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Une conversation instrumentale

Bon ils causent chinois… Enfin je crois, d’après l’écriture que j’interprète comme telle…parce que la chaîne YT est sise en Malaisie… ???
Mais je crois reconnaître le compositeur dont j’ai déjà apprécié une composition de percussions… Enfin, je n’en suis pas certaine non plus… Que c’est rageant d’habiter dans une tour de Babel quand l’Asie est si éloignée linguistiquement de ma partie du monde!
Comme c’est bizarre qu’ils n’aient pas l’idée de proposer de l’anglais… Ni aucun mot de présentation compréhensible de ce côté de la Terre…
Mais dans toute mon ignorance, ce dont je suis certaine, c’est d’avoir apprécié au plus haut point cette prestation des plus insolites pour moi …. Et que je la trouve joyeuse, plaisante ! On en sort content.


Sheng… étonnant !

Alors l’adjectif « étonnant » est pris ici au sens étymologique, parce que je suis sonnée comme après un coup de tonnerre !
Cette prestation m’a éberluée, plus encore que le rock métal que je ne supporte qu’à petite dose ! C’est un orage de sons qui se déverse sur l’auditeur et qui me fait penser à ce dessin de Gilles.
Impossible de dire si j’ai apprécié ce morceau… En tout cas je ne l’ai pas détesté…
Il reste que j’ai froncé les sourcils jusqu’à la dixième minute d’écoute, ensuite j’ai un peu reconnu des émotions dont j’ai plus l’habitude en écoutant de la musique orchestrale.
J’en fais un article pour me rappeler dans le futur que je dois faire preuve d’ouverture d’esprit sans quoi je ne pourrais pas me qualifier de mélomane !
Cette concertiste y met toute son âme comme on le constate plus particulièrement dans le dernier mouvement.
Les applaudissements sont la preuve du succès de l’oeuvre… qui m’est très largement difficile à comprendre, toute en sons déconcertants au possible.
Encore une fois je suis incapable de nommer le compositeur, la soliste comme le chef d’orchestre. J’en suis bien triste. La vidéo semble ne s’adresser qu’à l’Asie et pas au reste du monde… M’en voici doublement exclue, ce qui ne m’empêche pas d’avoir envie de me souvenir de cette expérience !
Quel curieux instrument que ce sheng, orgue portatif qui sonne… comme un jouet pour enfant alors qu’il semble très difficile à manier ! Je l’ajoute à ma collection de découvertes originales, après avoir écouté et apprécié le pipa, l’erhu, le guzhen et d’autres instruments chinois.


Résonances…

Certains airs, certains mots, certains sons résonnent longtemps, en échos profonds ou légers…
Longtemps les pires m’ont paru les plus persistants…
Enfin je parviens à ne retenir que les ricochets joyeux des gentillesses, les sonorités apaisantes des personnalités amicales, les accents vibrants de ceux qui ont pris le temps de me parler vraiment…
Les paroles lénifiantes de ceux qui m’ont lue et appréciée… Voire qui m’ont renvoyée vers de nouvelles pensées…
Leurs voix résonnent en vitaboucles de pensées, venues d’autres régions ou du monde… De mon temps, d’époques passées ou d’espaces-temps imaginés… en images de beauté, en senteurs rosées, en vibrations pures désintéressées…

Écouter en boucle ces sons colorés qui m’ont été envoyés…


The rise of Phoenixes et autres séries d’Asie

Soixante-dix épisodes pour cette série qui m’a particulièrement plu :

The rise of phoenixes avec Chen Kun, Ni Ni, Zhao Lixin… comme on le lit chez Nautiljon ici

se passe à l’époque médiévale chinoise chez un empereur qui a des soucis parce que ses fils (une dizaine au moins d’enfants nés de plusieurs épouses et concubines) s’entretuent!

On suit le destin de Feng Ziwhei, enfant du précédent empereur renversé par l’actuel père préoccupé et le destin de Ningh Yi, fils de l’épouse royale préférée qui fut assassinée dans l’enfance de ce prince.

Les personnages m’ont séduite. L’empereur est… impérial, vraiment! Dans le genre… monstre séduisant, avec son rire inattendu, son affection paternelle à éclipses et ses colères dévastatrices… Le couple de héros est attachant, maniant le « je t’aime moi non plus » qui les amène à l’épisode 58 avec juste un ou deux baisers, comme dans les dramas coréens!

Cette série a déjà battu les 51 épisodes de The Empress Ki dans lequel les tout derniers mots m’avaient enfin récompensée de ma fidélité de spectatrice romantique!!!

Les décors sont plus grandioses que dans les dramas coréens même si tout le monde est toujours à genoux ou assis par terre!

Les costumes sont fastueux (les robes féminines me paraissent bien plus soyeuses et légères à porter que les hanboks bien qu’elles enserrent plus la poitrine et cachent encore plus la taille avec les longues manches des « manteaux » jamais portés en protections de tête); Les coiffures sont nettement plus originales et diverses. Et j’aime voir les hommes aux longs cheveux défaits (mais les réalisateurs n’abusent pas de cette scène d’intérieur parce que la plupart des acteurs portent des perruques).

Evidemment le fait que l’héroïne puisse passer facilement pour un homme est totalement ridicule… mais il faut accepter ce stratagème pour que la narration puisse exister! Quelques combats bien chorégraphiés m’ont amusée mais pas les déplacements des armées en plastique ( j’avais écrit « en plastic » et c’est vrai que les explosions abondent!) .

Le garde du corps de l’héroïne est trop mignon; il est le second amoureux de F. Z., un parfait adepte d’art martial ( et le voir agir a été mon plus grand bonheur dans ces images! Il est à admirer, voir et revoir, taillant une noix aux alentours du 53ème épisode) … le troisième amoureux, le roi aux nattes, le malheureux amoureux rejeté et toujours assidu, est attendrissant.

Bref tous les acteurs font très bien leur travail, selon les codes du genre.

La progression narrative est aussi lente que dans les dramas coréens et nous méritons les scènes gratifiantes qui viennent finalement nous combler!

Croyant que les dramas coréens me correspondaient mieux, j’avais quand même suivi : Le jardin des météores dans lequel j’avais apprécié Dylan Wang et tout le groupe d’acteurs, pour une histoire d’étudiants dont le milieu social différait trop au point de contrarier leurs projets de vie commune…

puis j’avais regardé que The rational life qui m’avait déjà montré la richesse des décors chinois et qui parlait des technologies modernes dans le domaine de la commercialisation des automobiles (la voiture électrique et la conduite par IA) … avec les luttes internes aux dirigeants d’entreprises pour l’élimination des concurrents et l’enrichissement personnel.

Conclusion: Je suis intéressée par toute la production télévisuelle asiatique…

Même Triad Princess qui est de Taïwan, m’a procuré une distraction que je ne renie pas!

Néanmoins (et tête en plus) je me dois de rappeler que tout ce qui est nippon n’est pas toujours bon. J’en veux pour preuve cette gentillette série que j’ai quand même vue jusqu’au bout :

I Will Be Your Bloom, Asuka et les garçons, était une petite fleur du printemps vite flétrie. L’histoire d’une gouvernante de groupe de JPop nous est contée. Elle fut prof quelques temps mais, en butte à la mauvaise foi et la méchanceté de certains, dut se réorienter.

Le point fort de cette série est la création d’un boysband… C’est pratiquement tout. Ce que je reproche au personnage principal féminin est son éternelle bonne volonté… forcée. Je n’aime guère cette caricature de la gentillesse, en fait! Elle se force à se sacrifier aux autres pour se trouver une raison de vivre. Quant au héros masculin… J’ai tiré la conclusion que

le mâle japonais est fait de colère et de cris, repoussant ceux qui l’aiment et qu’il aime, sans raison, idée que j’avais un peu vue dans Good Morning Call

mais rapidement le héros s’était humanisé sous l’influence de son ami si original. Je recommande donc cette série-ci et non la précédente.


Shen Yun m’a enchantée

Quel beau spectacle! Quels souvenirs précieux vécus en compagnie de ma fille et ma belle-fille, pendant que les hommes de la famille se récréaient au bowling 🎳 avec Mininous.

Nous étions au parterre sur la gauche, vers le haut et nous voyions très bien la scène. La position décentrée augmentait même un peu l’intérêt des volumes dans les tableaux dansés.
Tout d’abord j’ai trouvé les danseurs plus petits que dans mon imagination nourrie par les vidéos de YouTube. ( Il paraît que Tom Cruise est tout petit alors que, sur l’image, il a la carrure d’un héros!)
Ensuite les scènes contées étaient simplistes (victimes sauvées, fins héroïques…) Et on a même eu droit à l’évocation de pets, du comique de gestes comme dans la farce.
Mais il y eut tant de qualités pour faire oublier ces travers d’un spectacle tout public !

L’orchestre nous a baignées dans une musique originale charmante et nuancée.
Une soprano ( « Gu Yun ténor » dit le programme que j’ai conservé ???) m’a bouleversée en ébranlant tout mon être par son phrasé lyrique alors même que je n’adhérais guère au sens du poème chanté ( « combien seront sauvés » disait le texte qui faisait référence à un « appel des temps anciens » très contestable! Tout comme les deux tableaux avec les méchants Chinois communistes torturant en cadence de pauvres adeptes de la pensée Shen Yun). Ayant fait abstraction du sens du message, je reconnus comme évidentes ses qualités musicales.
Plus tard la musicienne Qin Lu a joué de cet instrument traditionnel à deux cordes : l’erhu… Et ce fut divin! Absolument représentatif de la Chine ancestrale. Mon coeur était suspendu à ses vibrations uniques.
De plus, et surtout, ce sont les athlètes parfaits, ces danseurs si gracieux, ces vrais esthètes qui m’ont ravie totalement.

Leur élégance combinée à leur force et leur corps tellement expressif font de ce spectacle un moment d’exception.


Les costumes ont ce goût oriental pour l’association des teintes qui dépayse et leur caractère clinquant se faisait oublier par le parfait tomber des matières soyeuses. Les effets de manche ingénieusement exploités nous ont captivées.


Un effet technique unique permettait aux danseurs de tomber au fond de la scène pour réapparaître aussitôt sur l’écran afin de les mettre en capacité de s’envoler aux cieux! Vraiment magique! Bluffant.


Le tableau de la « danse ethnique mandchoue » nous a tous enthousiasmés tant les 13 hommes ont marqué un rythme de plus en plus endiablé, dans une démonstration de leur art sans défaut. Ce sont des applaudissements nourris qui me l’ont prouvé avec des vivats. Alors là, je ne les ai plus estimés de taille humaine : c’étaient des dieux!


La scène des « baguettes mongoles » nous a de nouveau démontré la maîtrise totale de l’espace et des rythmes par la troupe masculine.

Les 13 filles, elles, ont marché à tout petits pas par-ci, se sont pliées dans tous les sens par-là, ont porté des poteries sur la tête comme des cariatides animées et chaque spectateur admirait leur équilibre parfait, leur douceur et leur résistance… Des divinités égalant les divinités masculines.

Ma -gni- fi-que!


Première soirée hors de chez moi, depuis très longtemps, qui m’a noyée dans une foule sans que je m’en émeuve! J’ai même ressenti le plaisir tout simple de marcher dans Aix très tard le soir parmi tous ces inconnus qui se hâtaient vers le parking souterrain, comme nous.

Merci à mes enfants qui m’ont fait ce cadeau tellement apprécié… Inoubliable.


Notre petite soeur, Umimachi Diary, de Hirokazu Kore-eda

Un chef d’oeuvre!

Un moment d’exception, voilà ce que ce film m’a procuré.

-Mais qu’est-ce qui se passe dans ce film?

-RIEN… Et pourtant TOUT… parce que le plus important dans cette vie, c’est d’avoir une famille qu’on aime et qui vous aime.

C’est l’histoire de trois jeunes femmes, des soeurs qui ont entre 18 et 35 ans, qui accueillent chez elles leur demi-soeur de 14 ans, à la mort de leur père.

C’est tout.

Mais que c’est profondément beau, cet amour fraternel (puisque le mot sororal n’existe pas)!

On en ressort apaisé, plein d’espoir et de bienveillance pour l’être humain. On reçoit le même message du meilleur film de Luc Besson, Le cinquième élément : ce que des aliens devraient retenir de l’humanité pour ne pas l’éliminer, c’est l’amour.

J’ai retrouvé ce caractère contemplatif et introverti de l’âme asiatique. Ce rythme lent que certains ne supportent pas et qui me comble. Du lyrisme pur. Une vie simple et vibrante.

Dans la fiche de SENS CRITIQUE je pourrais contester le classement dans le genre « drame » mais ce n’est pas une comédie… c’est de la PHILOSOPHIE du QUOTIDIEN, comme j’aime l’écrire!

J’ai regardé ce sublime film hier soir, 25 janvier 2023, sur ARTE en VF (j’aurais bien aimé la VOST). On doit pouvoir le revoir ces jours-ci.

Le bonheur de pardonner à ses parents leurs erreurs (ici le père avait eu trois femmes successives et la petite dernière avait peur de ne pas être aimée par les « grandes soeurs ». Les familles recomposées sont parfois une richesse et je connais deux personnes au moins pour qui ce fut le cas, mais trop souvent c’est une souffrance pour les enfants du lit d’avant, comme je l’ai constaté en exerçant mon métier) et vivre en harmonie avec sa fratrie est le thème principal. Dans ce film on a l’impression que les grandes ont accouché de leur franginette qui est orpheline de ses deux parents. Et la mère des trois filles aînées renoue avec elles, alors qu’elle avait mal réagi à la trahison de son mari en… les abandonnant à elles-mêmes!


LOOKISM, on voit double

Bon d’accord, c’est encore une série et un anime, de 8 épisodes de 20 à 30 minutes… J’ai failli ne pas finir le premier épisode puis je suis restée et j’ai fini par m’en féliciter. Le thème le plus important étant la rédemption d’un individu méprisé, il peut bien intéresser tout le monde… ?

L’intrigue de LOOKISM :

Un lycéen est harcelé par ses camarades de classe parce qu’il est gros, traité de porc, régulièrement frappé et méprisé (là… j’ai failli cesser de regarder le feuilleton parce que ce thème est sans cesse traité dans les médias)…

Il obtient de sa pauvre mère qui l’élève seule de pouvoir changer d’établissement (là… j’ai failli cesser de regarder parce qu’à notre époque en France tout le monde va à l’école sans dépense excessive et peut changer d’établissement si besoin est). Il s’inscrit dans une classe à option originale : « stylisme »!!! Cependant, avant même d’entrer dans la nouvelle école, il est frappé par une brute, un gros bras-beau gosse, parce qu’il… a souri! (là j’ai failli… etc : c’était trop gros, cette malchance chronique).

Il se traîne jusqu’à sa misérable chambre en haut de la colline (tous les décors sont des dessins de ceux que l’on voit dans les dramas dont j’ai déjà parlé. On n’est pas dépaysé : c’est la Séoul de fiction que je parcours dans tous les sens) et s’étale sur son grabat… puis se réveille… dans le corps d’un superbe garçon… alors que son vrai corps dort à côté!

Donc le voici qui dispose de deux corps et grâce au plus beau, un nouveau look il obtient un succès extraordinaire. Son corps laid lui permet de travailler de nuit dans une supérette de quartier (toujours la même que celle qu’on voit dans mes dramas!) et de se reposer la journée pendant qu’il utilise son corps de star du lycée.

Avoir deux corps et surtout en avoir un parfait en tous points pour briller dans cette société où l’apparence a tant d’importance, voilà l’intérêt de cette histoire… même si les deux états ne se rejoindront jamais (reliés par un isthme mais bien distincts!).

Bien évidemment, le héros voit sa vie s’améliorer… dans ses deux états physiques… sinon il n’y aurait pas de plaisir à regarder ce conte fantastique!

Le harcèlement est devenu omniprésent dans les médias…

Dans ma vie j’ai appartenu successivement à tout un tas de catégories moquées par quelqu’un pour une raison ou pour une autre (fille de la ville installée au village, timide confiée à ses grand-parents, intellectuelle binoclarde, ado prise pour une fille de bourgeois, ronde et à d’autres époques en grand excès pondéral, épouse de militaire voisine de locaux au chômage, prof, parent d’élève, native du sud, patiente, cliente pressée… etc) mais jamais je ne fus bousculée physiquement!

Dans les téléfilms et les infos, les victimes sont carrément tabassées voire assassinées ! Quel monde effrayant! Et cet anime fait rêver d’une revanche.

Conclusion: Cet anime est un rêve agréable (une fois passés les 3 premiers épisodes pour les gens sensibles comme moi).


No doubt in us

Bonne année du lapin à tous les Chinois!

J’ai regardé

No doubt in us ou

Liang Bu Yi / 两不疑

et jusqu’alors, un anime ne me paraissait pas avoir autant d’intérêt qu’un film… je viens de changer d’avis avec cette série que j’ai pris beaucoup de plaisir à suivre.

L’intrigue de cette série : A la cour de l’empereur chinois,Xiao Jin Yun, le couple impérial paraît mal assorti. L’impératrice, Xu Yu, a du mal a remplir ses obligations envers le harem de son époux et sa belle-mère, l’impératrice douairière, parce qu’elle n’aime que des distractions masculines tels que les arts martiaux, l’équitation ou le tir à l’arc. Elle ne sait guère lire, n’étant pas une intellectuelle alors que son époux est très cultivé et qu’il l’a épousée parce qu’elle appartient à la famille influente Xu, dont nous rencontrerons le père et les deux enfants mâles, des généraux.

Soudain, le couple impérial tombe à l’eau par accident et… leurs personnalités sont échangées.

Dans le corps de son époux, Xu Yu se révèle efficace, amenant l’empereur, Jin Yun qui prend conscience des « petits » soucis féminins comme le fait d’avoir ses règles, à tomber vraiment amoureux d’elle, qui se cultive et évolue en profitant enfin de la liberté refusée aux femmes de son époque et de son milieu.

Le troisième personnage important est le jeune frère de l’empereur, qui assure l’intérim pendant que l’empereur/(sa belle-soeur) se bat contre les Huns et s’allie aux Tatars sur le front nord.

Le prince est aidé par l’astrologue impérial et… par sa droiture personnelle qui lui fait ressentir un amour fraternel profond pour son aîné et un attachement honnête pour sa « belle-soeur » principale (car il appelle aussi ainsi les concubines). Il est aussi question d’affection filiale et fraternelle avec la famille Xu.

Les concubines, les oncles de l’empereur et surtout l’impératrice douairière, ignorant l’échange de personnalités et assoiffés de pouvoir, sont les opposants du couple de héros. De nombreux retournements de situation rendent le récit agréable et la psychologie des personnages est fouillée si bien que le couple se révèle particulièrement attachant.

D’autant plus que le récit principal en dessins de mangas classiquement sublimes est doublé par un autre récit, celui de personnages caricaturés pour exprimer les pensées des personnages les moins soft! Ce « doublage » est plein d’humour!

Le doublage a une fonction, il permet aussi des additifs dans le générique de fin pour diverses raisons (un produit à vendre, une pub, un commentaire ou une communication de l’auteur…)

On peut regarder entièrement la série sur Youtube, les 24 épisodes de 15 mn de la saison 1, en anglais, mais j’ai préfèré les voir sur NETFLIX car la télé n’est pas « vérolable », elle, et j’ai payé mon abonnement. J’attendrai donc la saison 2 sur Netflix, même s’il est possible de lire ce manga sur Internet ( mais c’est illicite… Comme me le rappelle Domdom en commentaire) et que je pourrais voir la saison 2 si je la cherchais, car je n’ai pas envie d’attraper de virus sur mon PC (les sites de visionnage gratuit en sont fréquemment remplis et je me prive ainsi de Viki Rakuten pour cette même raison… Même si, d’après mon webmestre préféré, Domdom, Viki est réputé exempt de virus dans ses deux versions, gratuite et payante ).

Frustrée par la fin de la saison 1 de la série… j’ai commencé à regarder Heaven Official’s Blessing . C’est un moins bon anime (moins d’intérêt au niveau de l’étude psychologique et puis les morts vivants et les fantômes.. ce n’est pas du tout mon truc, quoique le dessin soit toujours aussi agréable à voir) mais il m’intéresse suffisamment pour me distraire. Cette fois nous sommes avec des dieux et leur magie.


Fei Chang Xiè Xiè Ni

« Merci beaucoup »en chinois mandarin (lien à cliquer)

非常谢谢你 « fēi cháng xiè xiè nǐ »

Je le dis à mes enfants qui m’ont offert de pouvoir assister à ce splendide spectacle en février prochain. Je m’en fais déjà une fête et suis très, très, très…etc reconnaissante de ce cadeau parce que je ressens une totale passion pour les danseurs chinois dont l’adresse, la souplesse, la beauté et l’art me ravissent totalement.

Voici le site de Shen Yun sur le Web

Cliquez sur l’image ci-dessus pour aller sur leur chaîne Youtube.