Réfléchir sur (3xRien), demeurer dans le léger pour ne pas s'abîmer dans le grave.

musique

Un beau duo d’IU et D.O.

Quand deux excellents chanteurs, IU et DO
qui sont aussi deux excellents acteurs,
interprètent ensemble
un si beau duo…
il m’est impossible de ne pas placer la rencontre
sur mon blog pour m’en souvenir
toujours.
Ils ont tous deux contribué à faire grandir
ma passion pour les artistes coréens
Et les dramas, depuis 2020.
Je me souviens du ridicule qu’eut une collègue
En me disant « Mais ils sont connus,
ces gens dont tu me parles?  » ( L.O.L.)
Elle ne les connaissait pas alors j’étais stupide à ses yeux de trouver tant de talent à ces
idols mondialement réputé.e.s ! ( Mais moi aussi j’ai parfois fait preuve d’une telle étroitesse de pensée à un moment ou à un autre… Alors elle est excusée.)
Qu’il ne m’arrive plus jamais de mépriser ainsi ce que je connais pas encore … surtout si « l’amour l’emporte sur tout » !

P.S. Ne pas oublier de changer les paramètres de la vidéo pour obtenir une traduction, soit en anglais soit en VF… Ou bien cliquer sur ce lien pour avoir une traduction du texte de la chanson en français.


Un canon sans alcool

« Beau mois de mai
Charmant et gai
Ramène rires et chansons…
Au plus secret de la forêt,
Tapis de fleurs sur le gazon…
Avec le mai tout reparaît
Nature sonne un carillon! »
Aucun de mes enfants ne s’est souvenu de m’avoir entendue entonner cet air dans leur jeunesse !
Ce canon de Schubert est pourtant l’un de mes « tubes » de mai !
Suis-je vraiment devenue sénile, quand je me souviens plus des temps jadis que du jour d’hui ?
Quoi qu’il en soit ce jour-ci est du temps pluvieux or pour moi il est heureux car hier, Mininous a repris le chemin de l’école avec bonne humeur et LittleUs n’a pas pleuré à la crèche où sa journée s’est bien passée !
Ce ciel que j’ai placé en exergue de l’article provient de vacances passées sous d’autres cieux mais l’annonce de beau temps qu’il représente me paraît d’ici.
Chantons donc allègrement :

Bon, c’est la seule vidéo que j’ai trouvée de cet air ancien… Cette chorale aurait pu le rendre un poil plus sautillant et léger… Au moins ça prouve qu’ils n’ont rien bu avant d’entonner le canon ! Alors elle suffira à rappeler à ma famille combien je leur ai cassé les oreilles ce weekend passé ensemble 🤣🤣🤣


Une conversation instrumentale

Bon ils causent chinois… Enfin je crois, d’après l’écriture que j’interprète comme telle…parce que la chaîne YT est sise en Malaisie… ???
Mais je crois reconnaître le compositeur dont j’ai déjà apprécié une composition de percussions… Enfin, je n’en suis pas certaine non plus… Que c’est rageant d’habiter dans une tour de Babel quand l’Asie est si éloignée linguistiquement de ma partie du monde!
Comme c’est bizarre qu’ils n’aient pas l’idée de proposer de l’anglais… Ni aucun mot de présentation compréhensible de ce côté de la Terre…
Mais dans toute mon ignorance, ce dont je suis certaine, c’est d’avoir apprécié au plus haut point cette prestation des plus insolites pour moi …. Et que je la trouve joyeuse, plaisante ! On en sort content.


Big ocean : groupe courageux

Ils sont malentendants…
Mais aussi K-pop idols.
Comme la vie des artistes est déjà si difficile dans cette discipline,
On peut comprendre que s’y engager
quand on a un handicap doit obliger à plus d’efforts encore que les autres… Comme l’explique très bien le reportage qui suit.
Bien que je ne sois pas encore convaincue par leurs propositions qui ne me séduisent pas particulièrement, je leur souhaite la réussite qu’ils espèrent…


Sherlock, tube de K-pop décennal

Il y a douze ans maintenant
SHINee chantait la gloire de son groupe…
À 5 dans une chorégraphie enthousiasmante.
Après la disparition de Jonghyun,
« Intégré de par sa volonté », fin 2017, au groupe… des suicidés de 27 ans alors qu’il était en pleine gloire…
Et à cause de la carrière solo d’Onew ( dont la voix manque ici)
Les voici à trois ( Minho, Key, toujours dans le même label et Taemin qu’on voit ici au milieu d’eux, qui a quitté leur label ainsi que l’a fait aussi Onew)
pour revisiter leur tube de juin 2013 appartenant à l’album « Boys meet U« , en une version uniquement chantée que j’ai estimée très agréable :

La chorégraphie initiale ( pour ce que j’en sais car ma science en matière de K-pop ne provient que des multiples vidéos que je visionne sur YT. Que Domdom ou autres spécialiste me corrige dans tous mes propos si nécessaire !) a des faux airs militaires, (dans un étonnant « saut de groupe » à l’italienne, comme un nouveau pas de l’oie… plutôt très inspiré par le héros de manga Songoku souvent dessiné dans ce geste par Akira Toriyama, mêlant deux histoires fabuleuses, celle de l’enquêteur noble Sherlock Holmes et celle de l’aventurier japonais couleur carotte à l’univers fait de combats imaginaires), et ce tube, « Sherlock » ( cf les paroles sur Nautiljon), permettait aux chanteurs de dérouler…
Un cri de ralliement ( « SHINee est de retour »)
Pour rassembler leurs fans, les Shawols.

Ce tube a fait l’objet d’une cover (une reprise) magistrale par les Stray Kids, qui rendent hommage à leurs aînés (de peu d’années de vie mais de plusieurs années d’exercice de leur art) avec brio. Le fait que ce groupe-ci soit constitué de 8 danseurs donne encore plus de caractère enthousiasmant à ce déplacement original et le bras dénudé de Félix de même que son vêtement long rappellent encore plus le héros de manga, dont je lisais volontiers des aventures avec mon fils, quand il était petit :

Et puis les VANNER (groupe de 2019, dont les 5 membres ont entre 28 et 30 ans et qui ont un jour fait un album titré « Veni, Vidi, Vici », détail qui m’amuse personnellement) ont aussi donné leur cover très appréciée par leurs fans mais qui m’emballe beaucoup moins alors je ne la place ici que pour… mettre en valeur les deux vidéos précédentes :

répétition ( practice) d’il y a douze ans.

Sheng… étonnant !

Alors l’adjectif « étonnant » est pris ici au sens étymologique, parce que je suis sonnée comme après un coup de tonnerre !
Cette prestation m’a éberluée, plus encore que le rock métal que je ne supporte qu’à petite dose ! C’est un orage de sons qui se déverse sur l’auditeur et qui me fait penser à ce dessin de Gilles.
Impossible de dire si j’ai apprécié ce morceau… En tout cas je ne l’ai pas détesté…
Il reste que j’ai froncé les sourcils jusqu’à la dixième minute d’écoute, ensuite j’ai un peu reconnu des émotions dont j’ai plus l’habitude en écoutant de la musique orchestrale.
J’en fais un article pour me rappeler dans le futur que je dois faire preuve d’ouverture d’esprit sans quoi je ne pourrais pas me qualifier de mélomane !
Cette concertiste y met toute son âme comme on le constate plus particulièrement dans le dernier mouvement.
Les applaudissements sont la preuve du succès de l’oeuvre… qui m’est très largement difficile à comprendre, toute en sons déconcertants au possible.
Encore une fois je suis incapable de nommer le compositeur, la soliste comme le chef d’orchestre. J’en suis bien triste. La vidéo semble ne s’adresser qu’à l’Asie et pas au reste du monde… M’en voici doublement exclue, ce qui ne m’empêche pas d’avoir envie de me souvenir de cette expérience !
Quel curieux instrument que ce sheng, orgue portatif qui sonne… comme un jouet pour enfant alors qu’il semble très difficile à manier ! Je l’ajoute à ma collection de découvertes originales, après avoir écouté et apprécié le pipa, l’erhu, le guzhen et d’autres instruments chinois.


RIIZE, un titre dansant

Que c’est beau d’être aussi légers.
Aussi contents en sautillant…
Mis en valeur dans toutes les couleurs
Sur cet air chanté comme en concert..
Ne pas chercher plus loin et refaire
Des figures croisées, des envols rythmés…
Un tube d’été
En pas chassés
Et bras en oblique étirés…
En voilà une charmante chorégraphie
Pour une cohésion sans répit
Et de tout souci faire fi
A l’infini…

Oh, non, zut alors! la vidéo est finie!
Je reclique… Et c’est reparti !

Il ne faut pas chercher d’interprétation profonde à ces sautillements. Une simple ambiance de fête sur des paroles simplettes ( « ça ne peut pas rater » « j’ai besoin de toi » « allons-y »). Y voir autre chose que le jaillissement de la « dance » est absurde. C’est une troupe de sportifs qui a les capacités physiques de bouger en rythme de façon agréable à regarder. C’est tout… Et ça met de bonne humeur.


Percussions taïko: interprétations musclées

Regarder les vidéos du Collectif KODO n’est pas de tout repos… Ça pulse fort!
Hommes et femmes ont à entretenir leur forme, entraîner leurs tympans et taper en harmonie ( voilà un mot leitmotiv de mes écrits!)…

Le mot « taïko » signifie « tambour » en japonais…
Mais il ne s’agit pas seulement de jouer du tambour. Il faut discipliner son corps et s’intégrer dans une chorégraphie musclée.
A petites doses, j’apprécie ce spectacle qui a la couleur de la tradition la plus ancestrale puisqu’à sept mois ma petite LittleUs tape sur tout ce qui passe à sa portée !
Bien sûr rythme, choeur et partage ne sont pas innés et il faut un bel entraînement pour offrir des spectacles bien composés.
Ces gens sont admirables dans l’engagement de leur corps et de leur esprit devenus le medium de la résonnance musicale chorale.
Le groupe « KODO » ( dont le nom signifie donc « battement de coeur » et aussi « enfant ») a donné un spectacle en début 2024 en France, Angleterre et Italie… Mais Youtube nous permet d’admirer un extrait de leur tournée WARABE.
Le fait que des hommes et des femmes partagent cette passion énergique au sein du groupe Kodo permet un spectacle très athlétique et la mise en scène des vidéos est particulièrement esthétique, graphique. Un bon moment et sans aucun doute un beau spectacle dont YT donne une idée assez précise.


Vivienne Sängerin : se quadrupler en choeur

Comme la technique est bien venue
Quand l’heur de chanter se continue
En vidéos coordonnées, juxtaposées,
Pour un choeur en harmonie pulsée…

Que sur le site de Vivienne
Ma joie longtemps advienne !
Sängerin me serine
L’accord qui fascine
Pour que naisse la félicité
D’une écoute en quatre tessitures…
Ses voix s’élèvent pures
Et me ravissent de tous côtés.

Mais elle est aussi étonnante en un seul exemplaire, par exemple quand elle promeut la chanson suisse de l’Eurovision 2024 ( qu’un autre artiste chantera) :

Bien que je ne l’aie pas vraiment appréciée dans Rigoletto et surtout La Tosca ou j’attendais plus de… peps dans les notes élevées. J’ai du culot de la juger ainsi parce que sa voix est vraiment belle mais je la sens… moins musclée, moins éclatante dans ces morceaux-là que dans ses « covers » plus contemporaines où elle me satisfait vraiment.


La version de Kim Go-Eun

Pour interpréter cette chanson,
Il y a eu Adèle ( voir ci-dessous) qui fut épatante et a touché toute la planète au point d’être totalement associée à cette chanson de Bob Dylan
Mais je viens d’entendre cette version de l’actrice coréenne Kim GoEun que j’ai tellement appréciée dans le Kdrama « Little Women » de 2022…
Et je perçois cette interprétation-ci comme toute en nuances et finesse.

Le visage si beau de cette artiste est comme une incarnation nouvelle de ce discours amoureux si touchant. On peut disposer des paroles en ouvrant la transcription de la vidéo.
Bien sûr Adèle demeure une référence pour ce titre alors il ne faut pas l’oublier.


La Percussionniste et le joueur de Ruan

Que de regrets je ressens à devoir désigner par des termes génériques ces instrumentistes parce que je ne sais pas reconnaître leur nom dans la suite de signes chinois… ( Je prie tous ceux que je n’ai pas su honorer correctement en donnant leur nom de m’excuser.)

L’instrumentiste qui joue du ( ou de la ? ) Ruan est un virtuose, c’est évident pour moi. Sa dextérité, la variété de son interprétation comme… sa tenue l’indiquent clairement.
Mais la percussionniste m’épate bien plus encore… parce qu’il faut frapper, taper, frotter, faire résonner ou tinter ou assourdir, attraper les mailloches et autres au bon moment et surtout avec le bon rythme et le bon entrain ! Et qu’on ne me réplique pas ce que me répond papyH quand mes exclamations signalent mon enthousiasme : « C’est son métier ! » Moi je veux continuer de me sentir admirative du bon pain du boulanger, de la guérison que m’a offerte mon médecin, du beau geste du sportif ou des sons parfaits d’un concertiste! « Qu’ils s’entraînent toute la journée » n’est pas un motif pour ne pas louer leurs dons que je n’ai pas.
Les mots de Nemoditur en commentaire de mon précédent article de musique chinoise ( « moi, j’entends des notes ») résonnent encore en mon esprit. Elle est musicienne, elle, moi, juste auditrice, là est la différence. Je sais bien qu’un musicien doit produire un son au bon moment et conformément à la partition… mais moi, ça m’épate bien plus quand il s’agit des percussions ! Ainsi ce « clac » n’est pas qu’un « fa » ou un « si »… Si? ( ?)…
Pour avoir cherché des exemples de partitions destinées aux percussions, j’ai donc pris conscience des notes auxquelles ces sons correspondent. Les notes qui s’expriment dans cette vidéo me paraissent très originales surtout celles des… »claves »…. ( Est-ce bien leur nom ?). Désormais quand j’entendrai « poum » ou « bling », je me demanderai si c’est un « mi », un « do » ou un « sol »!!!


Transcription sonore : qu’entend-on ?

Tèk… TacTac… Tèk
Tek
Tèkè… Tèkè.. Tèkètè Tèkètèkètè
Tèkè… Tèkè.. Tèkètè Tèkètèkètè
Tinn… Tinntinntinn Tinntinn Tinntinn Ting Tèk
Tinn… Tinntinntinn Tinntinn Tinntinn Ting Tèk
Ting Tang Ting Tang… Tinnng
Plannk
Ben…Benn… Bong
Drrr Drrr Drrr Drrr….
Drrr Drrr Chlang
Zinng Planng… Zinng Planng
Zinng Planng… Zinng Planng
DongDingDong DongDongDongDing DanngDan
Daballamm BlangBlang
Toc Tic Toc TikTok TikTok
Dzinng Dzanng Dzan….
ET JE ME suis arrêtée là car ce serait bien trop long de tout transcrire et je n’ai pas la connaissance des notes correspondant à ces sons (et de toute façon je ne connais guère le solfège!) Pourtant c’est une vraie partition et l’on voit le compositeur venir saluer à la fin. On remarque combien les mouvements des joueurs d’erhu et percussionnistes sont coordonnés et ces sons qui sont des notes de musique sont donc d’une grande précision. Ces musiciens sont loin « d’être toc toc » ! L’harmonie existe bien. C’est de la musique et de l’art, pas des sons de casseroles et j’ai de l’admiration pour ces instrumentistes-là car ils représentent, pour moi, le véritable amour de la Musique.
Personnellement, j’ai réécouté cette composition un très grand nombre de fois et, à chaque écoute, avec un réel et très grand plaisir! Le transcrire m’a permis de mieux le ressentir…

Mais tout le monde n’entend pas les sons de la même façon alors si quelqu’un d’autre écrit tel passage ( par exemple le tout début) avec d’autres lettres, il m’intéresserait de le savoir. L’échange de points de vue pourrait être enrichissant pour mieux comprendre… la spécificité de notre écoute.

PapyH me répète que j’entends tout de travers… Et de fait, avec ma manie de penser aussitôt trois synonymes quand on me dit trois mots… Ça fait déjà… bien plus de neuf possibilités de confusions 😄 ( car il y a celles de l’émetteur + celles du récepteur, en l’occurrence moi et .. je n’ai jamais bien compris les probabilités !🤔🥴🤣). Alors, dites-moi : qu’entendez-vous, vous qui passez par ici, dans les premiers sons de cette composition ???


Willie Nelson : de la country (MAJ)

Mon blog manquait de cheveux blancs…
Alors que mon crâne, non.
Voilà qui est réparé grâce à Willie Nelson,
Grâce à sa voix et sa guitare
qui me plaisent bien…
Voyageons vers l’Ouest américain…
Avec une reprise éternelle

Et puis dans Always On My Mind. (La country, c’est à la mode en ce moment sur YT.) :

Il est né un 29 avril, en 33, au siècle dernier, comme moi!… mais il me précède de plus de vingt ans et il joue bien mieux de la guitare… Puisque je ne sais pas en jouer😄

Pour tenir compte du ressenti de mon Aminaute, Justin, qui avait des réticences concernant le choix de la chanson que j’avais fait ( un point de vue politicien du chanteur que je n’ai pu négliger après relecture de plusieurs traductions du texte), je viens de choisir une autre chanson plus ancienne. A mon oreille, elle m’évoque moins les cowboys dans leur chevauchée mais plutôt dans leur allure paisible, solitaire et mélancolique… Une ballade sous un soleil ardent.

Espérons qu’aucune pensée parasite du type politicien ne viendra émailler l’écoute d’un Aminaute et que nous pourrons partager l’évocation du vacher au travail, comme un gardian camarguais.


Quand l’erhu m’dit bien…

J’écoute, d’un plaisir d’érudit,
Ce couple de musiciens chinois
Qui dialogue en véritable joie.
Quel dommage que je ne comprenne rien
Aux mots qui s’inscrivent
En caractères alternatifs…
J’espère qu’ils sont corrects,
En l’absence de traduction…
Mais si ces artistes ont un air mutin
Ils me paraissent des personnes de bien.


Émotions artistiques 3 : bouger son corps en chorale

Pour avoir fait un petit tour d’internet afin d’écouter des chorales d’enfants et d’adultes, j’ai soudain constaté que…
De Chine à Dortmund…
les choristes sont invités à mettre tout leur corps en oeuvre pour interpréter leur partition or tout le monde ne penche pas la tête de la même façon ! J’ai vu là « un peu de rififi » parmi les choristes : c’est à qui vivra plus fort sa prestation… Et ça me deconcentre un peu !
Une chorale n’est pas un boys band ou girls bands…. Les réflexes n’y sont plus autant coordonnés, seules les voix le restent.
Par conséquent le groupe demeure, tout de même, en harmonie et il faut bénéficier d’une vidéo intégrant des plans rapprochés pour constater combien…
Chanter fait plaisir.
Chanter permet d’élever son âme.
Chanter, c’est se réaliser.

Mais il faut néanmoins suivre le chef de chœur pour réussir à ne pas trop errer en corps et suivre en voix…
Or à Dortmund, j’ai trouvé une prestation qui s’apparente à un canon…
au cours de laquelle les enfants suivent des voies plus tellement parallèles.
Qu’on regarde, complètement à droite, le trio au rythme plus soutenu, qui est soudain exclu de la vidéo par le / la vidéaste alors que tous trois chantent très bien…
Ou qu’on porte son regard sur les petits du premier rang à gauche qui… Semblent des planètes aux orbites découplées et… Au rythme décuplé ! Et pourtant le tout arrive en gare à l’heure avec un bel ensemble ! Peace, donc!

Je suis toujours sous le charme et… hilare à la fois; j’ai beaucoup ri tout en estimant très
agréable quand même cette composition dans laquelle j’ai compris seulement « alléluia! ». Ensuite je suis repartie en Chine écouter « Ayo Mama » chanté par des petits anges à capelines dorées de chaperons rouges réinventés qui alternent des mouvements un peu militaires avec une expressivité personnelle affirmée. J’ai encore beaucoup aimé.

Enfin j’ai aussi « liké » ce qui me paraît être l’histoire d’un cactus vert 🌵 qui pique le postérieur du garçon de droite, dans ce groupe allemand bien amusant.

Bravo à tous. Vous m’avez récréée !


Émotions artistiques 2

Depuis mon dernier ébahissement devant une artiste précoce… Je reçois de nombreuses autres vidéos pour me faire connaître des enfants doués et m’attacher à tel ou tel bambin génial or tous sont touchants…
mais voici BARRON CHENG, (qui se nommerait plutôt Cheng Chun Ki), qui était pianiste concertiste à 3 (ou 4, ce n’est pas très clair) ans! Avec un R ou 2, dans le surnom, ce n’est pas très clair non plus ! de Hong Kong semble-t-il… ?

Il me plonge dans un total émerveillement. 
Comment ne pas remarquer sa concentration, absolument respectée par le chef d’orchestre, et toujours très fortement prolongée jusqu’à la fin de ses prestations ?
Il caresse les touches du piano, il ne voit que ses notes et…il est musique ! Alors quand la dernière note a résonné, il vit encore ce morceau d’art qu’il vient de faire naître et dont il laisse retomber lentement la vibration qui pulsait en lui.
Il met donc des intentions dans son jeu et n’est pas qu’un petit savant
Il ressent et interprète vraiment. Il s’en retourne en loge, pas plus intéressé par le public qu’au début, juste après avoir serré une main, salué… Frrrt, il est parti !

Son professeur est Shirley Lo dont la chaîne YT présente d’autres petits génies… Relevons que j’ai plus souvent vu des vidéos d’enfants d’origine asiatique dans mon fil d’actualité… Sans doute parce que je suis totalement séduite par le continent asiatique.
Je souhaite une longue carrière remplie d’émotions positives à BARRON, cet enfançon qui deviendra toujours une plus grande incarnation du dieu de la musique. 


Sylvain Luc et Marylise Florid : harmonie éternelle de guitaristes

Voici Sylvain Luc et son épouse Marylise Florid.
Le musicien vient de s’éteindre à 58 ans.
Il était connu pour être un grand musicien de jazz et a été salué par de nombreuses personnalités.
Là, ils jouent des variations d’airs classiques ou connus, parmi lesquels j’ai identifié Recuerdos de la Alhambra , œuvre de guitare classique écrite en 1896 à Grenade par Francisco Tárrega (et dont j’ai parlé dans mon article sur KyuHee Park) malgré ma culture limitée en la matière et avec mon amateurisme.
J’aime leur complicité de musiciens qui se double de celle des époux.
Ces vagues d’harmonies plus ou moins complexes, de rythmes et d’accords plus ou moins compréhensibles pour mon oreille ( j’ai toujours eu du mal avec certains accords que mon oreille perçoit comme biaisés, comme dans le jazz pur), de sons plus ou moins originaux par rapport à l’attendu ou l’espéré.. Me ravissent.
Que ce couple est beau* dans ce dialogue musical que la disparition de l’un rend d’autant plus intemporel presque à dimension mythique, celle des artistes.
Comme la technologie, qui a fixé ces instants pour le présent et l’avenir, est louable quand elle reproduit durablement et pour la foule des auditeurs inconnus, dont je suis, la communion de leur entente musicale et fait se répondre la maestria de chacun, dans son style et son don personnel puis dans leur conversation commune, leur duo.

Ils dialoguent encore et toujours, au gré des écoutes et autant de fois qu’on le souhaite… pour une éternité.
Je veux croire que même là-bas, où qu’il soit parti et où que ce soit ( car il n’est pas possible qu’un tel créateur de Beauté soit nulle part, dans le néant), il est toujours avec elle, comme dans cette vidéo.

* J’ai conscience d’employer le qualificatif « beau » sans cesse dans mes textes… et que pour moi il signifie moins « esthétique » ou « parfait physiquement » que « remarquable », « original », « unique », « artistique »et surtout : « touchant, émouvant, agréable, parfait moralement ».


De biographie en biographie…

Donc j’ai lu la biographie de Schubert, retrouvée dans l’un de mes placards. Ce livre figurait dans le carton « à donner » du CDI de l’établissement et personne n’en voulait !
Il faut dire que le niveau de langage employé par l’auteur, Michel Honaker, est trop élevé pour des collégiens de 2021 (eh oui je ne me prononce pas pour ceux de cette année mais je sais que, pour ceux de l’année où j’ai pris ma retraite, de nombreux tours de phrase et du vocabulaire auraient nécessité une définition ou même… une traduction!)
De ce fait je suis absolument outrée à cause d’une formule employée par la personne méprisante qui a rédigé la biographie de l’auteur sur Wikipedia! En effet, si je n’ai rien lu d’autre de M. Honaker, je ne comprends pas néanmoins (et tête en plus!!!) qu’on ait eu besoin de le qualifier d’écrivain de « romans « spécialisé dans la culture populaire »!!! Cette formule sent la suffisance d’un lettré qui s’autorise à classifier les littératures pour déterminer la « vraie littérature » et la « sous-culture » ( je dénie ce droit à un contemporain de l’œuvre, comme je l’ai déjà expliqué : les écrivains populaires d’un siècle devenant les classiques d’un autre… ) ou les auteurs dont il faudrait soi-disant expurger les oeuvres des idées et mots devenus sujets à polémique ! Cette expression est celle de qui veut déclarer comme plus digne d’intérêt littéraire quelqu’un qui n’écrirait pas de roman policier ni d’oeuvre destinée à la jeunesse comme cette collection « Cascade musique » racontant les biographies de musiciens célèbres!
Je me rends compte que je ne sais pas trouver le nom de l’auteur de cet article de Wikipedia et je me demande si cette personne a été capable de rédiger plus de 120 livres édités par les Editions Flammarion et Gallimard ( « Fleuve noir » recueillant certainement le mépris de ce scripteur), qui ne font pas que des boulettes ni que des affaires commerciales, tout de même ! En tout cas personnellement, je dis « respect » à M. Honaker ! … Oh il me vient à l’idée que cette biographie ait pu être rédigée par M. Honaker lui-même… Auquel cas… Ce serait de l’humilité mal placée, pour ce que j’en perçois… ?

Pour en revenir à Schubert, qui était tout de même mon sujet originel… j’ai donc appris beaucoup en doublant cette lecture par d’autres biographies du même musicien, autrichien comme Mozart, grâce à Internet.
Pauvre Franz! Oui pauvre Schubert qui a quitté notre monde aux débuts de sa trentaine! (31 janvier 1797 – 19 novembre 1828).
Pauvre jeune homme qui a très tôt été reconnu pour son don de chanteur, musicien puis, un temps, chef d’orchestre et, toujours, compositeur, préférant de plus en plus la musique aux autres matières durant ses études. Son père le voulait fonctionnaire mais il a troqué sa blouse d’instituteur, situation stable dans l’école dont son père était le directeur… pour sombrer dans la vie de bohème, squattant chez l’un ou l’autre de ses amis fêtards (amateurs de schubertiades arrosées) !
Lui qui fut l’élève de Salieri, qui admira Mozart sans l’avoir rencontré et puis Beethoven qu’il n’approcha qu’une fois… Ne connut jamais vraiment la gloire mais juste quelques succès… Alors qu’il est l’un des plus prolifiques compositeurs du XIXème siècle, le chantre de la musique romantique dans les dix dernières années de sa vie ! Il a créé un millier de pièces et d’illustres compositeurs, comme Schumann, Liszt ou Brahms, reconnaîtront son génie et même Goethe qu’il avait tenté de contacter en vain!
Pauvre Franz qui fut rejeté par Thérèse Grob dont la mère ne voulait pas avoir de gendre pauvre puis éconduit par la famille de Caroline Esterházy, jeune noble de 8 ans sa cadette, amoureuse de lui comme il le fut d’elle… Un peu avant cette époque-là, il avait contracté une infection vénérienne qui le fit souffrir, les cinq dernières années de sa vie. Il meurt de la fièvre typhoïde. Il a mené une « vie de patachon », courant après la reconnaissance de ses contemporains… sans l’obtenir tout à fait même s’il a connu quelque succès les dix dernières années.

Il a composé l’Ave Maria en 1825 après la découverte de la poésie de Walter Scott.

Divers : un peu d’humour pour rappeler que ce fut le baryton Johann Michael Vogl (= « vos gueules » dans les sonorités du français !) qui lui a permis de se faire écouter dans le milieu cultivé de Vienne… C’est nul comme blague mais véridique.
Il a assisté aux funérailles de Ludwig van Beethoven, Le 26 mars 1827, mort de cirrhose ou du plomb contenu dans son vin préféré… Ben dis donc : le génie rimerait-il avec addictions… La question est posée !

Conclusion… J’ai passé de bien beaux moments avec Schubert, quelle qu’ait été sa vie… Et je repose l’éternelle question : faut-il s’empêcher d’apprécier une oeuvre à cause des défauts de moralité de son auteur ? Dans le cas présent, je dis que non.


F. Schubert, quintettes en tête et découvertes en fin d’article!

Depuis plus d’une semaine… je vis avec Schubert ! Et pourquoi pas ! J’ai retrouvé dans mes placards une biographie, dont je parlerai dans un autre article… alors je me suis, d’abord, mise à l’écouter. J’ai choisi les deux quintettes , l’un est pour piano et violoncelle :

Comme tout le monde, de Schubert, je connaissais surtout « die Forelle«  (en anglais « Trout » 🤣 ) la Truite… qui fut d’abord un lied pour voix solo et piano puis dont il a fait une variation dans le Quintette pour piano et cordes D. 667, écrit en 1819 . Voici ce quintette que j’ai estimé magnifique ( même si un commentaire malveillant ose dire que c’est la musique de sa machine à laver… Mais cette personne doit laver son linge avec sa chaîne HiFi !)

« La Truite » fut très connue en France à la suite de son détournement ridicule chanté par les Frères Jacques sur un texte de Francis Blanche intitulé : « Le complexe de la Truite »… Un avatar qui me dérange toujours assez. Cette chanson fait d’une jeune fille de 16 ans sortant du couvent une gourgandine, engrossée par le locuteur, qui semble être heureusement de son âge, un soir d’orage diabolique, et qui accouche d’un poisson en hurlant comme une furie ! N’est-ce pas un contre-sens avec l’oeuvre du maître puisqu’il paraît que Schubert voulait « mettre en garde contre ceux qui détournent les jeunes filles » ( citation extraite de l’article de Wikipédia ) ?! En voici des paroles qui mettront cet objectif en lumière, si on la chante en français ( pardon pour les annotations CGF qui doivent désigner des accords, je les supprimerai un jour):

Je connaissais aussi bien sûr L’Ave Maria, tant grâce à Nana Mouskouri qu’au « Fantasia » de Disney dans lequel il est merveilleusement mis en images. Et puis aussi la merveilleuse sérénade de « La belle meunière » chantée par Tino Rossi et qu’aimait chanter mon grand-père maternel… Pour l’Ave Maria, j’ai sélectionné d’abord, ( après en avoir écouté une demi-douzaine) l’interprétation en allemand de Jessye Norman, parce qu’elle était parvenue à rendre cette langue douce et nuancée à mon oreille:

puis celle de José Careiras , que j’estime déliée et inspirée :

Je mets en lien les interprétations du fils Bocelli ( Matteo) avec un excellent violoniste et celle que j’ai redécouverte la version de Johnny Hallyday qui fait pâle figure, du coup, après ces pointures que sont la soprano et les ténors… Mais voici un quatuor d’interprètes a capella aux harmonies magnifiques, les Kings Return . Comme ils proposent une variation très éloignée de l’original… et dans leur cage d’escalier ( et il y a une belle acoustique comme dans mon couloir… Ce dont je suis la seule à profiter!😄 )! On peut se demander ce qu’en dirait le compositeur… Je crois qu’il lui serait totalement indifférent que ce soit chanté en ce lieu et ainsi modifié et… qu’il continuerait d’écrire de nouvelles oeuvres sur son papier à musique !


Chung Ha : « am stram gram »

Bon elle le dit dans une autre langue,
Et je trouve qu’elle mime plutôt :
« Bisque, bisque, rage »!
Mais j’aime trop cette grande belle femme
Que j’ai remarquée dans sa conversation
Avec Ten (cf quelques articles plus tôt).
Son show me titille l’imaginaire
Et me capte magiquement…
Alors tant pis si Domdom en a déjà parlé, je la place ici…
Parce qu’en plus, dans ce clip, elle est plus vêtue que beaucoup de chanteuses de K-pop dont l’aspect « Miss en représentation » me fatigue.
Chung Ha danse sans avoir les jambes nues parce qu’elle n’a pas besoin de se découvrir pour montrer toute sa féminité.
Et elle adopte moins ces déhanchés suggestifs « Kpopiens » qui me gênent bien plus pour les femmes que de la part des hommes…
Voilà, Chung Ha est sur mon blog , en clip-vidéo

et en paroles avec son comparse Hong Joong d’Ateez.


Ria Kang : une mozart !

Ria a huit ans… En réalité Ria, qui est inscrite au Collaborative Arts Institute of Chicago ( une école privée) a donné son premier concert il y a trois ans… !
Elle avait donc 5 ans. Voilà pourquoi je la compare à Mozart dont elle interprète de nombreuses pièces comme on peut l’écouter sur son site YT.

Elle vient de gagner le concours organisé par son Institut mais je préfère conserver ici l’Allegro Brillante opus by Willem Ten Have, qu’elle interprétait ( j’allais écrire « jouait »… Mais justement : elle vit son jeu !) il y a six mois, accompagnée au piano par une personne de sa famille ( certainement sa maman MinYoung Kang ou une autre parente ; elles se ressemblent beaucoup).
Le travail des enfants est régulé par une charte internationale… Cependant je me disais que pour acquérir un tel niveau ( même si on considère que Ria est naturellement un génie douée d’un don particulier et unique), il doit en falloir des exercices dont bon nombre ont dû faire mal aux doigts, au dos… Même pour une personne passionnée car on voit bien qu’elle est heureuse d’avoir réussi sa prestation… à la fin de chaque morceau, elle lève le bras en triomphe… Puis sort un peu raide… Peut-être est-elle encore pénétrée par sa musique ?
Maintenant que le succès est là, comme elle perçoit la fierté de sa famille, qu’elle peut ressentir la musique au plus profond d’elle ( comme on le remarque bien au début de cette vidéo)… Elle considère sans doute que ce n’est pas vraiment une peine… Ou un peu tout de même, non ?
Pour les musiciens, les danseurs, les sportifs… où est la limite entre travail et satisfaction… Peine et fierté… Souffrance et bonheur? Ces enfants-là profitent-ils de leur jeunesse ? En tout cas, pour la remercier du plaisir qu’elle m’offre par Internet, je souhaite à Ria une très longue vie pleine de bonheur.


Ngoc Mai : soprano vietnamienne

Dans cette interprétation d’une chanson dont le sens m’a été fourni très approximativement par la traduction automatique de Google…
(Et comme j’ai réédité trois fois l’expérience de cette traduction, il semblerait que je puisse au moins croire qu’il s’agit bien d’une chanson d’amour… )
Ngoc Mai m’a convaincue du fait que le vietnamien, qui choque un peu mon oreille occidentale d’ordinaire, peut devenir une musique qui carillonne et qui m’a tant plu que je l’ai réécoutée au moins six fois… Sans me soucier plus longuement du sens des mots.
Le timbre si clair de la voix de cette soprano me semble une source d’eau claire jaillissant en une chute rafraîchissante… elle m’émerveille.
Et pour ne rien gâcher, cette dame est bien belle, la 🎸 agréable et le décor soigné.
Partons donc, par cette écoute et sans quitter mon bon fauteuil, au Vietnam.


The Voice… En somme, qu’est-ce ?

Caisses frappées, effets wah-wah, cuivres ou bois…

Et PapyH m’a même convertie à l’écoute de l’émission récapitulative qui suit la sélection. Pour qu’un programme nous plaise à tous les deux… C’est qu’il a certainement des qualités !
La conclusion tient aussi aux talents écoutés qui sont si divers et pour une majorité tellement compétents en chant quand ce n’est pas en musique, étant musiciens ! Tant de gens chantent bien… Que ça repose des infos!

Les détracteurs de cette « émission de radio-crochet » qui a reçu 50 000 candidatures pour n’en faire sélectionner par les « coachs » que moins d’une centaine en des « auditions à l’aveugle » qui laissent forcément des recalés… affirment que tout est écrit à l’avance. J’en doute assez… Même si certains ont pu se faire remarquer en sautant des étapes.
La joie ou la peine d’un parent, d’une amie, d’un enfant ne peuvent pas être simulées et c’est avant tout pour ces émotions que nous regardons ce programme.
Chacun de nous fait ses commentaires et pronostics car nous aimons découvrir des voix, des personnalités, des interprétations sensibles.
Écouter des chansons nous plaît et comme j’aime des styles musicaux très divers, j’estime absurde de décrier ce programme au prétexte que ce n’est pas de l’opéra !
Voir une caissière rêver d’enflammer une salle de spectacle me fait du bien. Les rêves et la joie des autres me réconfortent autant qu’un médicament !
Cette année les « coachs » s’expriment dans un excellent français ( même Mika… Euh, il y a bien Zazie qui m’embête toujours avec le mot « espèce » au masculin… Mais c’est vraiment tout ce que j’ai à lui reprocher parce qu’elle trouve toujours le mot juste pour exprimer l’implicite) en se montrant attentionnés et plein d’humour. On leur reproche d’être bavards sur les « rézosossio » ou leurs choix de vêtements… Je ne suis pas d’accord du tout : point de décolleté racoleur pour la femme et de simples pulls ou chemises pour Flo ou Vianney. Le costume ni jaune ni vert de Mika m’amuse particulièrement car il va avec le personnage. Nous n’avons jamais encore zappé leurs discussions comme nous le faisions pendant les éditions antérieures ( ou comme nous coupons toutes les pubs) car la plupart de leurs plaisanteries nous amusent et leur gentillesse nous émeut… Merci Flo, d’être… bon enfant! Vive Toulouse ! Merci à tous les cinq pour leurs propos d’une grande humanité.


Brandon & Réginald : élégance

Écoutant de luth en luth, sur YT,
j’ai « rencontré » un duo, dans une magnifique vidéo d’où s’élève un air baroque… Music for a while de Henry Purcell ( 1659-1695) que le contre-ténor Reginald Mobley ( qui se produisit pour le couronnement de Charles III) interprète, accompagné au théorbe par Brandon Hacker :

Voici la chaîne Youtube de Brandon Hacker .
Comme je suis charmée… je réitère…

Et guitare et voix promènent
Mon âme avec délicatesse
Et une grande élégance.
De retour de mes découvertes asiatiques, me voici revenue en Occident…
Momentanément…
Mais plaisamment…
La musique, le chant, la danse… l’Art efface frontières et préjugés, habitudes et préventions absurdes… L’Art traverse le temps et l’espace.