gnome (réécriture d’un article de 2013) :


Dans The Queen of Air and Darkness, dont je ne vous recommande pas la lecture, Poul Anderson imaginait dans les années 70 (et il avait obtenu le Prix Hugo en 71), une divinité qui dupait les gens pour les repousser. Bien sûr je n’avais pas apprécié cette nouvelle, qui, en 2013 m’avait hantée un bon bout de temps d’autant plus que j’ai lu ensuite Morwenna de Jo Walton, qui m’avait rassérénée car l’héroïne voit des fées qui lui parlent dans les buissons… J’avais regardé la Nature, dans mon jardin, avec attention et y avais vu un gnome. Ce personnage parlait le langage très commun, restitué avec Photoshop… celui du corps. (J’entends par là que nos gestes sont un langage tacite qui nous paraît très clair… un langage primitif, presque universel… mais certains gestes, certaines réactions physiques, paraissent blessants en dehors du lieu ou du pays où ils sont faits, alors même qu’ils ont été faits sans malice… Et finalemant nombre de gestes peuvent être interprétés différemment selon les contextes.)
Je me rends donc compte que de vert, ce gnome pourrait devenir rouge et faire allusion au feu qui guette toujours en cette période de chaleur et de vent. Ce fléau, le feu, est généré par la présence d’humains inconscients, provoquant des malheurs difficilement combattus par des pompiers au courage remarquable, indispensable, admirable.
Tu n’as pas fini de voir mes élucubrations en Photoshop!
Je vois des lutins, des sorcières, des elfes… un peu partout.
22 avril 2013 à 17 h 09 min
Coucou, adorable lutin
22 avril 2013 à 1 h 32 min
Génial. Est-ce l’homunculus des plantes celui là?
Avanti coi pixel …! give us more. [ mon commentaire en trois langues et quart ]
21 avril 2013 à 5 h 03 min
Rigolo 🙂
20 avril 2013 à 16 h 56 min