Réfléchir sur trois fois rien, demeurer dans le léger pour ne pas s'abîmer dans le grave.

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Layers : Twilight dans mon rétro

Ce trio musical,
les LAYERS
vient de me remémorer que j’ai vécu 1/6 de ma vie bercée par le monde de S. Meyer, en lisant ses livres (les Twilight, Les âmes vagabondes et autres) et en regardant les films d’adaptation, parfois très nuls ( les lycanthropes ratés ou cette idiotie de théorie de l’imprégnation) parfois très réussis ( la course dans les bois, « l’entrée des artistes ») … Une décennie environ! Le trio me rappelle comment un thème musical fait tout remonter à l’esprit.

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Nés à minuit de CC Hunter et d’autres lectures agréables de 2014

Au lieu de faire des résumés ennuyeux, je me contente de placer les photographies de mes livres préférés. A chacun de s’en faire une idée précise:

NésàMinuitCCHunter

Nés à minuit de CC Hunter m’a permis de retrouver une héroïne aux dons magiques. L’idée des vivre des rêves avec autrui m’a enthousiasmée.

Les ailes d’émeraude d’Alexiane de Lys m’a donné la possibilité de m’envoler dans un imaginaire romantique avec une Cassiopée au caractère bien trempé. Son auteure parle de SF mais il s’agit le plus souvent de Fantasy exaltante, comme je l’aime. Pour le visuel, voir ici.

J’ai aussi adoré Intuitions de Rachel Ward. Voir ici les infos et les visuels.

J’ai appris la fin d’Eternels d’Alyson Noël et me voici revenue, tranquillisée,  de ce voyage au paradis et en enfer.

J’avais bien évidemment lu les Divergente de Veronica Roth et je verrai les films avec plaisir. La fin des Oksa Pollock (une série très enfantine au début qui est devenue de plus en plus adolescente, comme ce fut le cas dans les Harry Potter)  m’a plu mais je ne continuerai pas avec les histoires de son cousin… un personnage plus sombre… Du moins pas dans l’immédiat.

Du coup j’ai éprouvé le besoin de relire certaines pages de Botero qui avait si bien parlé de l’imaginaire et tant pis si en passant par mon blog vous estimez que je me répète. Il y a tant de lectures dont je n’ai pas envie de me souvenir!

Enfin les oeuvres de John Green , que ce soit Nos étoiles contraires ou Qui es-tu Alaska? m’ont ramenée dans le réalisme de la maladie… Néanmoins tempérée par les farces de jeunes adultes et leurs  émois amoureux. Mais je n’ai pas envie de continuer avec cet auteur.

 


Lectures d’ados et de young adults:

Mise à jour d’Octobre 2021 :

En plus des nombreuses lectures répertoriées dans mon autre blog

Une bibliothèque de collège

Il existe une autre façon de se renseogner sur les lectures qu’on a appréciées les  Wikis de fans  comme ceux qui concerne la série Twilight

et le wiki de leur auteure Stephenie Meyer,

par exemple.  En 2013 je découvrais  les oeuvres suivantes :

lectures d'ados

Pour me ternir au courant des goûts de mes élèves, je  me suis toujours intéressée à leurs lectures (pour ceux qui en font évidemment) et jusqu’à présent ces romans m’avaient vraiment passionnée.

Cette fois-ci, j’ai déchanté… à moins que je sature quelque peu… ou que je vieillisse trop…???

1. Dans les trois tomes d’AUTRE MONDE de Maxime Chattam, j’ai détesté d’emblée l’idée que les adolescents fussent opposés aux humains présentés comme des monstres, les Cyniks.

La plupart d’entre eux représentent un danger de mort pour  le trio des héros (Mat, Ambre et Tobias) et les adolescents deviennent les Pans, nouveaux Adam et Eve de cette dimension parallèle à la nôtre.

Certes j’ai retrouvé les dons magiques dont je rêve autant que mes petits collégiens, le désir d’un Eden dépourvu des travers de notre monde… La simplicité des rapports d’une autre époque sans les souillures de la pollution… mais que de violence encore et toujours…

Et puis l’éveil de la sexualité… j’ai un peu dépassé cela tout de même! C’est attendrissant mais bien moins plaisamment développé que dans les oeuvres de Meyer!

2. Avec OKSA POLLOCK, de nouveau la découverte des dons exceptionnels de l’héroïne, véritable alien, m’avait bien captivée dès le départ mais les deux auteures ont tant inventé de créatures ubuesques et les gentils  sont si dépourvus de logique… que je me suis lassée dès le deuxième tome.

Pour ces deux sagas, je lirai tout de même la suite… mais je ne l’achèterai pas, attendant que ma collègue documentaliste l’ait obtenue pour le CDI de mon établissement car la suite peut m’attendre!

3. Pire encore: les morts-vivants des HAUTS CONTEURS m’ont totalement rebutée (mais tout le monde n’est pas de mon avis alors je mets un lien contradictoire)!

Même située au Moyen Age, l’intrigue est laborieuse et je me suis ennuyée ferme.Le style est… trop savant (il me semble que les auteurs sont des profs!) et j’aime que la phrase m’étonne , me ravisse, me transporte, non qu’elle m’enseigne trop visiblement.

Je songe déjà à offrir ce bouquin à un jeune homme comme le tome 1 d’ OSCAR PILL! les enfants sont contents et moi je rentabilise mon achat en le transformant en cadeau. Ce sont des lectures de garçon avec idées biscornues et un peu grossières… et je m’étonne encore d’avoir entendu beaucoup de bien des Hauts conteurs formulé  par Mathilde, l’une de mes latinistes de 3ème… qui vire gothique pas seulement dans la tenue vestimentaire. A chacun ses goûts.

Conclusion: je n’ai pas été  aussi heureuse de lire ces livres que je l’avais été en découvrant LE MONDE D’EWILAN  ou  ELLANA et son Pacte des Marchombres de BOTERO! Pas de comparaison possible. Même  Sophie Maminoukian m’avait plus divertie avec ses dragons beaux-parleurs et tout son univers onirique… avant qu’elle ne l’affaiblisse en le destinant aux lectures de l’école primaire.


J’avais enfin vu [H.P. et le prince de sang-mêlé] (M.A.J. oct.2021)

    Mise à jour du 02 octobre 2021:
     Onze années ont passé depuis l’article qui suit. Les livres sont sortis de 2001 à 2011. Je me souviens d’avoir attendu la parution de l’un ou de l’autre des tomes et d’avoir été obligée, comme beaucoup à l’époque, de me les procurer d’abord en anglais, ce qui signifie que j’ai,  faute de vocabulaire et de connaissances grammaticales dans cette langue, à chaque fois, redécouvert l’œuvre puisque de nombreuses nuances m’étaient « passées à 10 000 au-dessus »!
     Dans un premier temps, je partageai cet engouement plus avec mes élèves qu’avec mes  enfants qui étaient trop jeunes pour avoir les mêmes passions que leur mère (eh oui, « nul n’est prophète en son pays ») et qui  puis j’ai forcément imposé cette passion à ma famille à force d’en parler et quand les films sont sortis (mes enfants ont alors lu certains tomes) et quand nous  les avons achetés en DVD… Cet univers dont j’ai pu constater que de nombreux enfants actuels n’ont aucune idée (ils le considèrent comme démodé, m’ont dit certains l’an passé! ) me plaît toujours. Il me paraît totalement indissociable des acteurs qui ont incarné les rôles et les derniers tomes ont été lus avec l’image de Daniel Radcliffe, Rupert Grint , Emma Watson ou Tom Felton donnant chair aux personnages.
L’article qui suit est donc ma réaction d’alors, après avoir vu au cinéma, en 2009, l’adaptation du 6ème opus de la série en 8 tomes et 8 films.
     Article de 2009  (au tout début de mon blog):
Eh bien… moi j’ai beaucoup aimé… comme toujours, puisque je suis tout à fait commune dans mes engouements : ils correspondent aux modes de mon temps, sans mépris pour les goûts du plus grand nombre !
     Il faut dire que j’ai lu le bouquin plusieurs fois, dans les deux langues!  Il est certain que c’est l’opus  le plus noir de l’ensemble puisqu’il casse le mythe Dumbledore et fait machine arrière avec Rogue, brouillant les cartes pour les redistribuer.
     Ce qui m’a beaucoup plu… c’est l’évolution des têtes d’acteurs! Le beau Drago… est à l’image de la noiceur de son âme torturée: plus si beau que ça! L’âge et les épreuves l’ont marqué.
     Harry me convient toujours autant ainsi que ses amis et surtout sa Bien-aimée, dont l’allure est si simple, presque commune mais que je trouve très vraie et qui compense ainsi la déception d’une histoire rêvée mais toujours avortée avec Hermione. Il faut préserver à tout prix « l’amitié avec une personne de  l’autre sexe ».
     L’étape montre combien le gamin Jeudusor est, dès l’enfance, un vrai serpent (il en existe très peu, dans la réalité qui soient aussi méchants, pervertis dès l’enfance et l’exception fait froid dans le dos):
Le mal sous des dehors « très class »… l’acteur réussit à donner l’image que je m’en faisais et que le regard ci-contre manifeste parfaitement.
     Tout tourne déjà autour de la personnalité du mentor d’Harry, Dumbledore, le vieux sage tutélaire dont la disparition change tout… et pourtant qui n’est qu’une continuité.
     Je pense que les prochains films devront conclure l’ensemble en beauté avec des scènes de bataille d’anthologie,
des doutes affreux,
des simili-trahisons et des retrouvailles affectueuses…
et le pauvre Drago finalement  pardonné, puisqu’il n’a pas succombé. Une morale telle que je l’aime, à l’Américaine… quand  la rédemption est possible et la famille qu’on s’est créée solide.