카이(KAI) Ne rien comprendre…

et pourtant aimer !
(je n’ai compris que « nè » = « oui »!)
J’ai cru comprendre qu’il s’appelle : Jeong Ki-yul, dit 카이(KAI) mais… ?
Est-ce que tous les hommes de Corée prénommés « Kai » sont de beaux artistes… C’est le deuxième et dans deux styles fort différents que j’adoooooooooore écouter et regarder!
Quand il pousse la note aigüe… je me perds !
Voici son site Youtube: amore .
C’est un des trois chanteurs-vedettes de la comédie musicale BEETHOVEN SECRET qui passe en Corée en ce moment… mais pour moi, c’est celui qui a la voix de velours la plus agréable à mon oreille, même si les autres sont très intéressants aussi :
EunSung Ko, voix exquise

Quel charmant homme à la voix exquise et au français charmeur!
Quand j’écoute EunSung KO…
dont j’ai déjà parlé dans l’article L’envie d’aimer,
mes maux de têtes se muent en mots venus du coeur et s’adoucissent!
Son si bel accent rend le français sublime!
Décidément, en Corée, ils n’ont pas que des boys bands qui dansent merveilleusement bien, ils ont , outre des acteurs formidables, des chanteurs d’opéra qui sont enthousiasmants comme des chanteurs du showbiz!
Le spectacle Musica auquel participait fin 2022 EunSung Ko et surtout ses derniers titres en français le démontrent encore, s’il en était besoin… D’ailleurs comment se fait-il qu’EunSung Ko n’ait pas encore été mis en valeur par un drama ? Je me le demande!
Je voulais parler de la reprise, en comédie musicale, de West Side Story mais il n’a pas l’air tellement heureux que ça, sur scène et la vidéo que je souhaitais a été retirée… ? J’espère que tout va bien pour lui.
Crash Course In Romance (drama de saint Valentin)

Quel début trop trop drôle! Je n’ai visionné que deux épisodes de
L’amour au rattrapage (cliquez sur le titre pour aller voir les deux « vidéo trailer » sur le site de Netflix)

ou encore ici pour voir une partie du casting sur CineSéries.com
Cette série coréenne m’a déjà complètement conquise par le duo de personnages particulièrement originaux et je ne vais pas pouvoir la « bingewatcher » (la regarder toute entière en deux ou trois jours attachée à mon écran) parce que Netflix la fournit par tranches de deux, le week-end! De quoi m’assagir… et me fidéliser!
Un prof de maths est une star des cours de rattrapage (merveilleux processus qui fait qu’une centrale de cours privés engage non seulement des profs mais tout un staff qui lui est dévoué! Du coup le prof est richissime car il dispose de sa chaîne de TV personnelle, d’un appartement immense, d’un secrétaire particulier…etc).
En Corée l’enseignement public est doublé (plus que « concurrencé » car les élèves font les deux parcours, ce qui coûte un bras aux parents et génère de vraies guéguerres entre les parents!) par ce que nous connaissons en médecine sous le nom « d’écuries ». En Europe, les riches ou autres mettent leurs enfants dans des écoles privées, c’est moins compliqué, plus ou moins cher et pas toujours plus efficace pour le retour de l’élève dans le cursus public.

C’est Jung Kyung-ho qui interprète ce prof, Choi Chi-yeo … magistral, c’est le cas de le dire! Il a un visage d’ange et un nez magnifique! (😉) Choi Chi-yeo est ce personnage vraiment charismatique dont la beauté plastique et le savoir lui garantissent des cours pleins à craquer! Il m’a rappelé le prof de maths que j’ai eu en première dont toutes les filles de la classe s’étaient entichées, moi y compris! Jeune, beau, efficace… Une star… que l’E.N. a éjectée à force de tracasseries (inspection sur inspection parce qu’il voulait enseigner autrement) Le héros cabotine à plaisir au tableau et dans les allées de sa classe. Tous l’adorent et certains beaucoup trop.

De ce fait cet homme a un boulet psychologique que le spectateur découvre peu à peu dans les allusions à son passé et à ses cauchemars… Le pauvre en a perdu le boire et le manger et sombre dans une réelle anorexie… quand sa route croise celle de

Nam Haeng-seon, une restauratrice ancienne sportive qui a recueilli sa nièce à la suite de la disparition de sa soeur et, pour couronner le tout, s’occupe de son frère handicapé mental. Ses secret en cuisine, hérités de sa mère vont jouer un rôle magique… Cette femme dévouée, une « sainte », interprétée par Jeon Do-yeon, retient aussi mon attention. Et sa fille adoptive est l’actrice déjà vue et appréciée dans « Our blues ».
Donc il s’agit d’une romance dans une série estampillée « comique » dans laquelle on va parfois être émus et touchés… forcément, puisque tout un tas de bons sentiments sont évoqués dans ce personnage de « mère adoptive-soeur courage ».

Parfait pour l’époque de la Saint Valentin!
De plus la scène de la rencontre est particulièrement réussie! L’héroïne fut une sportive de haut niveau et elle court comme Bip bip pour rattraper le prof qu’elle ne connaît pas encore parce qu’il a emporté le téléphone du frère de Haeng-Seon pour y supprimer ce qu’il croit être des photos volées de lui… et qui n’en sont pas! Un petit bijou, cette course-poursuite!
Les acteurs coréens ont une superforme physique et la série nous permet d’entendre du vocabulaire mathématique pointu (je ne me souviens même pas d’avoir entendu tous ces mots en classe et j’ai pourtant fait « option maths » même en section de Lettres classiques!)
Dans les séries asiatiques les scénaristes font toujours allusion aux études et aux arts et le réalisateur nous promène dans des décors de bibliothèques et d’établissements scolaires ou instituts à nous faire envie de retourner sur les bancs… de leurs écoles et facultés (parce qu’en France, c’est souvent invivable). Même les séries coréennes qui parlent de cuisine! Évidemment, les dramas sont une vitrine culturelle et commerciale… Mais tout de même… A l’écran, dans les dramas, la campagne elle-même est vivable et dormir par terre paraît agréable. Magie de la fiction sans doute.
Enfin, dans cette série, on est à Séoul et souvent dans le luxe.
Conclusion… c’est un régal déjà, cette série! Vivement le weekend que je découvre la suite!
LOOKISM, on voit double

Bon d’accord, c’est encore une série et un anime, de 8 épisodes de 20 à 30 minutes… J’ai failli ne pas finir le premier épisode puis je suis restée et j’ai fini par m’en féliciter. Le thème le plus important étant la rédemption d’un individu méprisé, il peut bien intéresser tout le monde… ?
L’intrigue de LOOKISM :
Un lycéen est harcelé par ses camarades de classe parce qu’il est gros, traité de porc, régulièrement frappé et méprisé (là… j’ai failli cesser de regarder le feuilleton parce que ce thème est sans cesse traité dans les médias)…
Il obtient de sa pauvre mère qui l’élève seule de pouvoir changer d’établissement (là… j’ai failli cesser de regarder parce qu’à notre époque en France tout le monde va à l’école sans dépense excessive et peut changer d’établissement si besoin est). Il s’inscrit dans une classe à option originale : « stylisme »!!! Cependant, avant même d’entrer dans la nouvelle école, il est frappé par une brute, un gros bras-beau gosse, parce qu’il… a souri! (là j’ai failli… etc : c’était trop gros, cette malchance chronique).
Il se traîne jusqu’à sa misérable chambre en haut de la colline (tous les décors sont des dessins de ceux que l’on voit dans les dramas dont j’ai déjà parlé. On n’est pas dépaysé : c’est la Séoul de fiction que je parcours dans tous les sens) et s’étale sur son grabat… puis se réveille… dans le corps d’un superbe garçon… alors que son vrai corps dort à côté!
Donc le voici qui dispose de deux corps et grâce au plus beau, un nouveau look il obtient un succès extraordinaire. Son corps laid lui permet de travailler de nuit dans une supérette de quartier (toujours la même que celle qu’on voit dans mes dramas!) et de se reposer la journée pendant qu’il utilise son corps de star du lycée.


Avoir deux corps et surtout en avoir un parfait en tous points pour briller dans cette société où l’apparence a tant d’importance, voilà l’intérêt de cette histoire… même si les deux états ne se rejoindront jamais (reliés par un isthme mais bien distincts!).
Bien évidemment, le héros voit sa vie s’améliorer… dans ses deux états physiques… sinon il n’y aurait pas de plaisir à regarder ce conte fantastique!
Le harcèlement est devenu omniprésent dans les médias…
Dans ma vie j’ai appartenu successivement à tout un tas de catégories moquées par quelqu’un pour une raison ou pour une autre (fille de la ville installée au village, timide confiée à ses grand-parents, intellectuelle binoclarde, ado prise pour une fille de bourgeois, ronde et à d’autres époques en grand excès pondéral, épouse de militaire voisine de locaux au chômage, prof, parent d’élève, native du sud, patiente, cliente pressée… etc) mais jamais je ne fus bousculée physiquement!
Dans les téléfilms et les infos, les victimes sont carrément tabassées voire assassinées ! Quel monde effrayant! Et cet anime fait rêver d’une revanche.
Conclusion: Cet anime est un rêve agréable (une fois passés les 3 premiers épisodes pour les gens sensibles comme moi).
Contre les pépins, elle ouvre son parapluie

C’est une reine de l’époque Joseon, Im Hwa Ryeong qui a 5 fils et qui doit les protéger contre les intrigues du palais fomentées d’abord par… leur grand-mère, cette belle-mère dénaturée qui avait déjà tué pour installer son fils, Lee Ho, sur le trône et songe désormais à écarter les fils de la reine au profit d’un de ses autres petits-fils juste par jalousie!
Car le roi Lee Ho a aussi 7 concubines et chacune d’elles espère installer son propre fils auprès du prince héritier, comme compagnon d’études, et si possible à sa place, et l’une d’elles veut même remplacer le reine voire le roi lui-même!
La cour est un véritable panier de crabes (comme dans tous les dramas!) et Im Hwa Ryeong, cette mère exemplaire, se démène pour contrer chaque coup dans cette partie d’échecs où ses fils, comme elle, risquent leur vie!

Les scénaristes ont créé un personnage médiéval qui se comporte comme une femme moderne avec des soucis modernes mais vivant à l’époque Joséon : elle sprinte dans le palais pour solutionner un problème avant l’arrivée de la méchante sur les lieux, elle console son fils « transgenre » pour qu’il conserve ce secret qui lui vaudrait la mort… Un autre de ses princes devient père sans permission paternelle! Le plus jeune de ses fils fait des expériences scientifiques en risquant parfois sa vie et le second de la lignée est imprévisible et révolté car il n’a pas digéré de s’être cru mal aimé par sa mère au cours des années où il fut élevé hors du palais pour sa sécurité… Sans oublier la perte de l’aîné, assassiné.
Elle a l’estime de son mari volage parce qu’elle est cultivée et avisée (elle ne craint pas de lire des traités de médecine ou tout le programme scolaire pour aider ses enfants!) et celle de ses servantes parce qu’elle défend la cause des femmes!
Ce personnage de reine est interprété par Kim Hye-soo, une actrice qui force l’admiration parce qu’étant déjà âgée (à 52 ans sa beauté est… datée), elle a beaucoup de présence à l’écran. Elle crève l’écran ! Je l’ai déjà suivie sur Juvenile Justice et l’avais trouvée magistrale (c’est le cas de le dire puisqu’elle y jouait un juge!) D’ordinaire les acteurs d’un drama sont les plus beaux qui soient et elle, elle s’est plutôt enlaidie avec ce maquillage brillant et blanc, pour demeurer… vraie!
Le personnage de la méchante, lui aussi, est très réussi ! C’est Kim Hae-Sook qui s’en charge alors que je l’ai vue dans de nombreux dramas ayant des comportements maternels et rassurants! Là, on a envie de la trucider 20 000 fois! Et sa servante avec elle!
C’est une série sans triangle amoureux car la partie romantique est assurée par l’un des princes et une jeune fille noble très entreprenante! une jeune femme qui a du caractère elle aussi!
Ce programme m’a tenue en haleine 8 semaines (puisque Netflix ne distribuait que 2 épisodes par semaine). J’ai retrouvé ma reine avec un bonheur indicible chaque samedi. Me voici orpheline d’elle mais toute la troupe me restera longtemps à l’esprit.
Tout m’a plu: le générique est soigné avec le paravent aux objets typiques de cette époque (vase, tasses, livres, boîtes…) et leurs décors de fleurs et d’oiseaux. Les musiques, évidemment, ont bien contribué à l’instauration de ce bien-être addictif. Les costumes médiévaux me ravissent toujours. On les suppose en soie; tissés d’or et d’argent… Les rebondissements m’ont scotchée, (cliffhanger à chaque fin d’épisode pour captiver le spectateur et le droguer véritablement!) et les retournements de points de vue, les solutions des noeuds de l’action m’ont réjouie jusqu’à la fin, qui garantit la morale. Un programme familial de qualité… pour ceux qui savent lire les sous-titres!!!
En noir et soie… graphique Asie


Il y a peu le journal Le Monde déplorait que la jeunesse puisse s’abrutir à cause des algorithmes…mais il me paraît que parfois ces fameux recoupements de mes goûts aboutissent à me proposer des vidéos sur mon portable me permettant au contraire d’enrichir ma culture de toute celle du monde et surtout de celle de l’Asie où je n’irai jamais mais qui me fascine tant.


Voir ci-dessous la prestation de la National Dance Company Of Korea…
Elle m’a enchantée par ses vagues soyeuses encrées comme une estampe sur la ligne mélodieuse d’une mélopée en suspens nuancée d’accents délicats.
SCENT OF INK
Et dans la même veine, KARTS Dance Company (dans le cadre d’une semaine coréenne de Chicago sur une chaîne YT américaine) :
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Être passionné par un sujet quelconque nous pousse forcément à imposer à autrui des conversations qui peuvent ne pas aboutir à un partage parce qu’on laisse l’autre totalement indifférent…

Il arrive même qu’on ne se rende pas compte du degré de froideur dans lequel l’interlocuteur se perd volontairement par excès de politesse, par ennui passager ou parce qu’il voulait bien partager une conversation!
Plus d’une fois je fus forcément dans la peau de l’ennuyée…
C’est pourquoi j’ai reconnu cet ennui profond… dans le regard de Papy H. à qui je voulais montrer un drama afin qu’il comprenne mon intérêt pour ces séries-là. Ce sont les 16 épisodes deCrash landing on you que j’avais choisis, disponibles en Version Française, puisque ma moitié déteste lire des sous-titres et ne veut pas entendre les dialogues en coréen.

Cette série raconte qu’une jeune femme dirigeant une entreprise en Corée du Sud se retrouve coincée en Corée du Nord à cause d’une tempête qui déporte son parapente. Elle est cachée par un militaire et les soldats de cette petite unité basée à la frontière, en attendant de pouvoir retourner dans son pays sans être accusée d’espionnage.
Bien sûr Papy H a relevé un très grand nombre d’incohérences qui l’ont beaucoup gêné puisqu’il préfère les fictions réalistes… et il n’a pas aimé les personnages caricaturaux qui assurent la partie comique de la série alors que leur présence farcesque m’amuse parfois beaucoup dans la mesure où je suis très « bon public ». Ce sont là : le soldat du Nord idéologiquement rigide, persuadé de la supériorité de son pays et qui récite les idées reçues de la propagande ainsi que les villageoises du lieu où l’héroïne est contrainte de vivre, qui mènent une vie plus simple, plus proche de la nature que celle du Sud… avec force coupures d’électricité, absence d’eau chaude au robinet et tout dénuement supposé dans ce pays au régime autoritaire.
Évidemment, Papy H. s’occupait à autre chose en même temps, écrivant dans ses grilles de mots fléchés ou tapotant sur son PC, si bien qu’il s’est un peu révolté à mi-parcours : « c’est un peu gnan gnan, cette histoire! » ( admirons le restrictif « un peu », manifestant toute sa bonne volonté à mon égard !). Pourtant il a suivi le fil narratif, a souri plusieurs fois et a même réclamé le dernier épisode ( sans doute pour se persuader des raisons à fournir afin de justifier son désintérêt pour un tel genre télévisuel… ou pour réellement partager un visionnage avec moi.).
Nous avons donc bouclé ce premier visionnage.
A l’occasion de ces propos sur un drama qui parle des deux Corées, je dois écrire ici que je suis totalement choquée d’avoir appris qu’en Corée du Nord cette semaine, deux jeunes gens de 17 ans viennent d’être exécutés par leur gouvernement pour… avoir distribué des contenus de la Corée du sud!
C’est… au-delà de l’exprimable.
Y en a vraiment marre de ce monde dans lequel nous vivons où l’on peut encore tuer impunément des personnes pour leurs goûts et leurs idées!!! Les années passent et l’humanité de change pas! Elle n’apprend rien du passé et demeure inhumaine! Ces faits sont du même genre que la vie des gens dans les régimes religieux tels que l’Iran où l’on a tué une femme pour un mauvais port de voile…
J’en arrive à ne plus oser écouter les infos… me réfugiant dans les images inventées, avec de fausses violences et de faux méchants parce que je peux me dire que « ça n’existe pas, ça, donc rien à craindre, là, dans mon salon, sur ma chaise. » Parce que moi, je ne peux rien faire pour changer l’humanité… que répéter mes idées dans mon blog.
Ainsi, malgré l’ennui que j’avais lu dans le regard de mon époux et juste pour regarder un même programme (car je ne supporte plus, non plus, de perdre mon moral en regardant les films et téléfilms européens ou américains, tels que la série Les combattantes que Papy H. vient de voir et qu’il a autant apprécié que Justin, mon aminaute du blog Un Coup de foudre . Ces fictions sont trop réalistes pour moi et me ramènent dans l’état d’esprit des infos honnies) … Je me suis entêtée … j’ai réussi à visionner avec Papy H un second feuilleton, plus irréaliste encore puisque concernant les « aliens »,
GLITCH, une série de Science Fiction, cette fois-ci, qui est, elle aussi, traduite en français…

Il existe 10 épisodes et nous avons lamentablement stagné au numéro 7 à cause des matchs de foot de la coupe du monde qui monopolisaient le temps de mon époux… et alors qu’il me tardait de connaître la fin.
L’intrigue de cette série : La disparition de son ex-fiancé pousse l’héroïne et son amie d’enfance, qu’elle retrouve à l’occasion de son enquête, à rechercher les traces d’une possible existence d’extra-terrestres… Évidemment l’héroïne pense les avoir déjà rencontrés dans son enfance et les faits bizarres se multiplient; elles rencontrent des gens qui croient avoir été enlevés par ces entités venues d’ailleurs qui les auraient renvoyés sur terre avec une puce dans la tête… des individus manipulant ces farfelus pour tirer profit de leurs contemporains interviennent alors dans le récit…
Papy H. a regardé… de loin… mais il a bien voulu finir la série… C’était de l’imaginaire complet or il a souri une ou deux fois mais il a rappelé qu’il avait trop de mal à retenir les noms asiatiques et les faciès…
D’accord, moi aussi j’ai encore des soucis, avec les noms coréens, et ce, même au bout de deux ans de passion pour ce genre télévisuel… Il m’arrive même encore de confondre deux belles femmes en plan panoramique… mais l’habitude vient et on ne mélange plus du tout la langue coréenne avec les chuintements chinois et les accents catégoriques du japonais, si l’on en regarde régulièrement… ce qui n’arrivera pas à Papy H.!
Par conséquent… je vais laisser cet indécrottable Européen un peu tranquille pour l’instant… tandis que je me gave de romantisme absolu, en coréen, en chinois mandarin et en japonais (tout ceci sous-titré évidemment!). C’était bien gentil de sa part de s’être laissé imposer tout ça.
Comme c’était aussi la première fois que je revoyais des séries que j’avais écoutées en coréen , j’ai pu constater des différences entre les traductions écrites et orales (les dialogues traduits à l’oral sont beaucoup plus grossiers que les textes écrits et je me demande bien pourquoi ! J’ai même été horrifiée d’entendre un personnage féminin très élégant dire « ça me troue le c. » !!! Jamais je n’avais lu de telles paroles en deux années de passion pour ces dramas !
Ce qui signifie que les Français sont perçus comme des gens vraiment très grossiers… Quelle déception! Quelle tristesse!)
Love poem, version masculine 🎶

Lee SeungYoon reprend un succès d’IU et elle le félicite. Et c’est vrai qu’il y met son âme.
Je pense que quelqu’un
Prie pour quelqu’un
Je pense que je peux entendre doucement
Un poème d’amour qui a été écrit en silence
Il vole clairement vers vous
J’espère qu’il vous atteint avant qu’il ne soit trop tard
I’ll be there, 홀로 걷는 너의 뒤에
Singing till the end, 그치지 않을 이 노래
Je serai là, derrière vous quand vous marchez seul
Chanter jusqu’à la fin, cette chanson qui ne se terminera pas
Ouvrez vos oreilles pour un instant
Je vais chanter pour vous, qui marchez à travers une nuit particulièrement longue
Encore une fois, dans votre monde
Une étoile s’éteint
Les larmes en silence hangar
Coulent ici
Dans mon cœur silencieux qui a perdu tous les mots
J’entends une voix comme entendre un souvenir
I’ll be there, 홀로 걷는 너의 뒤에
Singing till the end, 그치지 않을 이 노래
Je serai là, derrière vous quand vous marchez seul
Chanter jusqu’à la fin, cette chanson qui ne se terminera pas
Prenez une grande respiration
Je vais chanter pour vous, qui avez oublié comment pleurer à haute voix
(Vous pouvez donc marcher)
Je chanterai
(Vous pouvez donc aimer à nouveau)
Here I am, 지켜봐 나를, 난 절대
Singing till the end, 멈추지 않아 이 노래
Ici, je suis, regarde sur moi
Chanter jusqu’à la fin, je ne jamais arrêter de chanter cette chanson
Le jour de votre longue nuit est terminée
Lorsque vous soulevez votre tête, je serai là
En vloguant…
chez JUNG SOMIN, j’ai vécu un quart d’heure dans la vie de cette actrice qui m’avait émue, enthousiasmée, fait rêver, par son interprétation si juste, même dans ses silences. (N’oubliez pas de cliquer sur les paramètres pour choisir « traduction instantanée » puis la langue souhaitée !)
Un vlog est un « type de blog axé sur la vidéo. Il s’agit plus précisément d’un blog dans lequel les traditionnels articles et billets publiés par l’utilisateur prennent la forme d’une vidéo. On emploie également le terme de vidéoblog pour décrire ce type de blog » (définition du Journal Du Net)… Il m’apparaît plutôt que c’est une chaîne Youtube qui te montre dans ton quotidien, quoi!
Je viens donc de m’offrir un séjour de 15 minutes en la compagnie de SoMin par le moyen de son vlog (lien sous la première image de cet article et son blog sous la seconde) qu’elle a créé pour nous fait partager sa vie de star. Les vidéos sont montées et donc l’actrice montre exactement ce qu’elle veut partager. Le spectateur est un consommateur qui nourrit la notoriété de la star. On la suit en interviews promotionnelles, on assiste à ses séances photo, on constate qu’elle se bouge pas mal pour accomplir les diverses activités de son métier et… on se retrouve chez ses parents pour visionner le premier feuilleton de sa série Alchemy of Souls. Leur chien passe par là. Le papa ne comprend pas tout, tout de suite et ne reconnait pas sa fille immédiatement. La maman se moque gentiment… Nous sommes assis là, près d’eux, invités dans leur quotidien. Ben… je ne ferai pas ça tous les jours mais à toute petite dose, c’est très amusant.
(Par le passé, dans d’autres vlogs, j’ai dansé avec Yoona et son groupe , mangé des glaces avec Wonho sur Jeju , goûté à la cuisine française avec IU, pas trop dégoûtée, quand elle est venue à Cannes ou encore fait des photos avec Jin de BTS, venu faire de la pub avec son ARMY à une première cinématographique. Comme j’avais par le passé visité quelques coins de Corée avec des Français en voyage là-bas ou écouté un vieux Japonais avec Wakametamago – cf mes liens- nous parler de remèdes du bon vieux temps, ça m’a amusée de rencontrer la tata de Somin à Toronto! Quel monde fou est le nôtre!)






Avant Because this is my first life (2017) et tout récemment dans Alchemy of Souls, je confondais parfois Jung SoMin avec (Oui, je sais : ceux qui connaissent mieux les dramas et la Corée que moi vont hurler; je les entends d’ici! Mais admettez qu’elles se ressemblent pas mal!) Park ShinHye (née en février 90) (vue dans Memories of the Alhambra, Pinocchio, The Heirs ). Désormais je les distingue bien toutes les deux !
SoMin vient de tourner un film de Science Fiction et elle a retrouvé SEO INGUK avec qui elle était une héroïne d’un drama en 2018 The Smile Has Left Your Eyes . Elle est donc en tournée de promotion avec lui pour ce film Project Wolf Hunting… Alors Seo InGuk a lui aussi un tout nouveau vlog : Moon CC… en commun avec SoMin ! On le voit essayer des costumes, faire de la pub pour un copain designer… Ils vont se promener ou déjeuner au restaurant à Toronto où ils ont présenté leur film…
Et vlogue sans galère!
Sautes de moeurs

Pas une semaine ne passe sans que nous n’apprenions les nouveaux méfaits de la météo à travers le monde et dans notre pays… Pas un jour sans que nous ne consultions nos applications prévisionnistes, telles AccuWeather, ou que nous n’écoutions avec attention les passages des différents présentateurs de météo à la télé… Les sautes de vent et les pluies torrentielles passent leur rouleau compresseur de tempête sur une Terre ravagée malgré les avancées techniques des Terriens aussi impuissants que les fourmis.
FORECASTING LOVE & WEATHER
est un drama , en VERSION Française pour tous ceux que le fait de lire des sous-titres fatigue ( ! ) qui nous fait partager le quotidien d’un Service régional de l’Administration météorologique coréenne, (offrant des services comparables à ceux de METEO FRANCE ) dirigé
par Jin HaGyeong (interprétée par Park MinYoung), jeune quadra, qui a 5 subordonnés, dont deux viennent d’être mutés depuis la capitale or l’un d’eux s’avère être un prévisionniste intuitif parfois génial mais surtout séduisant, de 6 ans son cadet, Lee Si Wu [interprété par Song Kang que j’ai vu dans 5 autres dramas : The Liar and His Lover (tvN, 2017), Love Alarm 1 et 2 (Netflix, 2019 et 2021) et Nevertheless (JTBC, 2021)… c’est dire combien je l’apprécie, avec son grand cou, ses retenues et sa fougue, ses belles épaules larges et ses personnages qui ont la capacité de forcer le destin ou de renaître malgré un rejet].


Donc nous apprenons là comment sont faites les fameuses prévisions que l’on nous communique et dont tant de gens se plaignent, sans considérer combien les masses atmosphériques sont capricieuses et plus changeantes qu’une amoureuse. Nous assistons aux scrupules d’un chef hésitant à prendre des décisions pour engager ses compatriotes à se méfier du mauvais temps. Nous comprenons combien les sautes d’humeur du temps peuvent créer de dégâts plus ou moins conséquents d’autres faits (circulation, conditions de travail, accidents…)

A la fin de la série, j’avais de l’admiration pour nos pauvres contemporains prédicteurs, à qui l’on réclame des capacités d’interprétation des données et relevés quasi magiques, les prenant pour des devins! Ces lecteurs de cartes humains sont des ingénieurs qui vont aussi faire des relevés et observer les nuages (comme j’aime le faire) sur le terrain ou lancer un ballon-sonde, ce qui nous est montré comme une mission périlleuse. Les fameuses scènes de marche à deux sous un parapluie et d’ondée inattendues qui vous saucent en une minute n’ont donc pas manqué.
Tant et si bien que j’ai éprouvé le besoin de me renseigner sur les métiers de météorologiste et climatologue, dans les pages de l’O.N.I.S.E.P. notre dictionnaire des métiers.

Mais si j’ai titré mon article en parodiant l’expression « sautes d’humeur » par la mention des mœurs, c’est que cette série a pour thème principal… le mariage, qui est bien mis à mal dans cette histoire et connaît lui aussi des tempêtes!
Tout d’abord, « premier ouragan », le couple de héros se rencontre lorsque les deux couples que chacun d’eux formait avec une autre personne… éclatent car ils sont trompés, trahis ! Par un hasard voulu par le scénariste… les quatre individus reforment deux couples avec le laissé pour compte de son ancien partenaire ! Un chassé croisé donc.
« Deuxième perturbation »… Si un couple reconstitué se marie aussitôt… le héros prévisionniste, Lee SiWu, déçoit les aspirations au mariage de la Directrice Jin HaGyeong , alors que la mère de celle-ci, pourtant déçue par son époux décédé (« cyclone » ancien déjà !), n’a de cesse de la marier à tout prix et l’inscrit même dans une agence matrimoniale à son insu ! La soeur de HaGyeong, qui est divorcée et déçue du mariage, rencontre un collègue de son aînée… qui ne songe qu’au mariage, lui !

Le directeur adjoint de Jin HaGyeong est lui-même en instance de divorce et l’une de ses subordonnées a un mariage qui bat de l’aile, encore deux » avis de précipitations calamiteuses » sur leur projets de vie ! L’institution du mariage est donc fortement remise en question… Dans ce groupe de collègues, dont chaque personne est un personnage très original, on s’intéresse à des tranches d’âge diverses et pas une seule fois je n’ai zappé de passage concernant ces personnages secondaires… même pour les cadeaux de plats préparés par la mère ou les comportements odieux du père de Lee Siwu, soutirant de l’argent à son fils! La famille est encore et toujours un lieu de grandes perturbations!
L’article correspondant sur Sens Critique désigne le couple de héros comme peu attractif alors que je les ai suivis avec beaucoup de fidélité, touchée par leur interprétation d’un couple en formation malgré la déception amoureuse ressentie puisqu’ils ont été tous deux trompés…
Attention : SPOILS.


Les hésitations des ex-compagnons des héros, les manoeuvres de la mère apprenant peu à peu à respecter le jeune homme qu’aime sa fille, en qui elle ne voyait pas un bon prétendant, et l’évolution gratifiante du personnage du père de Lee SiWu m’ont aussi paru dignes d’intérêt…
Enfin la fougue amoureuse de la soeur de Jin HaGyeong avec son prétendant qui se dirigeait vers une vie de vieux garçon et découvre l’amour sur le tard, est vraiment très drôle et presque osée pour un drama!
.
Musique de ce jour d’hui🎼🎵🎶
Mes écoutes de ce matin , en un grand écart de l’Antique à la Kpop la plus moderne :




A retrouver sur les chaînes Youtube de chacun d’eux :
accessoirement… Je déteste que les gens disent « aujOrd’hui » au lieu de « aujOUrd’hui »!
Et la trado de la vidéo des chanteurs par Hobishin :
Et tant qu’à faire BTS aussi !
Et That That de PSY et SUGA traduite par NOIDRI, en français :
Et la même par les danseurs d’ARTBEAT :
Rock et Kpop…
Grâce à Domdom, le webmestre qui me renseigne en musique Kpop ou vie en Corée ainsi qu’au sujet de ma passion, les dramas, par ses avis éclairés de spécialiste de ces genres (sur son site de musique comme sur son blog culturasia, dont les liens sont les premiers cités dans ma page de liens), je suis avertie des dernières informations en musique. J’ai donc pu écouter :
un poème de Kim Sowol intitulé AZALEAS mis en musique et chanté par les Rolling Quartz. Lisez le texte de ce poème directement chez Domdom (cliquez sur cette capture d’écran de son blog et… pensez à descendre dans la page html!) :

et voici (cliquez sur ces mots) sur Kprofiles.com le descriptif de ce groupe, les Rolling Quartz
Et j’ai pu aussi lire les dernières infos concernant mes chouchous (orth. vérifiée de ce terme) et les écouter parce que Domdom m’a fait une dédicace spéciale (Merciiiiiiiiiiiii) , les Stray Kids (cliquez sur la capture d’écran) :

J »ai cherché les paroles de ce titre des Stray Kids (dont voici le descriptif du groupe sur Kprofiles) et les ai trouvées sur la chaîne Youtube de Noidri, (à laquelle me voilà abonnée pour au moins comprendre un peu les textes, forcément de type poétique et par conséquent un peu abscons parfois, et même les chanter de temps en temps, en suivant la « transcription romaine ». Ce genre de site est vraiment une bénédiction selon moi) :
L’écouter, c’est… prier.
Il s’appelle: SUNGHOON CHOI
Sa biographie, sur le site où je l’avais lue en 2021, désormais introuvable ( ? ) était longue comme le bras alors qu’il n’avait alors que 32 ans. Voir sa biographie sur Nautiljon. Il a fait des études de chant en France (et dans d’autres pays encore. Il a gagné , avec 3 autres chanteurs, la saison3 de l’émission coréenne Phantom Singer sur JTBC.

Il est contre-ténor, ce qui signifie qu’il a une voix magique. Sa chaîne Youtube s’appelle: Whyri
Il ne convient pas du tout de penser à Farinelli à son propos parce qu’en le regardant et l’écoutant, on voit un homme à la voix de soprano et c’est unique, sublime! Qu’il soit brun ou blond, cet homme m’enchante dès qu’il s’exprime…

Comme dans Lascia Ch’io Pianga
Il appartient au groupe LA POEM (qu’ils prononcent « la poémé ») ainsi qu’on l’apprend sur leur chaîne Youtube
La définition des membres de LA POEM sur Kprofiles
Ce groupe a gagné la saison 3 de l’émission coréenne PHANTOM SINGER qui a eu lieu sur JTBC du 10 avril au 03 juillet 2020, (les écouter ici sur JTBC ou encore là) tous les vendredi à 21 h. Il y avait 36 participants.
Une de leurs prestations est… une véritable tempête : partie 1 LA TEMPESTA
La partie 2 dans une vidéo particulièrement soignée, avec une belle actrice pour les effets dramatiques :
Pour Mininous
De like en like sur Youtube, j’ai découvert la chaîne des LAYERS
un trio classique composé d’un violoniste, d’un violoncelliste et d’un pianiste.

Parmi toutes leurs vidéos, celles qui reprennent les thèmes des films de Walt Disney m’ont forcément arrêtée, surtout parce que Mininous les chante régulièrement et que les spectacles qu’elle nous donne nous ravissent!
Voici La reine des neiges 1 (Let it go):
La reine des neiges 2:
La Belle et la bête:
Le roi lion :
et pour finir j’ajoute leur medley des Beatles… parce que je l’aime et que Mininous ne devrait pas le détester, du moment qu’elle peut danser en l’écoutant!
Rose de D.O.
Extrait de son album solo, pour son actuel comeback… une très belle réalisation:
Depuis que je l’ai découvert en regardant 100 days my prince et en écoutant EXO sur Youtube, ce jeune homme me distrait régulièrement. Je lui souhaite une bonne continuation.
Les paroles romanisées:
Meonji eomneun paran haneul wiro (ah, yeah, yeah, yeah)
Baram ttaraganeun gureumcheoreom (ah, yeah, yeah, yeah)
Meolli gaji marayo
Geudaero meomulleojwo
My baby nae mame maeil (ah, yeah, yeah, yeah)
Bomnal gateun geudaen yeppeoyo oh-oh-oh joayo
Eotteokamyeon naege olkkayo oh-oh-oh ireoneun
Nae moseubi ssukseureopgo (ooh-ooh-ooh-ooh)
Ganjireowodo eojjeol su eopjyo
Geudael saranghaeyo, baby
Nuntteumyeon saenggangnaneun sarami (ah, yeah, yeah, yeah)
Geudaeran geol geudaeneun alkkayo (ah, yeah, yeah, yeah)
Moreun chehaji mayo
Da algo itjanayo
Oh maybe, baby (ah, yeah, yeah, yeah)
Maeil bwado geudaen yeppeoyo oh-oh-oh joayo
Eotteokamyeon naege olkkayo oh-oh-oh ireoneun
Nae moseubi ssukseureopgo (ooh-ooh-ooh-ooh)
Ganjireowodo eojjeol su eopjyo
Nae sarangi dwaeyo baby
Dongne kkotjibeul chaja
Geudaeege jugo sipeun kkot
Amuri gominhaedo
Aneun kkochi jangmibakke eopseo
Yonggi nae hangadeuk pume dama
Geudaeege gago isseoyo (ah, yeah, yeah, yeah)
Jangmi boda geudaen yeppeoyo oh-oh-oh sasireun
Mallo pyohyeoneul jal mothaeyo oh-oh-oh ireoneun
Nae moseubi ssukseureopgo (ooh-ooh-ooh-ooh)
Ganjireowodo eojjeol su eopjyo
Oneulbuteo urin lover
prises sur : Paroles2chansons.lemonde.fr
et sa traduction sur GREAT’SONG.
Comme c’est amusant de lire dans cette traduction, « maladroit » écrit « mal à droit » ou « arme pleine de fleurs » pour, sans doute, « main… » (! ?). Les paroles sont « certifiées par des experts »… Mais les experts ne sont pas toujours infaillibles ! 🙂
Festival de K-POP
Un festival international est organisé et le Centre Culturel Coréen a présenté ce 03 juillet 2021 la sélection française. Il n’y avait certes pas le même niveau qu’en Corée du Sud et certains compétiteurs (peu finalement) devront continuer de beaucoup travailler (je me suis crue une fois dans le drama DreamHigh 2 ) mais tous y ont mis du coeur et j’ai eu deux covers des Shinee, mes deux titres préférés (Don’t call me et Advice) très bien interprétés, ce qui m’a comblée. Les deux présentateurs auraient pu être plus selects mais ils sont à la mode et l’événement est pour la jeunesse.
Ceux qui ont gagné sont les Bitchinas
ces garçons habillés de jupes qui ont dit danser pour s’assumer tels qu’ils sont.

J’ai passé un bon moment (malgré la jeune fille qui m’a fait mal aux oreilles car tous étaient enthousiastes et beaucoup très présentables. Les Bitchinas étaient les meilleurs et Brian (le grand Iroquois à queue de cheval) superbissime. Les costumes valaient le détour. Voici les prestations :
Du coup il faut dire aussi que ce groupe appartient à l’ensemble RISIN’ (voir sa chaîne Youtube)
et voici une prestation parisienne qui vaut le détour… (Paris coloré, Paris admiré! le final est vraiment splendide.)
Violons et voix divines
Je te dédicace cette vidéo, Geo, mon fils chéri :
Elle te fait sans doute mieux percevoir combien ma passion pour les artistes coréens peut se justifier.
J’ai découvert les vidéos de la chaîne Begin again avec Henry Lau , que j’avais déjà vu sur sa propre chaîne HENRY MORE HENRY :
Et Henry Lau, sur une autre chaîne Youtube, ce violoniste et musicien complet, chante aussi avec SunHyun :
Revenons à Lena Park , qui m’a bouleversée avec son interprétation de l’Ave Maria de Schubert, et devant le Colisée, en plus (re-dédicace pour toi, Geo, comme tout cet article) !
Et repartons avec Henry Lau, en spectacle en extérieur, parce que cette vidéo me rappelle un drama (Crash landing in you) dans lequel le héros vivait une situation similaire si bien qu’il est merveilleux de constater qu’alors la fiction rejoint la réalité; elle démontre combien les scénaristes sont talentueux :
Et terminons avec les talents dont Henry Lau parle dans sa chaîne personnelle, lorsqu’il présente SoHyun Ko et que tous les deux improvisent, après avoir interprété Dynamite des BTS :
Et il convient d’écouter encore SoHyun Ko elle-même, qui élève notre âme avec son art:
Kongh can do it…
Etre fan au sens primitif de « fanatique » est absurde puisque toutes les productions d’une star, qui nous demeure une personne inconnue, ne sont pas dignes d’intérêt… Mais il est plus juste de se dire « fan » de certains airs qui nous trottent obstinément dans la tête et lorsque ces titres s’ajoutent à d’excellents visuels , ce serait ridicule de nier qu’alors on s’intéresse au chanteur… sans pour autant tout aimer de sa personne… On est un peu « voyeur » de sa vie, qu’il nous offre sur les ondes d’Internet pour augmenter sa popularité ou parce qu’il a envie de partager… Et on aime avoir l’impression que cette star nous parle à nous individuellement! Magie d’Internet!
Moi j’apprécie TAEMIN des SHINEE, qui fait aussi une carrière en solo.
Lorsqu’ils présentent un titre, ces artistes coréens l’interprètent dans des vidéos multiples avec des mises en scène plus ou moins spectaculaires, des costumes extravagants ou magnifiques. Voici la plus élégante des vidéos du titre ADVICE, dont le texte semble signifier (pour quelqu’un qui ne parle pas du tout coréen, les deux tiers de la chanson sont inaccessibles… comme nous l’étaient dans mon enfance les titres anglais quand nous les chantions sous forme de « yaourth » vocal!) qu’il est comme il est et qu’on doit accepter son apparence pour qu’il continue de vivre libre et de nous aimer. (Donc c’est mon interprétation du sens seulement!!! ). Ce costume noir et blanc assorti à celui de son groupe de danseurs est une trouvaille graphique et les variations de teintes et de formes sont très très esthétiques… Je ne veux plus jamais les oublier:
Du coup j’ai reçu sur mon téléphone des vidéos de Lee Tae Min, qui est trentenaire, je crois, et ressemble à une vraie star, un homme-enfant touchant… parmi ces vidéos, certaines ont retenu mon attention plus particulièrement: celle où il nous présente un super micro capturant les moindres sons et où il nous parle en chuchotant (c’est reposant avant de s’endormir et j’aimerais bien me faire coiffer par ce Figaro-là!) mais mes préférées, en dehors de plusieurs de ses chansons, sont les vidéos réalisées dans son salon avec son chat…
KONGH qui me rappellent évidemment mon Néo disparu
et me touchent infiniment. Ces vidéos ont déjà 3 mois donc ce beau chat qui semble être un chartreux au pelage gris très doux et épais, doit avoir une année environ… Voici le moment où « Kongh peut le faire » …. donner la patte! (Néo tu me manques!)
Et aussi celle-ci:
Un jeune qui aime les chats est, de mon point de vue, forcément quelqu’un de très bien!
Et voici mon air préféré au violon: