Réfléchir sur trois fois rien, demeurer dans le léger pour ne pas s'abîmer dans le grave.

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Ma mayo niaise🥚

Quand j’étais jeune, chez mes parents, je voyais ma mère monter une mayonnaise à la cuillère avec juste un jaune d’oeuf, de l’huile (de pépins de raisin) un jus de 🍋 et du sel.
Dès que j’ai pu l’imiter, j’en ai raté tout un tas quand j’avais mes règles. La mayo, c’est une affaire de coup de main, de vitesse de tour de cuillère dans le bon sens et avec le bon rythme… de… est-ce que je sais, moi? C’était comme ça et systématique parce que c’est difficile, à la cuillère ! Donc je n’en faisais pas pendant ces périodes-là.
Ensuite j’ai vécu quelques temps chez mes beaux-parents et mon beau-papa ( qui fait très bien la cuisine) m’a appris à la commencer avec un fouet, en mettant une cuillère de moutarde, de l’huile Isio4 ( colza+tournesol+lin) et sans jus de citron. Il fallait « faire la boule » avant de la saler! Je me souviens bien de cette expression « faire la boule »😄
Je ne la ratai plus jamais.
J’ai donc adopté sa recette… si bien qu’un jour, j’ai entendu, alors que je faisais une mayo, ma mère me reprocher : « Mais c’est pas comme ça que je t’ai appris à la faire! » C’était il y a plus de trente ans et comme j’avais un contentieux avec elle, j’ai pu répondre « c’est bien pour ça que je la réalise ainsi! » (J’ai beau apprécier la culture coréenne, les Anciens ne m’en imposent que lorsque je le décide… et je me souviens encore du plaisir ressenti en répliquant ces mots qui coupaient définitivement un reste de cordon).
Dans ma cuisine, où je n’entre que par obligation, la mayo est devenue une rareté parce que depuis que PapyH a dû, pour sa santé, restreindre sa consommation d’oeufs et que la vieillesse nous pousse à manger de moins en moins mais de mieux en mieux .. je n’en fais plus que très très occasionnellement. Il y a un pot de mayo industrielle allégée pour les passades imprévues…
Et voici que je viens d’en faire une… Comme j’ai pris peur en réalisant combien de centilitres d’huile j’y avais englouti, au vu du niveau de la bouteille ! Ahhhhhhhhhhhh !
C’est un plaisir bien niais que nous avons dégusté là…
Mais bon sang, qu’est-ce qu’elle était bonne!

C’est promis… Je ferai désormais comme mon gendre qui, excellent cuisinier, n’en mange jamais, lui!

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Vivre et positiver 💜

« Tu sais Véro, j’ai surmonté un gros truc, là. » Par ces mots elle m’explique qu’elle a compris le cadeau qui vient de lui être accordé : la vie. Elle se remet d’un AVC. Elle a dû réapprendre à déglutir. Son élocution est de nouveau fluide. Elle a encore des difficultés pour écouter la télévision et lire lui est pénible mais elle revit.

Dimanche, ce sera sa fête comme la mienne ou celle de ma fille, sa petite-fille. Elle sera encore à la clinique par sécurité. Ma présence ne lui serait d’aucune utilité mais lui parler de temps en temps fait fonctionner son esprit.

Dans mon jardin, croissent des « éternelles ». Leur couleur dorée est une captation de soleil et une célébration de l’instant présent, de la vie. Leurs gerbes illuminent, comme de petites ampoules, ce semblant de sous bois. En les regardant, je songe à cette figure éternelle de la Mère, dont nous sommes chacune une image, nous qui éclairons de loin nos enfants pour qu’ils poursuivent leur route… Pensées maternelles de création.

Mininous va réciter un beau poème, comme sa maman avant elle, petite fleur de vie qui va illuminer nos pensées dans la genèse de notre famille et faire fleurir nos sourires.


Patients et thérapeutes de drama

            Pour ne plus souffrir d’entendre et de voir ce que mes contemporains subissent dans notre monde infernal, je me réfugie dans la fiction dont les violences sont désactivées, désincarnées puisque subies par des personnages et qu’à tout instant, d’une pression du doigt sur la télécommande, comme je le ferais sur le bouton d’un perfuseur d’antalgiques à l’hôpital, je peux faire cesser la scène abhorrée en la passant en accéléré ! 

            Et, curieusement, les derniers dramas (= feuilletons coréens) que j’ai vus en VOST (version qui me dépayse et fait voyager dans mon fauteuil) présentent tous un ou plusieurs personnages malades et des thérapeutes ! Comme je déteste le genre « Gore » je ne parlerai donc pas des Squid Game et autres All of us are dead que je fuis comme la peste parce que je n’ai pas pu dépasser les premiers épisodes… mais voici  des séries qui m’ont vraiment réconfortée alors même qu’elles mettaient en scène la maladie !           

            1. Hospital playlist :

dont voici le lien sur Netflix

Et voici le lien sur wikipedia

2 saisons de 12 épisodes en 2020

            Les personnages , unis comme les 5 doigts de la main (et l’étymologie de chirurgien vient du grec « cheir+urgo » = « la main qui soigne» ) sont  (dans l’ordre de l’affiche montrée avec le nom d’acteur puis le nom du personnage interprété):

  • Kim Dae-myung : Yang Seok-hyeong, professeur adjoint d’obstétrique et de gynécologie (et pianiste au synthé) C’est un gros nounours introverti échaudé par un divorce.
  • Yoo Yeon-seok : Ahn Jeong-won, professeur adjoint de chirurgie pédiatrique (et batteur) D’abord profondément chrétien comme sa famille, il veut se faire prêtre et consacre secrètement sa fortune aux miséreux quand l’amour sonne à la porte de son âme.
  • Jo Jeong-seok : Lee Ik-jun, professeur adjoint de chirurgie générale et papa célibataire. Il fait de nombreuses greffes de foie dans un pays où l’alcoolisme a l’air d’être le premier fléau. Ik-jun est le boute en train le plus génial qui soit, le Cupidon du groupe et mon personnage ( et mon acteur) préféré.
  • Jung Kyung-ho : Kim Jun-wan, professeur agrégé de chirurgie cardiothoracique joue le rôle du faux insensible. Il adore manger et il est maigre comme un échalas car c’est un bourreau de travail que sa bien-aimée va faire souffrir longtemps.
  • Jeon Mi-do :  Chae Song-hwa, professeur agrégé de neurochirurgie, une tête qui fouille dans les cerveaux, un peu coincée. Elle chante aussi faux que possible mais ses amis l’adorent au point de… lui laisser choisir la chanson à jouer… une fois tous les deux ans pour son anniversaire !

            L’intrigue :

            Ces 5 chirurgiens (dont une femme) sont devenus amis pendant leurs études. Désormais ils vivent comme une famille et se soutiennent pour supporter leur quotidien stressant dans l’hôpital où ils travaillent tous. Afin de se changer les idées, ils se réunissent hebdomadairement pour faire de la musique et ils sont tous à la recherche d’une relation sentimentale stable.  

            On passe autant de temps pendant les repas (ces pauses salutaires pour les soignants surmenés)  qu’autour de la table d’opération mais aussi dans le sous-sol où le groupe répète. Et leur famille vient compliquer leur quotidien pour pimenter l’histoire.

            Ce drama fut numéro 1 en Corée du Sud l’an passé (et ce ne fut pas du tout  Le jeu du calmar comme en Europe ou aux USA !). J’ai vu une bonne partie de Grey’s anatomy (et il y a eu 16 saisons !) mais j’ai quitté Mérédith, (pendant la 17ème) au seuil de son coma dans lequel j’ai sombré aussi… alors que j’ai suivi le groupe de musiciens chirurgiens jusqu’au bout avec le même plaisir et que j’aimerais bien les revoir.

             Pas un seul personnage secondaire à supprimer, tous sont attachants ou intéressants (même la mère de l’obstétricien qui est une vraie teigne)  et leurs interprètes talentueux mais je ne vais pas le répéter pour tous les dramas car c’est une réalité constante !

            Les reprises de chansons coréennes populaires sorties dans les années 1990 et 2000 par le groupe de musiciens sont toujours mises en relation avec l’intrigue du feuilleton qu’elles concluent. La neurologue qui doit faire exprès de chanter faux car son personnage est une musicienne qui n’a pas d’oreille (et pourtant elle joue juste ! Comment est-ce possible… mystère !) … a dû beaucoup travailler pour parvenir à nous les casser autant. J’ai vraiment ri  comme dans ma jeunesse (car je ne prends plus de fou-rire comme autrefois… c’est bien triste de vieillir !)

            Les maladies et affections physiques traitées dans ces récits sont aussi diverses que les affections psychologiques… Et j’ai bien cru que j’étais moi-même atteinte par certaines d’entre elles… mais ces docs de fiction m’ont aussitôt soignée ! On ne nous épargne pas les cas les plus complexes et tant de thèmes sont abordés tels que le don d’organe, la violence des alcooliques, la mortalité infantile, la vieillesse, les relations familiales, les belles-mères pénibles…etc  Les héros sont des êtres d’exception avec des faiblesses pour parfois paraître très proches de nous… Le fils d’Ikjun est un vrai clown, avec une petite bouille impayable et un caractère de surdoué déroutant…et l’acteur qui joue Ikjun est un artiste merveilleusement doué dont les joies sont communicatives, les émois adorables, les facéties impayables… [Quel type, ce mec !  Du coup je l’ai suivi dans le drama indiqué ci-dessous et n’ai pas été déçue ! ]

            Pour moi, le premier intérêt de ce drama… fut que ma belle-fille, [que j’aime et estime tant car j’ai la chance d’avoir deux « beaux-enfants », les compagnons de mes enfants, exceptionnels ; pas de « pièces rapportées » chez nous mais des êtres valorisants], l’ait regardé et apprécié avec moi car elle est la seule qui ait partagé un petit peu mon intérêt pour ce genre cinématographique ! (les autres se moquent de ma « passion netfliquesque » qui leur fait fuir mon profil Netflix parce qu’on n’y trouve « que du coréen » alors que je ne comprends pas du tout cette langue et n’ai jamais quitté l’Europe !)  

            2. You are my spring

dont voici le lien sur Netflix  

Et voici le lien sur Senscritique

1 saison de 16 épisodes en 2021

            Les personnages :

Seo Hyun-jin  : Kang Da-jeong  la concierge sur la défensive au caractère bien affirmé

Kim Dong-wook  : Joo Yeong-do, le psychiatre Sherlock Holmes

Choi Yoon-jae : Joo Yeong-do (jeune)

Yoon Park : Chae Joon / Dr. Ian Chase les « jumeaux » par qui tout arrive (et un acteur étonnant de dualité, d’expressivité, de complexité !Il peut se montrer vraiment très inquiétant puis se transfigure pour offrir un air angélique… Brrr !)

Nam Gyu-ri  : Ahn Ga-yeong  une star de cinéma hors norme, assez bouleversée mentalement pour avoir songé au suicide, comme beaucoup en Corée. Elle fut sauvée par le médecin. Pour communiquer avec autrui, elle lance ses  “Excuse me” comme les Coréens jettent leur « ya » / « hé » ( !) , cette interpellation glaçante, un coup de poing verbal.

            L’intrigue :

            Une concierge d’hôtel, dont l’enfance fut marquée par l’alcoolisme de son père,  et un psychiatre, cardiaque, et aussi profiler-consultant pour ses amis de la police,  sont mêlés à la même enquête policière car le suicidé faisait une cour harcelante à la jeune femme, qui habite au sommet de l’immeuble (numéro 99 « gugu ») où se situe le cabinet du médecin (luxueux mais avec une fuite d’eau tout de même !) , une clinique vétérinaire et un café abritant tout un groupe de copains du couple, dont un Gaston Lagaffe très pénible, horripilant, mais finalement utile !  

            Les premières secondes du drama sont particulièrement réussies et prenantes car elles nous imposent la chute du suicidé comme le détonateur de l’intrigue. C’est le premier feuilleton qui capture aussi bien mon intérêt dès le premier opus car généralement les deux ou trois premiers épisodes d’un drama sont longuets avec leur mise ne place de la situation initiale dont les détails nous paraissent manquer d’unité et qui ne prendront tout leur sens que bien plus tard. Parfois on ne voit pas où les réalisateurs veulent en venir et l’on désespère de le comprendre avant que l’ennui ne nous guette.

            Donc ce psychiatre me séduit totalement par son style, son calme, son air de détective des travers de l’âme. Il me rappelle certaines réactions de mon fils, il me captive. Dans ce feuilleton, le thérapeute est lui-même malade : il a bénéficié d’une greffe cardiaque et veut vivre le mieux et le plus longtemps possible par reconnaissance pour ce don de vie.

            La psychologie perturbée d’enfants maltraités est aussi abordée dans cette œuvre qui parle encore une fois « d’amours de jeunesse », un thème récurrent dans les dramas.

            3. Don’t dare to dream ou Jealousy Incarnate

Voici le lien sur Netflix

Voici le lien sur wikipedia

            Les personnages (ce sont les trois à droite sur l’image, celle de gauche n’a guère d’intérêt car c’est un faire-valoir, la copine intéressée et hypocrite)

  • Gong Hyo-jin : Pyo Na-ri, présentatrice météo plutôt optimiste..
  • Jo Jung-suk : Lee Hwa-shin, journaliste vedette cultivé et d’un milieu aisé.
  • Go Kyung-pyo : Go Jung-won, l’ami très riche,  poli du précédent, patron d’une maison de couture et l’héritier d’une grande entreprise ( chaebol) qui gère plusieurs marques de vêtements de luxe.

            L’intrigue :

            Diplômée d’une université de troisième ordre et n’ayant ni argent ni relations, Na-ri, Miss Météo consciencieuse, optimiste mais indécise, est prête à tous les compromis  pour garder sa place à la chaîne en tant que Miss Météo… mais elle rêve de devenir présentatrice d’infos voire journaliste. Elle a aimé Hwa-shin pendant 3 ans mais Môssieur était trop fier et macho pour l’aimer en retour, étant à peine flatté et la repoussant sans cesse.  Quand  Na-ri et Jung-won se rencontrent et tombent amoureux,  Jung-suk réalise que Na-ri a fini par le séduire et il revient dans la course… Il s’en suit une véritable bataille entre les deux meilleurs amis, amis d’enfance, devenus rivaux. Leur famille très étendue (des divorces et remariages, des faillites…), des « amies » jalouses et ceux qui dirigent la chaîne de TV viennent compliquer leur quotidien… comme de bien entendu.

            Dans les deux premiers épisodes, le comportement de Na-ri est assez insupportable et j’ai failli renoncer( mais j’ai bien fait de rester ! ) : elle s’accroche à Jung-suk sans honte. Un jour elle doit aider Jung-suk à s’habiller pour lui permettre de passer à l’antenne; parce que sa mère est morte d’un cancer du sein et qu’elle-même subit des contrôles réguliers pour en éviter un, elle se rend compte que Jung-suk… a un cancer du sein ! ( Là la scène est un peu tirée en longueur , pour un comique de répétition un poil trop appuyé, car elle le poursuit pour le tâter et le harceler vraiment… pour la bonne cause… mais nous aussi estimons qu’elle exagère, jusqu’au diagnostic lui donnant raison. ) Le comique de situation répété est si communicatif que j’ai ri à en pleurer plus d’une fois et même dans la scène des pets… eh oui, les Coréens vont jusqu’aux toilettes  et, ici, ça ne pue ni le nanar ni le navet.

            Les deux héros se retrouvent à la clinique et dans la même chambre pour y subir une opération, elle pour une mastose et lui pour combattre son cancer de stade un dans le plus grand secret puisqu’il ne pourrait pas continuer de travailler sur la chaîne de TV si quelqu’un le savait et il le cache même à son meilleur ami, ne supportant pas d’être concerné par une pathologie tellement marquée comme étant féminine. Bien sûr il est difficile à croire qu’un homme partage la chambre d’une femme  dans une clinique fréquentée par des femmes.  Le thème « les hommes aussi » est au cœur de ce drama.

            La scène où il fait une mammographie, au milieu de l’épisode 3, est d’anthologie ! Les images d’une orange pressée, d’une noix écrasée viennent nous faire percevoir la souffrance physique d’un si petit sein écrabouillé et la souffrance morale d’un homme qui se croit dénaturé par ce qui lui arrive est très perceptible.

            La chirurgienne et l’assistante sont elles aussi trop, trop comiques ! Le drama devient jouissif  quand des personnages dansent leur joie finale… Euh… pardon pour le bout de spoil :  ce n’est qu’une comédie mais je vous garantis qu’elle soigne tout moral en berne et elle attire l’attention sur ce cancer-là.

            4. Uncontrollably fond

Voici le lien sur Wikipedia 

Voici le lien sur Netflix

et comme le feuilleton va bientôt quitter le catalogue Netflix, voici le lien sur nautiljon.com

et celui sur SensCritique.com

            Les personnages :

  • Kim Woo-bin : Shin Jun-young, la star de Kpop adulée
  • Bae Suzy : Noh Eul la productrice de documentaires intéressée par l’argent car pauvre et soutien de famille de son frère car ils sont orphelins, leur père s’étant fait écraser
  • Lim Ju-hwan : Choi Ji-tae, le fils de famille riche amoureux de l’héroïne , qui se fait passer pour pauvre pour pouvoir la fréquenter.
  • Lim Ju-eun : Yoon Jeong-eun la fiancée du précédent

            L’intrigue :

            Dans leur jeunesse, les deux héros se sont rencontrés mais le jeune homme ayant découvert qui est son père, provoque l’accident de la jeune fille pour sauver la réputation de ce père qu’il admirait encore à l’époque avant de découvrir par la suite que ce procureur s’avère un pourri avide de pouvoir. La jeune fille allait révéler comment le procureur avait étouffé l’affaire qui avait  coûté la vie à son père à elle !

            Je sais : c’est vachement tordu comme scénario ! Devenu une star, le gars avait rompu tout contact avec la fille mais elle se retrouve sur son chemin et il ne parvient pas à l’oublier alors il accepte de la laisser le filmer pour un documentaire sur sa vie de star, sur sa gloire… alors qu’il vient d’apprendre qu’il est condamné et le cache au monde entier ;  il a une tumeur énorme au cerveau et plus que trois mois à vivre.

            Le malade  veut… soigner son aimée ! Il essaie de permettre à son amour d’enfance de dépasser tout ce que son passé leur fait traîner comme casseroles; pour elle, ce sont : sa peine d’orpheline, l’éducation de son frère, son combat pour dénoncer les hommes de pouvoir pourris. Il veut qu’elle  lui survive et connaisse le confort et la réussite. Au début il ne songe qu’à punir son père mais il découvre qu’il a un demi-frère, son aîné, un homme riche lui aussi… qui est tombé amoureux de la même femme, de l’héroïne !

            Evidemment le message qu’enregistre ce jeune homme, qui va quitter la vie, est touchant… même si son parcours de star compense les adieux à la vie dans l’esprit du spectateur… Il va quitter la vie au moment où il se permet de retrouver celle qu’il aime !

             Les autres thèmes de cette œuvre sont… les sentiments :  l’amour maternel (sa mère lui en veut d’avoir abandonné le droit pour le spectacle), l’amour fraternel (le frère de la star a plus de valeur humaine que son père et le frère de l’héroïne a plus d’importance pour elle que sa propre existence), l’amour paternel (le procureur adore sa fille qu’il préférait à ses fils), l’amour filial (l’héroïne idolâtre son père et la star persiste à quémander l’amour de sa mère), l’amitié (la bonne copine de Noh-eul est presque une mère pour elle) et bien sûr l’amour passionnel…

            J’aurais encore une douzaine d’autres dramas à recommander mais … ce sera pour une autre fois !


Fin d’année 2021 et début 2022 :

                Oui le Père Noël a fini par arriver chez nous… mais il est passé sur le balcon car deux d’entre nous étaient confinés parce qu’ils étaient cas-contact. Nous avons heureusement pu être ensemble à l’extérieur et Mininous s’est bien régalée, nous amusant aussi par ses réflexions impayables! J’ai bien reçu mes commandes de cadeaux… Le Père Noël est super attentionné! Voici donc une sélection de bons moments passés et une annonce de bons moments futurs avec la douceur et les surprises des gâteaux!

                Nous voici donc entrés en 2022 :

Je vous souhaite Bonheur et Santé surtout, avec cette image, que je trouve désopilante, reçue de mon amie France.

                Désormais je me lance dans de nouveaux projets, après avoir visionné une nouvelle chaîne Youtube à laquelle je suis abonnée: 행복자수happyjasu

                (Vous devriez aller découvrir cette chaîne après avoir visionné cette vidéo )

                Voici maintenant mes débuts en la matière (comme toujours j’invente mon propre style avec un petit zèbre de dos. En projet, j’ai un renard et un lapin. Le nounours n’est pas encore habillé car j’hésite encore sur son sexe… et surtout je dois aller acheter des fils , raison pour laquelle le nounours de gauche qui est en train de marcher est resté en panne!):

                Bref… Prenez soin de vous et passez une bien meilleure année que 2021 avec « la nouvelle aux 3 fois 2 » (je vais chercher si 6 ou 3 ont une valeur particulière en numérologie) : 2022!


Cerveau lent en tempête:

Il n’y a plus rien à faire: trop de box, d’ondes dans le coin…

A certains moments j’ai la tête qui explose en crissements intempestifs… comme ce fruit de rosier colonisé:

matêtebouillieaunumérique

Je me dis que l’air est saturé.

Je décoche la mention « dépannage à distance » dans la partie « Système » du « Panneau de configuration » (Je ne savais même pas que l’option était cochée!) et j’ai l’impression que je vais mieux, que les fonctions de la machine répondent mieux, que « ça tape moins sur mon crâne »… jusqu’au problème suivant: ça bloque, ne répond plus aussi vite… La pourriture est revenue:

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Je défragmente le disque dur du PC, range les dossiers, supprime certains doubles,…

(J’ai toujours doublé, triplé, quadruplé mes fichiers…

alors pourquoi certains ont-ils eu la stupidité de venir m’effacer certains fichiers directement dans mes clés USB?

Non, je ne suis pas paranoïaque. Tant pis si l’on me croit telle.

Je veux être la seule à définir le contenu de mes disques durs… J’ai la tête dure! J’explore, je réfléchis, je vérifie…

Et puis je n’achète jamais rien par internet (Je ne l’ai fait qu’une fois pour ne pas mourir idiote et pouvoir dire que je sais à quoi je renonce.

Je préfère faire les magasins, voir, toucher la marchandise… et l’obtenir tout de suite. Quand je compose des livres de photos… j’active le paiement à réception en  magasin et je me déplace pour aller chercher ce que je considère comme un cadeau souhaité, imaginé et conçu par mes soins.)

Et puis j’éteins la box, coupant la liaison internet, la nuit…  Je sais que les autres n’en font pas autant (il y a toujours 5 ou 6 accès internet disponibles dans le coin, en plus du mien!)… Mais la pression diminue un peu. Je mets mon portable loin de moi…

Et puis de temps en temps je craque…

Je m’offre une promenade sur le Net car je ne peux pas m’empêcher d’aimer accéder à cette immense bibliothèque…

Avant de tout éteindre pour prendre stylo et  papier…. ou faire de la composition de photo sur le PC déconnecté…

Béro

Mon cerveau lent est au sol.

Il ne vole plus guère dans les airs numériques car la tempête y fait rage…

J’enrage!

 O TEMPORA O MORES!