que « C’est Maman qui chante ça ». Et au frigo… les fromages et desserts pour enfants sont à terminer… Et aux toilettes, on entendrait presque notre toute petite crier encore « J’ai fini! » pour qu’on vienne tirer la chasse hors d’atteinte! Grâce à ses parents nous la voyons presque quotidiennement avec Whatsapp😍… La technique a du bon tout de même!😊


Une orchidée sauvage, l’orchis pourpre

Le 5 mai 2013 je photographiais cette  orchidée sauvage dans mon jardin : 

ophrispurpurea2

Cette orchidée est la PURPURA mais elle ressemble beaucoup à la MILITARIS. 

Voici un « petit soldat » pour preuve:

ophrispurpurea

Les  trois exemplaires  du jardin se dressent fièrement près de l’abricotier…

On désigne  aussi ces fleurs par l’expression « de la Pentecôte ».

Une trentaine de  casques aux formes  aérodynamiques…

Mais les fleurs ne dévalent pas de pente de verdure… Elles montent la garde de quelques mètres carrés sur la colline! J’ai consulté ce site savant: FLOREALPES.

Comme les fleurs sont plus rondes que longues, j’en déduis qu’il s’agit de « l’Orchis purpurea » et non de la « militaris », plus claire aussi. Ce n’est pas une fleur très rare… on est toujours content de les revoir… Aux mêmes places. 

ophrispurpureaChaque  hampe de fleurs  présente les divers stades de la floraison;  à la naissance , elles semblent  faire leur prière… puis se déplient artistiquement.

Une compagnie de petits personnages fantasques, pour faire marcher au pas notre imaginaire…

Ces petits bonshommes peuplent les fourrés de contes enchanteurs, pour qui sait rêver…

Chaque fleur a des petits bras ballants et une tenue qui ressemble à une véritable livrée d’Ancien Régime… Pour un chevalier des prés, qui va peut-être se montrer, au détour d’une feuille…

Leurs coloris se sont assortis, alternant points et rayures. Ils  font jouxter le parme, les grenats, le violet, le rose  et les verts délicats., afin d’agrémenter les lieux encore une fois douchés par  si peu d’ondées que leur pré est bien sec! 

Une « orchis » ( pas une « OPHRYS »)… Ces noms ont une sonorité magique, sonnent comme une incantation féérique…

ophrispurpurea1

La hampe, elle-même, est un petit lutin, une personne qui penche la tête.

Décidément,  de nouvelles arrivées captent nos regards… presque chaque jour. La nature  sauvage s’exprime… Mais  la tondeuse va bientôt opérer ses coupes sombres.

Pourvu que le maître des lieux ne se trouve pas trop vite le courage de couper tout ça…

Dans les jardins adjacents, les autres mécaniques appellent à l’acte réducteur de têtes… Sécateurs, scies et tondeuses ont entonné leur chant lancinant.

En attendant, instruisons-nous sur ce site récapitulatif des orchidées sauvages.

En ce mois de mai 2022… Les orchis pourpres sont au nombre  de 4! Elles se multiplient d’année en année. 

orchis de 2022

Mais que font-elles donc? (mise à jour du 2022-04-30)

            J’avais posé la question : si quelqu’un peut m’expliquer ce que font ces abeilles en se posant et suçant la base des feuilles de laurier cerise… J’en serais moins ignorante!

            Et je viens de trouver la réponse sur le site Apistory, avec la requête de recherche sur Google « abeilles et laurier-cerise », dans la page Plantes mellifères, qui contient une foule de liens vers les articles dédiés ! Il faut cliquer dans « laurier cerise » Internet est bien plus utile que mes encyclopédies et livres divers! En gros la plante les incite à la reconnaître pour qu’elles reviennent quand elle fleurira ! Maligne la flore!


Même décor, plusieurs acteurs! 🐦🎞️ Mise à jour… du lendemain (étourneau et pivert)!

  • Dans les mêmes lieux… première séquence : l’oiseau noir… J’ai cru voir un merle, un juvénile car il est plus tacheté brun que noir mais, d’après mes recherches dans les deux livres de droite et surtout sur Internet,

il s’agirait plutôt d’un étourneau sansonnet, bien que je n’aie pas vu spécialement de reflet vert sur sa robe de plumes…, qui est venu voir s’il était possible de manger un bébé mésange! …

Si quelqu’un sait faire la différence entre un merle et un étourneau, qu’il ou qu’elle s’exprime… car par honnêteté, je viens de passer plus d’une heure à refaire ma vidéo et la retélécharger sur Youtube! J’ai dû changer de musique (pour que Youtube ne me reproche pas de fournir la même vidéo… ? ) … et j’aimais mieux l’autre!

           Cet oiseau à définir a réalisé une approche en plusieurs temps autour du nid de mésanges bleues dans le paulownia, situé de l’autre côté de l’arbre, au niveau de la fourche morte… puis il a tenté de comprendre comment attraper un oisillon mais il a été bien freiné par les protections que Papy H a installées : une grille et du grillage que l’on aperçoit dépassant du tronc… Ah ! Ah!

Alors… un parent mésange s’est manifesté et installé sur une branche plus haute, en se grossissant tant qu’il a pu et interpellant l’intrus avec insistance… le jeune prédateur a dû se retenir… faisant semblant de se laver les plumes et de se désintéresser du nid… (je n’ai pas intégré cette scène dans la vidéo car ils étaient trop loin de l’objectif et je n’ai pas refait la photo ci-dessous remplacez « merle » par « étourneau » s’il le faut! ).

            Finalement ce jeunot de merle ou cet étourneau tout beau a fait son oiseau nonchalant, tournant autour et est reparti bredouille, après sa promenade…

            Je ne vais pas me spécialiser dans l’observation de la nature… faute d’outil performant pour montrer mes visiteurs ailés📸… Cependant j’ai bricolé une cache qui m’a permis ce matin de filmer le pivert creuseurs de tunnel de plus près (vidéo 🎥 en montage). C’est UN cache ( voilà que je prenais mon portable pour une personne … Mais je lui parle parfois … O.K. Google!) en carton et tissu pour mon portable! Notez… la pince à linge!

Quel plaisir je prends à les regarder et surtout à les écouter… Leurs chants couvrent assez le bruit de l’autoroute toujours plus fréquentée, dont les sons remontent depuis la vallée,entre deux collines, le long de la pente couverte d’habitations où se situe notre toute petite maison.🏡

La réalisation de ces vidéos me fait perdre beaucoup de temps 🎬, même si les transitions de plans sont réduites au minimum… le choix de la musique dans la bibliothèque de Youtube 🎧dure… des plombes ! ( Le niveau de langage montre mon agacement).

  • Séquence 2 : Alors voici le pivert que j’ai filmé grâce au cache…

Je vais arrêter pendant quelques temps d’être « documentariste amatrice » pour les oiseaux ! J’ai changé la vidéo de l’oiseau noir pour que les gens qui iront sur ma chaîne ne lisent pas d’erreur. Je laisse donc la question posée… On verra si quelqu’un me donne la réponse.

  • Désormais je m’occuperai des insectes car j’ai appris à connaître le Bombyle, cette mouche qui a des airs de colibri, grâce au livre de gauche (sur la première photo de cet article) que je recommande chaudement (les deux autres ne doivent plus être disponibles car ils sont en ma possession depuis trop longtemps). Il présente le monde des insectes avec humour et de splendissimes photographies.

Histoires de Pivert… suite 🐦

            C’est en couple que les Piverts sont revenus hier… Ils ont d’abord chassé un merle puis il semblerait que Madame se soit occupée à creuser, creuser… peut-être un nid? On aperçoit le trou déjà énorme sur la photo de gauche…

                        Et puis ce matin, je crois que c’est monsieur qui est revenu continuer le travail de percée du pauvre paulownia devenu HLM! Il m’a fait un beau numéro, un vrai défilé de mannequin!

            Cet après-midi, c’était un pic épeiche, magnifiquement rayé, qui s’est posé là mais il n’a pas su attendre que je dégaine mon appareil photo et s’est échappé dédaigneusement! Une autref ois peut-être…

            Certes, je suis une mauvaise réalisatrice de documentaire animalier… mais vous pouvez admirer une nouvelle fois le pyracantha que j’ai taillé en coeurs!!!

            Quelqu’un peut-il me dire s’il vaut mieux cliquer sur « réservé aux enfants » ou « tout public » quand on télécharge une telle vidéo sur Youtube, SVP?

            A plus!


Soleil d’avril ☀️ Mise à jour du 13 avril 22

Ce petit air que j’ai chantonné dans mon jardin, contente de vivre enfin un jour sans vent et ensoleillé… tout en veillant à ne pas provoquer la pluie…

et que j’avais attribué à Marvin Gaye, a suscité des remarques de blogueurs bien plus savants que moi en matière de musique. Lisez les commentaires de cet article. N’étant qu’une amatrice trop éclectique… je reconnais la véracité du principe suivant: « Qui touche à tout… ne connaît rien! » et fais donc confiance à mes référents.

Merci à Christian et Domdom qui prennent soin de moi et m’ont indiqué que je commettais une erreur en attribuant ce titre à un interprète plutôt qu’au créateur, BOBBY HEBB.

Donc voici le véritable créateur de SUNNY (Merci à Christian, qui m’a plusieurs fois beaucoup appris, au sujet des Beatles par exemple, dans son blog)

J’adore comment le chanteur prononce le e de « I love you »! Je trouve que sa prononciation est bien plus belle que celle dont j’avais l’habitude.

Et voici une version toute en énergie par le même Bobby, avec un jeu de guitare très expressif… très passionné, que m’a recommandé DomDom, mon référent perso en Kpop, qui a tant d’autres cordes à son arc ou de tambours à sa batterie (j’hésite encore sur la formule appropriée en ce qui le concerne, puisqu’on est plutôt dans la Soul ou le Funky ou la Popmusic… (Messieurs, j’en appelle à votre expertise SVP…) :

Enfin voici la version de Marvin Gaye que j’écoutais dans ma jeunesse parce que ma voisine me l’avait prêtée !

Du coup j’avais le projet de revenir sur les versions de… Boney M. (que j’allais prendre sur leur chaîne Youtube mais puisque Domdom en a parlé avant que j’étoffe l’article … je prends celle qu’il m’indique)

Et je terminerai avec la version de Christophe Willem parce que ma belle Clara (génération de mes enfants) l’a mentionnée en premier quand je lui ai chantonné le tube!

Bon ben je pense avoir bien fait le tour de la question!!!

Bon jour de soleil à tous ceux qui passeront ici!


Woodpecker 🐦

            Ce n’est pas le Woody de Disney mais le pivert de notre jardin! Et il ne chante pas pareil!

            Nous n’avons pu le filmer qu’à travers le rideau de la cuisine, devant laquelle se situe le paulownia, malheureusement mort d’épuisement l’an passé et qui abrite un nid de mésanges bleues…

            On entend le pivert chanter au début de la vidéo. C’est Papy H. qui a identifié son chant le premier. J’avais quant à moi reconnu son espèce, en le voyant passer dans le jardin, avec son manteau vert et sa couette rouge de Viking!

            Il a vraiment l’air carnassier… le bec si pointu … ce pic qui a creusé plusieurs trous dans le tronc auquel il s’agrippe. Désormais quand j’entends son ricanement et que j’aperçois son allure qui n’a rien du dessin animé… j’en ai un peu froid dans le dos parce que je sais qu’il guette le départ des mésanges pour essayer de se servir dans leur nid… à l’affût, aux aguets, bien caché derrière le tronc..

Pensez à cliquer sur « like » en visionnant la vidéo sur Youtube, SVP.


Savoir s’arrêter

Ai-je exagéré ? Sans doute. Avec l’entrée des tourterelles… j’ai trop créé… Alors je ne vois plus les défauts. Si quelqu’un voit un truc à améliorer, qu’il ou elle me le dise avant que j’ouvre le cerceau et transforme le tout en pochette.

Le cerisier du Japon

Inutile de me demander quelles sont ces fleurs… elles sortent de mon imaginaire car les coquelicots sont trop rouges, les primevères trop fournies… tout est trop… ou pas assez. C’est tout moi, quoi!

Je rappelle que le cercle est oblong et pas rond volontairement, comme une graine… Encore une idée contestable sans doute. Tant pis. Le tout me plaît quand même assez… Enfin, je ne sais plus.


Décors lénifiants

            Quand les médias me stressent trop… je me réfugie dans les dramas coréens ou sur Youtube où je pérégrine dans des lieux magnifiques!

            Souvent au Japon ou au Canada. Le 18 mars j’ai marché dans Tokyo en admirant les cerisiers en fleurs, hier j’étais dans un parc canadien et je m’émerveillais des rapports familiers de tamias avec les humains qui les nourrissent. Et comme j’observe les oiseaux dans mon propre cerisier qui n’a pour l’instant qu’une dizaine de fleurs, je vais aussi en apprendre plus sur les oiseaux, qu’ils soient du Japon ou d’Europe… Je vous recommande donc les chaînes Youtube suivantes ( chaque image est un lien direct vers la chaîne en question) :

            J’y découvre des beaux panoramas paisibles qui me consolent des malheurs que connaît la terre ailleurs! Comment ne pas être heureux en regardant :

ou encore :

ou encore :

ou encore :

etc.


Broder : fin d’ouvrage

            Mon tableau est terminé.

Au pays de Mininous

Il m’a donc pris 2 mois :

            Maintenant il va falloir l’encadrer… quand j’aurai trouvé le cadre adéquat!

            Je vais laisser fils et aiguilles en boîte pour quelques temps, histoire de faire autre chose… pour mieux recommencer! Les journées n’ont que 24 heures et elles passent trop vite!


Une chaîne Youtube

            Il m’en a fallu du temps pour trouver le moyen de mettre ma voix ici! Il suffisait de créer une chaîne Youtube. Voilà qui est fait. Depuis 2 jours, j’observe les oiseaux, je les filme et j’ai fait 3 vidéos en MovieMaker que j’ai téléchargées sur ma chaîne Youtube. N’hésitez pas à les liker et à vous abonner à ma chaîne (elle contiendra bien peu de contenu… mais j’en serai fière quand même!).

            Dans le troisième film, j’ai placé quelques mots en narration orale. Voilà qui est terminé et je me suis bien amusée!


Mars sur ma planète :

Les jours se suivent… bla bla bla! Le 1er mars baignait dans la douceur et le soleil printanier…

Nous marchions allègrement près de la sainte Victoire…

Marcher prend du temps mais nous rend des racines, pour nous accrocher à toute paroi, comme le font les pins :

et nous avons de la chance de n’être soumis qu’au couvre-feu à 18 heures pour l’instant…

Marcher prend du temps… et quand on rentre… on s’écrase sur le divan dans une bonne quiétude…

Alors, quand dès le 2 mars… tout redevient gris souris dans le coin…

ce n’est pas grave car nous avons pu respirer librement dans nos collines (Malgré les détritus vus ici ou là… la France reste belle) et parce que nous allons pouvoir reprendre le chemin de l’école avec de beaux paysages en tête…


FEBRUARIAS VIOLAS

Les violettes de février:

Aencreviolette  Bfleurtimide


POST PLUVIAM

« Après la pluie »:

La nature me console des soucis du quotidien…

( Ces soucis ne sont rien de plus que des élèves qui n’écoutent pas, des étrangers peu polis, un retard quelconque…

Rien d’important sinon le train train quotidien de la vie ordinaire.)

Bonne semaine à tous.


« To pür kaï ton üetion chronon »

« Le feu et le temps pluvieux »

Voici une nouvelle qui va réjouir ceux qui ne me trouvaient trop chanceuse:

LA PYRALE du BUIS attaque notre allée et menace nos buis d’extinction…

Il s’agit d’une chenille qui devient un papillon de nuit et elle est très vorace.

La plante se dissout en dentelle mortifère…

Ou bien  les feuilles ne sont plus que des fantômes d’elles-mêmes, comme après le passage d’un feu.

Bien sûr nous traitons les arbustes… qui, chez nous, sont heureusement encore assez verts…

Pourvu que nous réussissions à les sauver.

Titi soigne sa  pépinière avec une attention redoublée…

Un arrosage régulier crée de jolis arcs-en-ciel familiaux…

Et puis le temps s’est mis à la pluie… le temps d’un passage de nuages original:

On dirait que des personnages ont pris place dans une tribune au-dessus de nous…